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Commentaires de livres faits par Asoline

Extraits de livres par Asoline

Commentaires de livres appréciés par Asoline

Extraits de livres appréciés par Asoline

date : 30-04-2017
"Viens!
Tu es la fille de l'histoire
A l'ombre des réverbères
Tu es le prochain siècle de prophéties et d'orages."
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"J'ai du mal a imaginer un monde où il n'existerait plus de pression sociale, où l'on laisserait faire la nature sans la contraindre, où il n'y aurait plus de modèle imposé, ni de chemin à suivre"
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 31-05-2016
"Frigo, frigide, frigidaire, ceux sont mes surnoms au lycée. Il paraît que je suis froide, que les garçons me laissent de glace, je leur fais peur. Trop belle? Trop parfaite peut-être? Première dans toutes les matières, jolie, sportive, rien à déclarer de superflus sur la balance des défauts."
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"[...] forcé de parler de la mode, de la politique et de la bouffe, de salaire et de bouffe, tous ces cons de Français avec leurs mêmes gueules et leurs mêmes soucis, parlant de bouffe jusque sous la pluie, tournant le dos au vent et parlant toujours de bouffe, et moi qui approuvais, pour être libre tout à l'heure de courir, courir, courir, moi qui ne mange pas, moi qui ne mange rien, qui devient de jour en jour plus léger, qui ne m'alourdis pas pour pouvoir en cachette chercher ce que je cherche, au-delà des bouffeurs stationnés tout en cercle, dehors, dans les cafés, j'approuvais, je m'enivrais de la bouffe dont ils parlent, sentant que le vent dans mon dos me faisait vaciller, m'aurait soulevé si je ne m'étais pas accroché discrètement aux bouffeurs alourdis et à leur connerie de plomb, il m'aurait emporté tant je devient léger, comme les courants d'air te faisaient disparaître aux coins des rues, lorsque je t'ai aperçu, une fois [...]"
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"si j'avais pu imaginer, je l'aurais inventée comme cela, telle que je la voyais quand je l'ai abordée: petite, pas solide, toute blonde avec des reflets et des boucles, pas trop de boucles, pas trop blonde, juste ce qu'il fallait pour y croire, et que ce ne soit pas possible de courir derrière, et quand je l'ai abordée,: tu n'as pas du feu, s'il te plaît, camarade, pardon, des yeux qui regardent comme seulement on peut l'inventer, et que ça brille exactement comme je l'aurait inventé, pour planer, un soir où c'est désert et où rien ne se passe, mais il y a d'autres soirs, malgré la pluie, malgré cette saleté de lumière et la nuit qui encombre tout, où il traînent des filles - non pas une par hasard, mais plusieurs, l'une après l'autre, de plus en plus belles, mais pas belles comme tu crois, belles comme c'est pas possible, à vous rendre cinglé, à vous rendre d'heure en heure plus cinglé, d'heure en heure des filles plus impossibles, on ne sait quand ça va s'arrêter, cela monte, on se met à planer, on imagine plus rien, car il y a de ses filles qui défilent devant nous!"
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C'était une solution. Se laisser mourir, sans rien dire.
S'éteindre comme une lampe qui diminue.
Se laisser mourir toute droite au dessus de l'évier.
On ne meurt pas toute droite, rectifia-t-elle aussitôt, on meurt allongée ou agenouillée, la tête dans le four ou dans sa baignoire. [...] se vider de son sang lentement, ne plus savoir si le liquide qui coule hors de soi est rouge ou blanc. S'endormir lentement. Alors, lâche le torchon et plonge les poignets dans le bac de l'évier! Et même... et même il te faudra rester debout et on ne meurt pas debout.

- incipit, page 1
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date : 10-10-2015
Je "ne lui dis jamais mon amour" en paroles; pourtant, si les regards ont un langage, la plus simple d'esprit aurait pu deviner que j'étais amoureux fou.
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"Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours dans mon âme."
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
LA PETITE FILLE: Je n'ai pas peur de toi.
LE LOUP: Moi non plus je n'ai pas peur.
LA PETITE FILLE: Je ne sais pas qui tu es.
LE LOUP: Je ne te connais pas moi non plus.
LA PETITE FILLE: Je ne sais pas qui tu es mais je n'ai pas peur.
LE LOUP: Qu'est-ce que tu fais par ici? Tu es très jolie...
LA PETITE FILLE: Toi aussi tu es très joli... Je vais quelque part... chez ma grand-mère qui est la mère de ma mère qui est très vieille Comme le sont souvent les vieux maintenant.
LE LOUP: Jamais on ne voit d'enfant comme toi venir toute seule jusqu'ici.
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Alors elle jouait
elle jouait
elle jouait
seule
toute seule.
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date : 09-11-2014
"Les choses sont comme elles sont, et il y en a beaucoup contre lesquelles on ne peux rien. Voilà sans doute ce qu'il faut admettre pour devenir adulte."
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 02-09-2014
- Mon frère est un attardé. Répète.
Astrid, refoulant ses larmes, ne trouvait plus la force de parler. Elle qui voulait se convaincre de son courage, elle sentait bien qu'elle n'aurait pas le cran de tenir tête à Drake.
- Mon frère. Allez,répète après moi. Mon. Dis-le.
La gifle fut si soudaine qu'elle ne la vit pas venir.
- Dis-le. Mon...
- Mon...chuchota-t-elle.
- Plus fort, je veux que le petit puisse t'entendre.Mon frère est un attardé.
La deuxième gifle fut si violente qu'elle faillit en tomber de sa chaise.
- Tu peux obéir maintenant,tant que tu as toujours un joli minois,ou attendre que je t'ai refait le portrait,à toi de voir.Mon frère est un attardé.
- Mon frère est un attardé,répéta Astrid d'une voix tremblante.
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date : 22-11-2012
Mais le courant trop fort du fleuve avait poli les aspérités des cailloux qui en tapissait le fond.Laurel se laissa flotter vers David pour lui redonner de l'air, puis s'enfonça de nouveau dans les profondeurs du fleuves en suivants la corde de David,cette fois.Ces doigts se débatirent avec le noeud qui ensserrait la pierre,et, peu à peu elle parvint à dégager un boud de corde.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 22-11-2012
Judy a pris la mouche et s'est éloignée.Je me suis retrouver seule,tenant le manteau qu'elle n'avait pas voulu mettre.Je ne savais pas quoi faire. Quelques personnes, qui sortaient de leurs voitures, la regardèrent passer.A cinq ans elle n'aurait pas dut être dans la rue à une heure pareille.
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date : 30-09-2012
-Ne me laisse pas.
Rue me serre la main de toutes ses forces.
-bien sûr que non.Je reste là,dis-je.
Je me rapproche encore,je pose sa tête sur mes genoux.
Je rammene délicatement ses mèches noires et épaisses derrière son oreille.
-Chante-moi quelque chose, me demande-t-elle d'une voix presque inodible.
[...]
Chanter j'ai les larmes aux yeux,la gorge nouée,la voix enrouée par la fumée et la fatigue.Mais puisque c'est la dernière volonté de Prim,je veux dire de Rue,je peux au moins essayer.
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