Assassin's Creed, Tome 3 : La Croisade Secrète

Le sympathique récit de la vie d'Altaïr, le protagoniste d'Assassin's Creed I. Très linéaire au début (va là, tue untel), le récit prend vraiment de l'intérêt dans la deuxième partie du roman qui explore un peu plus le personnage en tant qu'homme, plus qu'un simple tâcheron du meurtre.

J'ai moins aimé ce tome que les précédents. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à Altaïr, que j'ai trouvé beaucoup trop arrogant et impulsif (même s'il se calme avec l'âge) et les personnages manquaient de profondeur. Ce qui m'a beaucoup gênée aussi, c'est qu'il y a trop de dialogues au moment où Altaïr tue une de ses cibles : avec une lame en travers de la gorge, on n'est pas sensés pouvoir parler...

Néanmoins, j'ai bien aimé toute la partie sur la morale et ce qu'il vaut mieux faire : atteindre la paix par tous les moyens pour éviter les effusions de sang (Templiers) ou faire en sorte que les gens soient libres (Assassins).

Altaïr, jeune "assassin" talentueux, un peu trop sur de lui, il apprendra a ses dépends et par la mort d'amis que la sagesse et savoir écouter est parfois plus utile que foncer tête baisser...

cette leçon lui fera perdre quelques années en apprentissage, mais trouver une compagne...tout aussi intrépide que lui.

La vie lui donnera bien des joies et énormément de malheur aussi, 20 années de solitude pour oublier un grand chagrin, et puis enfin la joie de reprendre Masiaf a son ennemi d’enfance, Abbas.

Le "maitre des assassins" est de retour...

Troisième tome de la série issue du jeu vidéo du même nom, La Croisade Secrète a été le livre que j'ai préféré sur les trois premiers. L'histoire met en oeuvre bien moins de personnages et est moins complexe à suivre que les tomes précédents, les enjeux politiques étant bien moins ancrés dans le récit. N'en manquant pas, il est tout de même moins basé sur l'action que ses prédécesseurs dans le sens où les personnages se lancent dans des combats au corps à corps bien moindres que ceux comptés dans les tomes précédents (ce qui se faisait au détriment de l'addictivité), rendant le récit un peu plus réaliste.

Les personnages historiques et les lieux donnent un bon cours d'histoire, et bien que sur fond de Croisade, la religion n'est pas le centre du récit, se focalisant sur une lutte de pouvoir sous-marine.

J'ai été conquis par ce livre, qui, de mémoire, est bien plus détaillé et va bien plus loin dans son histoire que l'œuvre d'Ubisoft.

Ce troisième opus de la série issue du célèbre jeu "Assassin's Creed" relate les aventures d'Altaïr, un des maîtres les plus respectés de l'Ordre des Assassins.

L'histoire se déroule entre Jérusalem, Acre et Damas, puis sur l'île de Chypre, aux XII et XIII èmes siècles, lors des croisades où les chrétiens et les musulmans se livrent une guerre impitoyable au nom de leur religion respective.

Comme à son habitude l'auteur se concentre sur l'action, mais n'omet pas de dresser le portrait d'Altaïr avec bien évidemment ses forces, mais également ses faiblesses et ses erreurs. Ce dernier passera sa vie au service de l'Ordre, où il aura fort à faire au sein de celui-ci avec son lot de d'incertitudes et de trahisons, puis contre les Templiers représentant l'ennemi suprême, afin d'apporter la paix et la justice dans cette partie du monde.

La découverte de la vie d'Altair donne lieu à un bon récit dont l'action s'enchaine rapidement et surtout facilement, les scènes s'imbriquent parfaitement les unes aux autres offrant au lecteur une grande fluidité de lecture. Tout du moins pour les trois/quart du livre, la fin est plus chaotique, l'auteur veut trop en faire avec trop peu de pages. J'ai été déçu par la fin d'Altair mais ça a le mérite d'être inattendu.

J’avais beaucoup aimé suivre l’histoire d’Ezio dans les deux premiers tomes et j’ai apprécié de découvrir l’histoire d’Altaïr. Bien qu’il y ait parfois des longueurs et un effet répétitif, j’ai beaucoup aimé l’histoire. Le personnage d’Altaïr est vraiment attachant et j’ai été agréablement surpris de retrouver un personnage connu dans les deux premiers tomes dans ce tome 3.

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2019/08/11/assassins-creed-t-3-la-croisade-secrete-olivier-bowden/

La croisade secrète est le troisième roman tiré de la célèbre franchise de jeu vidéo Assassin’s Creed. Alors qu’Ezio Auditore et la Renaissance italienne étaient au centre des deux premiers tomes, on suit cette fois-ci le Maître Assassin Altaïr à l’époque des croisades. D’abord déchu de son titre qu’il doit reconquérir, il va peu à peu devenir une légende au sein même de son ordre, et la terreur de ses ennemis.

Tout d’abord, sachez qu’il n’est absolument pas nécessaire d’avoir lu les deux premiers livres (ni même d’avoir joué aux jeux) pour suivre cette histoire, puisqu’elle met en scène un nouveau protagoniste dans un passé plus lointain, indépendamment du reste (hormis une brève référence dans les dernières pages, mais rien qui nuit à la compréhension de l’œuvre).

Le début m’a quelque peu laissée perplexe. N’ayant pas été séduite par Assassin’s Creed : Renaissance, j’ai retrouvé dans les premiers chapitres ce que je reprochais à ce tome. Ils sont très répétitifs, car trop fidèles au concept du jeu. Altaïr reçoit l’ordre de tuer quelqu’un, il se renseigne sur son compte, reçoit une plume et passe à l’action… Et ainsi de suite !

Il faut néanmoins s’accrocher, car une fois cette série d’assassinats destinée à lui permettre de regagner son titre de Maître, l’histoire devient beaucoup plus intéressante. Comme Niccolò Polo en est le narrateur, elle est moins linéaire que celle d’Ezio dans Renaissance et le passage du temps est mieux perceptible (ce que je reprochais au premier tome).

Les personnages sont eux-mêmes assez intéressants, et pas aussi manichéens qu’on pourrait le redouter de prime abord, puisqu’il y a des changements de camp, des coups bas et des trahisons qui font qu’on ne s’ennuie pas une fois la très longue introduction passée. Si Altaïr peut d’abord paraître arrogant et inconscient, il devient plus appréciable à mesure qu’il gagne en sagesse. Les personnages plus secondaires, comme Maria ou Malik, ne sont pas en reste non plus.

On pourrait tout de même reprocher au roman deux longues ellipses : celle pendant laquelle Altaïr fonde une famille, qu’on ne voit finalement presque pas, et surtout ses deux décennies d’errance, après que l’ordre des Assassins eut connu de grands bouleversements à sa tête.

Dans l’ensemble, ce livre n’en demeure cependant pas moins sympathique, et surtout bien plus plaisant que Renaissance. Je le recommande, ne serait-ce que pour ceux qui voudraient découvrir un peu l’univers d’Assassin’s Creed, ou pour les joueurs qui souhaiteraient prolonger l’aventure.

Encore un excellent livre qui complète bien la saga Assassin's Creed.

N'ayant pas appréciée le jeu à sa juste valeur, je me suis réconciliée avec grâce à ce livre qui m'a fait découvrir l'univers des Croisades d'un autre oeil.

J'ai ainsi pu refaire le lien entre les Croisés et les Sarrasins, leurs objectifs etc... Car cette histoire de religion est plus explicite dans le livre que dans le jeu vidéo. Et du coup, j'ai pu, par la même occasion, comprend certains événements qui avaient marqués Masyaf et ses Assassins.

En plus de ça, j'ai pu mieux comprendre le personnage d'Altaïr, ce Maître Assassin des plus connus. Mais j'aurais aimé que les passages concernant son enfance soient plus enrichis, plus poussés, de suivre Altaïr dans ses sentiments les plus profonds...

Même si le livre reprend les grosses parties du jeu vidéo, quelques passages étaient nouveaux pour moi. J'ai d'autant plus apprécié Altaïr et ceux qui l'entoure.

Seul bémol : je trouve que l'auteur n'a pas assez insisté sur la relation entre Maria et Altaïr, ainsi qu'entre ses fils. Et je trouve ça extrêmement dommage, puisque les deux époux ne venaient pas du même camps au départ.

Les descriptions enrichies du livre ne sont pas un problème: elles nous permettent d'ailleurs de nous situer et de plonger vraiment dans les paysages de la Terre Sainte.

La fin a été pour moi horrible à lire (même si je l'ai vu en images). C'est dans ces moments là qu'on se dit que les Assassins ont le cœur bien accroché et un excellent mental.

Le fait que ce soit raconté par Niccolo Polo nous lance en quelque sorte dans les péripéties d'Ezio, et je trouve que c'est pas mal comme rapprochement.

Un début qui été très voire trop long mais une fois Altaïr déchu de son titre et sa mission débuter que l'histoire débute réellement et ensuite avec l'arrivé de Maria une nouvelle tournure prend le livre donc c'est un très bon livre.