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Death (XIII)

Aric Domīnija, the Endless Knight, Reigning Arcana Champion

Unspecified call

A.k.a.: The Reaper, Tredici

Powers: Touch of Death (can kill with contact). Death awareness (can sense dead things and approaching death). Superhuman speed, strength, endurance, dexterity, senses, healing. Controlled telepathy.


Special Skills: Gifted horseman, unmatched swordsman.


Weapons: Swords, scythe, his warhorse Thanatos.


Tableau: A Reaper clad in black armor, scythe at the ready, riding a pale horse with evil red eyes. He carries a black flag emblazoned with a white rose.

Icon: Scythe.


Unique Arcana Characteristics: Wears impenetrable armor, spiked gloves, and a helmet. Eyes turn starry with emotion.


Before Flash: A mysterious, reclusive billionaire, securing his mountain compound against any foreseeable disaster.



Lethe Castle
Day 0


Of course hers would be the last icon to fade. The rose symbol.
In the shower, I stare at the back of my right hand. Of the twenty-one icons that have marked my skin for so long, only fragments remain of the rose that represented the great Empress’s life.
I took this icon when I beheaded her. For centuries, I have stared at it with a mixture of fury, guilt, and yearning.
It connected me to her. My wife.
Whenever the beginning of our lethal game nears, the icons borne by the winner fade. Telepathic Arcana calls start to sound. We are on the brink.
Anticipation strains even my eternal patience. I will capture this new reincarnation of the Empress and make her pay.
At last.
I have waited 677 years, 3 months, and 13 days for this time to come.
Other Arcana have envied my immortality. I would gladly give it up if not for her—my fantasy and nightmare, all wrapped in one.
I have no choice except to win. If I’d died in the past, I would have been reincarnated for another game, losing my memories of her and our history. My soul would have entered a new body, one lacking the warning that I had tattooed over my torso.
Three scenarios might play out in a future game. . . .
I wouldn’t go out of my way to find her, missing her entirely.
I would find her, only to kill her before I discovered I could touch her.
Or, worst of all, I would find her, touch her, then trust her.
My hands ball into fists, and I hang my head under the stream of water. With the memories I’ve retained, I’ve already been able to locate her, and other Arcana as well. They tend to stand out, and in this age of information, I possess every advantage.
To find the Empress, I searched all over the world for farms named Haven. Her home has always been called that. In more than one Arcana chronicle, I’ve read the advice: “Never attack an Empress in her Haven.”
Only one farm of that name has a girl of the right age living on the property. She is a Louisiana teenager named Evangeline Greene.
She has no idea that a few states away, she has a husband who plots to destroy her.
I found her social media accounts with pictures of her friends (surprisingly many), her boyfriend (a football player who looks as dim as he is handsome), and her home.
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Il croisa son reflet au travers d’une porte et son ancienne apparence angélique l’amusa. Cette métamorphose surprenante lui permettait d’avancer dans les couloirs du premier ordre. Mais les anges n’étaient pas dupes et les regards se faisaient de plus en plus soupçonneux. Le démon tapi au fond de ses iris ne mentirait pas assez longtemps pour espérer sauver Véliah sans encombre.
Véliah s’éveillait d’ailleurs à mesure qu’il s’enfonçait dans le bâtiment, guidé par l’essence du séraphin qui laissait une empreinte dans l’air. Un sourire nerveux se dessina sur ses lèvres lorsqu’elle se pensa définitivement perdue dans la folie. Elle s’imagina alors qu’elle ne rêvait pas et que son amour viendrait bel et bien la chercher. Un doux rêve qui raviva le rose de ses joues ainsi que les marques rougissant sa peau. La douleur était devenue sa partenaire de vie à présent. Elle ne sentit pas la morsure du fer à ses poignets quand elle se releva dans un effort surhumain, faisant tinter les anneaux la retenant prisonnière.
Le séraphin se laissa enivrer par cette chaleur nouvelle qui venait à elle. Elle l’avait perçue au plus profond de son âme et elle lui fit légèrement tourner la tête. L’espoir avançait à grands pas, lui accordant la lumière qui lui manquait pour percer l’horreur dans laquelle elle se perdait depuis plus de quinze ans.
À quelques mètres de la paroi en verre, elle tomba à genoux, sonnée par l’aura dont elle savait tracer les contours sans ouvrir les yeux. Elle désirait la sentir encore et encore, cette essence démoniaque avec qui elle avait tant dansé jusqu’à l’exaltation interdite. Un peu de répit, une petite dose de bonheur, juste un moment de paix, c’était tout ce qu’elle demandait. Quand elle entendit céder la première porte menant à sa cellule, elle releva son regard sur une silhouette qui se tenait à l’endroit exact où un ange portant un K sur son poignet l’avait contemplée. Pour la deuxième fois en peu de temps, l’âme de Véliah fut submergée par une profonde émotion menaçant de lui faire perdre pied. Après sa fille, voilà que son mari se présentait à elle sous son ancienne forme séraphique, trois grandes paires d’ailes l’entourant.
Impossible. Ce ne pouvait pas être vrai !
Les iris de Daren s’enflammèrent, délivrant le démon de toute cette supercherie. Ceux de Véliah s’illuminèrent comme des diamants, révélant toute la souffrance endurée pendant ces dernières années. Daren retrouva son apparence démoniaque dont se dégageait une nauséabonde odeur de soufre. Le supplice de sa femme le réveilla totalement et il lutta afin de ne pas faire demi-tour pour liquider chaque ange dont il croiserait la route. Sa fureur se répercuta sur les vitres enfermant Véliah qui se brisèrent en mille morceaux. En deux pas, il fut derrière le séraphin et arracha les chaînes à mains nues malgré les protections angéliques qui lui brûlèrent les paumes. Il s’agenouilla ensuite aux côtés de Véliah, puis la prit dans ses bras avec une grande délicatesse, refoulant les pulsions malsaines qui l’envahissaient. Elle balbutia des mots dénués de sens, hachés par ses pleurs silencieux, et s’agrippa à lui avec véhémence.
— Tout va bien, maintenant, mon amour. Je suis là, Véliah, je vais te ramener chez nous. C’est terminé.
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— Sérieusement, Daren, comment vas-tu ? lui demanda-t-il d’une voix mesurée.
— Sincèrement ? Si je ne l’avais pas, elle, au creux de mon âme, crois-moi, j’aurais été capable du pire.
Il passa nerveusement ses mains dans ses épais cheveux de jais et calma un instant la bête qui menaçait d’exploser :
— Il faut qu’elle me revienne, Astaroth… Je ne peux pas la laisser plus longtemps là-bas ! Il s’agit de Véliah ! La femme que…
— Nous en avons déjà parlé, mon frère, seul le temps pourra nous la rendre.
— Cela fait quinze ans que j’attends patiemment qu’elle défaille, grogna-t-il avec une pointe d’ironie qui brisa sa voix humaine. Dois-je aussi attendre qu’ils la renvoient en enfer pour espérer la retrouver ? Alors qu’il existe certainement un moyen de les empêcher de lui nuire ? Je trouverai cette faille, Astaroth, sache-le.
Depuis que sa femme avait disparu, il perdait très vite le contrôle de lui-même. La récupérer par tous les moyens était devenu une obsession. Pas une minute ne passait sans qu’il ne pense à elle, sans que le vide qui habitait son cœur ne le torture. Jéricho le savait, il ne pourrait plus le retenir très longtemps avant qu’il commette l’irréparable.
— Écoute, Daren, si l’opportunité se présente, nous sortirons Véliah de là. Mais pour le moment, comprends-moi bien, ma priorité est de te garder en vie.
— Elle se fatigue, chaque jour un peu plus. Je le sens, dit Daren en désignant son cœur de son index. Je ne peux plus supporter l’idée qu’ils la fassent souffrir et je…
— Véliah est une femme forte, affirma une voix féminine dans le dos du Duc. Et tu sais à quel point elle serait malheureuse s’il t’arrivait quoi que ce soit. Même la mort ne pourrait pas la consoler… Elle aura besoin de toi une fois de retour, alors, sois patient.
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CHAPITRE UN

— Daddy, où est Papa ?
Sammy se tenait sur le seuil de la porte de la chambre de Farro, son ours en peluche se balançant dans un de ses petits poings. Son pyjama bleu le recouvrait du cou jusqu’à la pointe de ses orteils. Farro refoula ses larmes quand il se rappela que Kylen avait insisté pour acheter à Sammy un pyjama dans chacune des couleurs disponibles. Farro avait seulement mis un frein quand Kylen avait montré celui avec des oreilles de lapin. Pas même le sourire plein d’espoir de son amant n’aurait pu persuader Farro de laisser son fils, à moitié métamorphe, de s’habiller comme une proie.
Repoussant le souvenir, Farro s’avança et s’agenouilla pour se mettre au niveau de son fils. Il enroula ses mains autour de celles, plus petites, de Sammy.
Parler malgré la boule qui lui obstruait la gorge était difficile, mais il se força à le faire.
— Papa ne rentre pas à la maison. Nous en avons déjà parlé. Papa a accepté un travail qui l’a éloigné de nous. Il t’aime toujours, mais il ne va pas revenir.
Malgré sa colère quant à la manière dont Kylen les avait quittés, Farro n’avait aucun doute, son compagnon aimait toujours leur fils. Kylen avait juste besoin d’un bon coup de pied au cul. Durant ces quatre derniers mois, Farro avait donné différentes versions de « Papa ne reviendra pas » à Sammy et, chaque fois, les mots laissaient un goût amer dans sa bouche. Sammy refusait de croire que l’homme qui l’avait adoré si profondément puisse juste l’abandonner avec seulement une brève missive et sans jeter un seul coup d’œil en arrière.
Farro ne pouvait pas en vouloir à son fils. Certains jours, il avait du mal à y croire lui-même. Malheureusement, Farro devait faire face à la réalité : Kylen ne reviendrait pas. Il ne reviendrait jamais. Son loup se mit à gémir tristement en lui.
— Pourquoi il peut pas rentrer à la maison ?
Avec la simplicité d’un enfant, Sammy attendait une explication évidente.
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PROLOGUE

Rhaegar faisait les cent pas d’un côté à l’autre de sa grotte remplie de trésors, sa queue se balançant de droite à gauche pendant qu’il marchait. Même le doux bruit des pièces d’or qui crissaient sous ses griffes ne lui procura pas l’habituelle étincelle de joie.
— Est-ce trop demander que d’avoir un compagnon ? lança-t-il aux piles de gemmes et de métaux précieux.
Il ne fut pas surpris lorsqu’ils ne répondirent pas.
En dépit d’être le plus vieux de son espèce, Rhaegar n’avait encore trouvé personne pour partager sa grotte avec lui. Il avait essayé. Il avait même passé des années à coucher avec chaque dragon disponible de son clan – certains d’entre eux plus d’une fois, juste pour être certain.
Mais, rien.
Des siècles étaient venus et étaient repartis, et il ne s’était toujours pas approché de la possibilité de trouver un compagnon. Peut-être que le Roi des Faes honorerait sa promesse d’aider Rhaegar à trouver son partenaire. Ses expériences passées avec les Faes ne le rendaient pas optimiste quant à leur capacité à tenir leurs engagements. Cependant, le Roi Kylen avait un regard honnête et possédait l’amour d’un loup-garou. À défaut, le Roi des Faes ne voudrait pas passer pour un menteur devant son âme sœur. Les Faes avaient toujours été plus préoccupés par leur réputation que par la réalité des choses.
Rhaegar désirait une relation comme celle que le Roi avait avec son loup puissant, un partenaire qui se tiendrait fièrement à ses côtés. Aucun des dragons de la montagne ne s’était avéré être le bon pour lui. Bien qu’ils aient été bons pour des rencontres occasionnelles dans sa cave aux trésors, ils n’étaient pas son amant pour l’éternité. Il souhaita que leur clan ait toujours sa voyante pour le guider, mais la dernière était morte depuis plus de deux cents ans, et elle n’avait pas été d’une grande utilité. Elle n’avait même pas su prévoir sa propre mort.
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Simyan se rapprocha de son fils et, d’un mouvement de tête, lui fit signe de le rejoindre à l’écart du reste de la famille.
— J’aimerais que tu gardes pour toi tes … idées, Cahl, ordonna-t-il d’une voix grave.
— Comme ?
— Comme celle dans laquelle tu prétends devenir l’Alpha Ultime. Rien n’est joué.
Le loup-garou fit une pause avant de reprendre :
— Nous sommes toujours une meute unifiée.
— Cela ne va pas durer … grâce à vous, d’ailleurs, murmura le garçon.
— Arrête avec tes théories fumeuses, gronda Simyan Fraut.
— Vous reviendrez changé de votre voyage, cher père, susurra l’enfant en arrachant sèchement une longue herbe pour la fixer d’un air songeur. Nous aurons également un nouveau patronyme.
— Ridicule.
Le méta recula d’un pas. Parfois son fils l’effrayait, lui et ses prédictions.
— Libre à vous de croire ou non … lâcha Cahl tout en haussant les épaules.
— Très bien … Admettons que notre meute se scinde en trois branches, comme tu me l’as affirmé, tes cousins seront tes concurrents. Tes calculs ont-ils pris en comptes ces informations ?
— Bien sûr.
— Et ?
— Et cela ne change pas le résultat. Une jeune fille viendra ici, une métisse. Elle sera ma femme et, grâce à elle, je deviendrai le plus puissant Alpha, toutes générations confondues.
— Foutaises, souffla le loup-garou.
— Et vous me soutiendrez, Brunan … vous m’encouragerez à accéder à ce statut très convoité. Désirez-vous savoir pour quelle raison ?
— Je t’en prie, persifla son père, légèrement ironique.
Cahl leva les yeux vers le ciel, complètement immergé durant un bref instant dans son monde intérieur. Puis, ses prunelles se rivèrent à celles de son géniteur.
— Vous avez tué votre âme sœur. Votre partie est terminée, vous avez joué et … perdu. Vous saviez par le médecin qu’il était dangereux pour elle de tomber à nouveau enceinte, mais vous vouliez tellement un autre fils. Un plus malléable que moi … un … moins … terrifiant ?
L’adulte et l’enfant se défièrent du regard. Dans celui du garçon, il n’y avait rien d’autre qu’une absolue détermination.
— Tu es démoniaque, chuchota Simyan.
Ce à quoi Cahl sourit lentement, sa bouche déformée par un pli bien impitoyable pour un louveteau de son âge.
— Les loups ne font pas des chats, j’ai été à bonne école. Seulement … je vous surpasserai, de très loin même, dit le garçon avant de se détourner de son père.
— Cahl ! l’interpella ce dernier.
Une fois que son fils s’arrêta, néanmoins sans lui faire face, il poursuivit :
— Je trouverai ton point faible, un jour. Par exemple, cette fameuse métisse dont ta petite prophétie parle … ricana le loup-garou.
Le jeune méta arracha une nouvelle herbe, joua avec pour finalement l’écraser entre ses doigts.
— Merci pour cet avertissement, Brunan. Je ferai extrêmement attention à ne pas trop m’attacher à elle, dans ce cas. Après tout, elle n’est qu’un moyen qui me permettra d’atteindre mon objectif.
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Death kept taking me farther from Jack. I stretched my arms out, fingers splayed toward the heat of that seething pool of lava. “He can’t be dead,” I sobbed. “Can’t. NO, NO, NOOOO!”
“You want to follow the mortal?” Aric demanded. “Get your revenge first. The Emperor mocks your pain.”
I could hear that fiend in my head—laughing.
The red witch exploded inside me, a force that could never be contained. I shrieked, “You will PAY!”
Spoiler(cliquez pour révéler)
As the Emperor laughed, Death murmured in my ear, “I have your grandmother, sievā. That was the gift I spoke of.
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