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Asakiyumemishi, Tome 1



Description ajoutée par Shiravee 2025-01-03T11:41:40+01:00

Résumé

Le Dit du Genji raconte la vie du prince Hikaru Genji à la cour impériale du Japon pendant l'ère Heian.

Charmeur et raffiné, sa beauté ne laisse indifférente aucune des femmes qu'il veut séduire. Multipliant les conquêtes, rien ne l'arrête. Il tombe éperdument amoureux de sa belle-mère, Fujitsubo. Incapables de dominer leur passion, ils transgressent l'interdit. Un acte qui vaudra au prince surnommé « le Radieux », souffrance et regrets tout au long de sa vie.

Le Dit du Genji est une oeuvre majeure de la littérature japonaise du XIe siècle que l'on attribue à Murasaki Shikibu. Elle est considérée comme le premier roman psychologique et représente un témoignage précieux sur la culture, la politique et les moeurs de la période Heian, marquée par de nombreuses mutations et par l'importance de la cour impériale. Jeune veuve, l'autrice devient dame de compagnie à la cour. Son existence au sein de l'élite impériale va lui inspirer cette oeuvre magistrale dans laquelle évoluent près de 300 personnages sur plus de 1500 pages. À travers le destin politique et les intrigues amoureuses du prince Genji, Shikibu nous offre un trésor historique réfléchissant sur la condition féminine et les comportements humains de l'époque.

Le Dit du Genji continue d'inspirer de nombreux artistes comme Waki Yamato, dont l'adaptation en manga a été publiée entre 1979 et 1993 dans le magazine Mimi des éditions Kodansha. Elle a connu un succès phénoménal avec plus de 18 millions d'exemplaires vendus au Japon.

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Classement en biblio - 2 lecteurs

Commentaire le plus apprécié

Argent

Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu est une œuvre majeure de la littérature japonaise. Quand j’étais plus jeune, j’ai tenté de lire les romans, mais hélas, la prose particulière, certes poétique et ampoulée ne m’a pas permis de savourer comme il se doit cette histoire. Je n’ai jamais réussi à m’immerger dedans. Avoir la version française du manga créé par Waki Yamato est vraiment géniale pour comprendre l’œuvre dans ses grandes lignes même s’il ne s’agit là que d’une interprétation de lecture et son adaptation en format de bande dessinée.

J’ai apprécié le fait qu’avant de commencer le manga, nous ayons droit à un avant-propos pour mieux situer l’histoire, son contexte et tout le reste. Cependant, je pense qu’il aurait été judicieux d’y ajouter quelques avertissements pour ne pas surprendre les lecteurices et leur faire comprendre certains détails liés à l’époque où se situe l’intrigue.

La première chose qui frappe avec ce manga, ce sont les dessins. Asaki yume mishi est paru pour la première fois au Japon dans les années 80 et alors le style shojo était fluide, épuré et dramatique à souhait. Aujourd’hui il parait vieillot.

Dans ce premier tome, nous découvrons l’avant-naissance du Genji, son enfance et son adolescence avant de devenir le prince mythique de l’œuvre (une fiction historique, la première à cette époque) de Murasaki Shikibu. La première chose qui peut frapper est le fait que le style de la mangaka ne permet pas tout le temps de différencier les personnages. Ils se ressemblent tous. Seuls les parures et vêtements sont dessinés avec un soin tout particulier.

J’ai apprécié connaître la manière dont Le Genji a été conçu et l’histoire de sa mère est des plus tragiques. La suite ? Son père prend une nouvelle épouse ressemblant énormément à la défunte mère du Genji et celui-ci va très vite s’attacher à elle. Dame Fujitsubo puisque c’est son nom, sera la première (mais loin d’être la dernière) dont Le Genji s’éprendra. En grandissant, Le Genji montre un fort penchant pour les femmes de toutes sortes et voue à l’amour une passion immodérée. On le voit butiner de fleur en fleur tandis que tous complotent et tentent de gagner les faveurs impériales.

Plus j’avançais dans l’histoire, plus j’ai été surprise du comportement de cet homme qui est censé représenter ce qu’il y a de plus beau et noble en ces temps anciens. C’est là que je me suis rendu compte que les mœurs de l’époque n’avaient plus rien à voir avec celles d’aujourd’hui. Le Genji entame une relation avec sa belle-mère qui ressemble à sa mère. Nous sommes là dans un beau complexe d’œdipe. De plus, il n’hésite pas à coucher avec toutes les femmes qu’il juge agréables à ses yeux ou ses oreilles. Sans parler d’une jeune fille encore très jeune qu’il décide de former pour lui quand elle sera plus grande. On peut le dire, ce personnage est un sacré red flag à lui tout seul.

Bref. Dans l’ensemble, je suis contente de pouvoir enfin découvrir Le Dit Du Genji dans une version bien plus accessible malgré ce qu’il véhicule. Je pense qu’il ne faut pas le voir comme un divertissement, mais plutôt comme l’apprentissage d’une œuvre datée qui ne correspond ni à nos mœurs ni à nos valeurs morales, mais qui devait sans doute refléter, en grande partie, une réalité qui a existé dans un Japon Féodale d’il y a plusieurs siècles.

Je terminerais en saluant le travail fourni par les éditions Panini Manga pour ce titre vraiment très beau. La couverture et superbe tout comme les illustrations couleurs. Une œuvre à découvrir pour sa culture quand on aime le Japon plus que pour son plaisir.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par ninon64 2025-02-04T19:08:23+01:00
Or

C’est un livre prenant. On suit les péripéties amoureuse du Genji, un prince (le favoris de l’empereur).

On s’attache à lui, mais aussi à la vie de cours qui a l’air très oisive pour lui: danse, poème, un peut de sport militaire. Il développe une réputation de prince sérieux alors qu’il a une multitude d’aventure que raconte ce manga, mais il est discret et tient à cette réputation du saint. Pourtant il est très impulsif et n’hésite pas à avoir une aventure avec une femme même s’il sait que ça peut lui rapporter des problèmes.

Je n’ai pas mit « diamant » parce que les dessins m’ont gênés. Toutes les femmes sont dessinées pareilles donc on se perd vite visuellement et c’est en rappelant son histoire avec le prince qu’on la remet. Mais le style de dessin ne permet une nette distinction entres les différents personnages féminins et c’est pareils entre l’empereur et le ministre de droite (ou de gauche, je ne sais plus) qui se ressemble comme deux gouttes d’eau.

C’est dommage parce que ça ralentit la lecture et à chaque interaction du Genji avec un autre personnage que le commandant on se demande à qui il s’adresse…. Peut-être que de la couleur aurait aidé à l’identification des différents personnages.

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Commentaire ajouté par Artemissia 2025-01-06T14:46:48+01:00
Argent

Le Dit du Genji de Murasaki Shikibu est une œuvre majeure de la littérature japonaise. Quand j’étais plus jeune, j’ai tenté de lire les romans, mais hélas, la prose particulière, certes poétique et ampoulée ne m’a pas permis de savourer comme il se doit cette histoire. Je n’ai jamais réussi à m’immerger dedans. Avoir la version française du manga créé par Waki Yamato est vraiment géniale pour comprendre l’œuvre dans ses grandes lignes même s’il ne s’agit là que d’une interprétation de lecture et son adaptation en format de bande dessinée.

J’ai apprécié le fait qu’avant de commencer le manga, nous ayons droit à un avant-propos pour mieux situer l’histoire, son contexte et tout le reste. Cependant, je pense qu’il aurait été judicieux d’y ajouter quelques avertissements pour ne pas surprendre les lecteurices et leur faire comprendre certains détails liés à l’époque où se situe l’intrigue.

La première chose qui frappe avec ce manga, ce sont les dessins. Asaki yume mishi est paru pour la première fois au Japon dans les années 80 et alors le style shojo était fluide, épuré et dramatique à souhait. Aujourd’hui il parait vieillot.

Dans ce premier tome, nous découvrons l’avant-naissance du Genji, son enfance et son adolescence avant de devenir le prince mythique de l’œuvre (une fiction historique, la première à cette époque) de Murasaki Shikibu. La première chose qui peut frapper est le fait que le style de la mangaka ne permet pas tout le temps de différencier les personnages. Ils se ressemblent tous. Seuls les parures et vêtements sont dessinés avec un soin tout particulier.

J’ai apprécié connaître la manière dont Le Genji a été conçu et l’histoire de sa mère est des plus tragiques. La suite ? Son père prend une nouvelle épouse ressemblant énormément à la défunte mère du Genji et celui-ci va très vite s’attacher à elle. Dame Fujitsubo puisque c’est son nom, sera la première (mais loin d’être la dernière) dont Le Genji s’éprendra. En grandissant, Le Genji montre un fort penchant pour les femmes de toutes sortes et voue à l’amour une passion immodérée. On le voit butiner de fleur en fleur tandis que tous complotent et tentent de gagner les faveurs impériales.

Plus j’avançais dans l’histoire, plus j’ai été surprise du comportement de cet homme qui est censé représenter ce qu’il y a de plus beau et noble en ces temps anciens. C’est là que je me suis rendu compte que les mœurs de l’époque n’avaient plus rien à voir avec celles d’aujourd’hui. Le Genji entame une relation avec sa belle-mère qui ressemble à sa mère. Nous sommes là dans un beau complexe d’œdipe. De plus, il n’hésite pas à coucher avec toutes les femmes qu’il juge agréables à ses yeux ou ses oreilles. Sans parler d’une jeune fille encore très jeune qu’il décide de former pour lui quand elle sera plus grande. On peut le dire, ce personnage est un sacré red flag à lui tout seul.

Bref. Dans l’ensemble, je suis contente de pouvoir enfin découvrir Le Dit Du Genji dans une version bien plus accessible malgré ce qu’il véhicule. Je pense qu’il ne faut pas le voir comme un divertissement, mais plutôt comme l’apprentissage d’une œuvre datée qui ne correspond ni à nos mœurs ni à nos valeurs morales, mais qui devait sans doute refléter, en grande partie, une réalité qui a existé dans un Japon Féodale d’il y a plusieurs siècles.

Je terminerais en saluant le travail fourni par les éditions Panini Manga pour ce titre vraiment très beau. La couverture et superbe tout comme les illustrations couleurs. Une œuvre à découvrir pour sa culture quand on aime le Japon plus que pour son plaisir.

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Commentaire ajouté par fairyonenahe 2024-11-29T12:07:20+01:00

Je vais parler ici de la version double sortie en 2024 (je ne sais pas combien de tomes cette version prend en compte).

Déjà, résumer ce manga est impossible 😂

Il n'est pas mauvais très très loin de là. Mais bon, on a le Genji, amoureux du sosie de sa mère fiancée à l'Empereur son père, pour oublier cet amour (bizarre) il va développer un adultère avec la femme du défunt ex prince héritier (c'est dur à suivre...) mais ça ne suffit pas, alors il va tomber sur une femme qui est son coup de foudre dans un autre village, mais mourir (sans qu'on sache trop comment mais on dirait que dame Rôkujo l'a tuée ?) et donc va reprendre sa quête pour oublier son premier amour, et tomber sur une petite fille qui a le visage du premier amour sosie de sa mère décédée (on rappelle...) et l'emmener avec lui pour l'épouser plus tard (chelou...). EN PARALLÈLE ! Parce que sinon ce serait pas drôle, il a été marié à dame Aoi la fille du Ministre de Droite (je crois) qui ne veut pas le voir. ENCORE PLUS EN PARALLÈLE il développe encore une relation d'adultère avec la fiancée du prince héritier son frère...

Vous suivez ?

C'est pas fini.

En parallèle de tout ça, il retombe sur le sosie de sa mère aussi amoureuse de lui et donc ils passent la nuit ensemble et elle se retrouve enceinte. Enceinte de lui ou de son père l'empereur ? Bah de lui sinon ce serait pas drôle 😂😅 Enfin (oui enfin !) il apprend que Dame Aoi (sa VRAIE femme) est enceinte aussi.

Suivre la politique interne de la cour impériale et ses tensions était très intéressant malgré le bordel des relations adultérines et amoureuses.

Après n'oublions pas que ce sont d'autres mœurs et une autre époque. En ce sens, même si quelques scènes dérangent un peu, c'est un classique japonais très intéressant et il est très intriguant.

Car, tout ne peux pas bien se passer avec ça.

Hâte d'avoir la suite en main :)

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