Article 353 du code pénal

Un style bien trop bouillon pour moi, une écriture peu attachante pour une histoire plutôt plate et banale, en tout cas, qui ne m'a absolument pas accroché. Terne et sans intérêt.

J'ai l'impression de lire tout ce court roman quasiment sans respirer, tant j'avais l'impression d'assister au monologue d'un bipolaire en phase maniaque. Je n'ai donc pas été capable d'avoir le moindre ressenti face au protagoniste, si ce n'est une vague impression d'injustice et de pitié un peu condescendante.

J'ai reçu ce livre dans une boxe Kube.

Déjà en lisant le résumé j'avoue que je n'ai pas été très emballée... Et je ne me trompais pas, je n'ai pas particulièrement apprécié cette lecture.

Dès les premières lignes on assiste au meurtre, et le reste du livre c'est l'assassin qui raconte au juge comment il en est arrivé à faire ça. Je n'ai pas aimé du tout comment c'est écrit, c'est brouillon, ça part dans tous les sens... Bon, je suppose que c'est pour que ça fasse réaliste mais j'ai vraiment pas aimé du tout ! Cependant, par curiosité, j'ai tout lu. Mais j'ai eu envie d'arrêter à plusieurs reprises, et si le livre avait été plus long ( 174 pages) je n'aurais certainement pas fini ma lecture...

Je n'ai pas non plus apprécié l'écriture, la tournure des phrases, etc.

Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé ce livre, mais je ne peux pas dire que je ne le recommande pas parce que je pense qu'il peut plaire.

J'ai longtemps repoussé la lecture de ce roman parce que j'ai lu autre chose de lui que je n'ai pas vraiment aimée. Erreur de ma part ! Celui-ci est épatant de par sa construction, sa psychologie, et même son suspens. Comme le titre le fait penser, un homme se trouve devant un juge pour avoir balancé par-dessus bord un escroc immobilier. Sa vie va se dérouler, là devant nous, et devant un tribunal. Un roman sur la manipulation, le tourisme et la différence de classe avec, en toile de fond, la mer et les bateaux, Brest, la Bretagne.

Un petit roman policier que j'ai lu pour les cours et que j'ai bien aimé lire. Les personnages sont sympathique et l'hsitoire se lit facilement.

Un roman policier original et très bien écrit. Je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire, c'est pourquoi je ne l'ai classé qu'en bronze. J'ai cependant bien apprécié cette courte lecture.

L'écriture requiert un peu d'adaptation. Je ne suis pas fan des longues phrases qu'écrit cet auteur. La narration était un peu répétitive. Le récit est plutot bon mais je n'ai pas vraiment pu me projeter dans les personnages. Mais j'ai par contre adorer la décision finale du juge.

Un Thriller sympa mais pas exceptionnel non plus. Pourtant, il était dans les « conseils lectures » de certains journaux renommés. C’est pour ça d’ailleurs que ma soeur et mon beau-frère me l’avaient offert. Et également, parce qu’à l’époque je faisais du droit (d’ailleurs l’article 353 du Code pénal n’existe pas, il aurait fallu écrire article 353 du Code de Procédure Pénale ;) ).

Je me souviens avoir beaucoup aimé l’ambiance du livre, la plume également, et le fait qu’on commence par la fin, mais l’histoire en elle-même n’était pas transcendante.

Je l’ai lu il y a un petit moment déjà et je n’en garde pas un souvenir impérissable :)

Mais ce n’était pas non plus une lecture désagréable !

Ce livre ma un peu fait penser au "Rapport Brodeck" avec cette façon de raconter une histoire déjà terminée en recommençant par le début.

Si au début on est curieux et comme on ne connaît encore rien de l'histoire on lit tout, on se retrouve assez vite à lire en diagonale.

Mais cela reste un bon livre avec une fin intéressante.

J’ai beaucoup vu ce roman sur les réseaux ces deux dernières années. Il ne m’intéressait pas en raison de son titre « juridique » (pas envie de penser au boulot pendant mes moments de loisirs, merci bien !), mais la lecture de la quatrième de couv’ m’a convaincue de l’acheter.

Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. Avant avoir lu le résumé, je m’attendais à une sorte de chronique de fait divers sordide, accompagné de tribulations de tribunaux. Après avoir lu le résumé, j’imaginais un roman très psychologique et rythmé.

Autant le dire tout de suite : ce qu’il y a de plus marquant dans ce roman, c’est sa plume. L’auteur se met dans la peau d’un homme cassé par la malchance et les mauvais choix, qui a tout perdu, qui a commis un meurtre et qui, tout en étant perdu, sait très bien comment il en est arrivé là. Il raconte tout ceci au juge chargé du dossier, dans un langage à la fois factuel et plein d’images. Je ne saurai comment décrire ce style. Ce n’est pas ce que je recherchais avec cette lecture, mais le rythme un peu lancinant m’a totalement immergée dans l’histoire.

L’histoire, d’ailleurs, n’est pas en reste. Nous sommes dans un petit village breton dans les années 90. Un jour, un promoteur immobilier fait miroiter la fortune à tous ceux qui voudront bien lui confier leur argent… et c’est le début de la fin pour Martial, qui raconte au juge sa dégringolade et pourquoi ce meurtre était sa seule réponse possible.

Je ne me suis pas du tout ennuyée dans ce court roman, passionnant par les mécanismes psychologiques qu’il illustre.

Cependant, si la fin est un hommage à la justice française, elle est malheureusement assez irréaliste – on en a la preuve tous les jours dans les journaux.

Peu avant la fin de ma lecture, par curiosité, je suis allée voir ce que disait le fameux article 353 du code pénal qui donne son titre au roman. Bien entendu, la réponse m’a un peu spoilé (divulgâché) le dénouement. Mais au passage, j’ai découvert que le titre du roman était faux, puisqu’il n’y a pas d’article 353 dans le code pénal : le roman aurait dû s’appeler « Article 353 du code de procédure pénale » ! En un sens, cela m’a déçue. Si ce titre n’était pas assez vendeur, un autre aurait pu être choisi, sans avoir un titre avec une référence erronée…

C’est dommage, car j’appréciais beaucoup ma lecture et la découverte de ces deux petits points négatifs me gâche un peu le souvenir que j’en garde…