Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 610
Membres
1 013 161

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

_ Rends-toi, chien vénitien! grogna l'homme.

_ Tu viens de commettre ta première erreur, répliqua Ezio. Il ne faut jamais traiter un Florentin de Vénitien.

Afficher en entier

"Mon nom est Ezio Auditore. Jeune homme, j'avais la liberté, mais je ne le voyais pas. J'avais le temps, mais je ne le savais pas. J'avais l'amour, mais je n'en profitais pas. Il allait me falloir trente ans pour comprendre le sens de ces trois choses."

Afficher en entier

_ Qui êtes-vous, messere? demanda-t-elle en le regardant droit dans les yeux.

_ L'homme le plus intéressant que vous ayez croisé.

Elle esquissa un sourire furtif.

_ Ah! Presuntuoso!

#Sofia & Ezio#

Afficher en entier

Soudain, parmi eux, le voyageur remarqua un autre homme.

Il était jeune et déambulait au beau milieu des soldats. Personne ne semblait le voir. Sa mise était en tout point pareille à celle du voyageur, à cette différence près que ses vêtements étaient blancs. Un capuchon similaire camouflait son visage. Il se terminait en pointe au-dessus de son front, à la façon d'un bec d'aigle. Le voyageur, stupéfait, entrouvrit les lèvres. Tout était calme, serein. Plus personne ne bougeait à l'exception de ce jeune homme immaculé qui cheminait tranquillement, d'une démarche ferme et assurée.

Afficher en entier

Claudia, ma chère soeur,

Je suis à Acre depuis une semaine, hors de tout danger, heureux et bien portant, mais prêt à affronter le pire. Les hommes et les femmes qui m'hébergent m'ont averti que la route de Masyaf était envahie de mercenaires venus d'autres contrées. Je n'ose imaginer de qui ils parlent. Lorsque j'ai quitté Rome, il y a dix mois, je n'avais qu'un objectif: trouver ce que notre père a cherché en vain. Dans une lettre dont tu as eu connaissance, et écrite un an avant ma naissance, il évoquait une bibliothèque cachée sous la forteresse de Masyaf. Un sanctuaire abritant un savoir inestimable.

Que vais-je trouver à Masyaf? Qui sera là-bas pour m'accueillir? Une horde de Templiers, comme je le crains? Ou le souffle d'un vent glacial et solitaire? Les Assassins ont abandonné Masyaf depuis presque trois cent ans maintenant. Y sommes-nous toujours chez nous? Y sommes-nous les bienvenus?

Ah, Claudia, je suis désabusé, fatigué, car nos efforts semblent invariablement nous conduire vers la même chose... le chaos. Aujourd'hui, j'ai bien plus de questions que de réponses. C'est pourquoi je suis venu ici: pour trouver la lumière. Pour trouver la sagesse du grand Altaïr, pour mieux comprendre notre but et mon rôle dans ce combat.

Claudia, s'il doit m'arriver malheur... Si mes talents d'Assassin me trahissent, si mon ambition m'écarte du droit chemin, ne cherche pas à te venger en mon nom, mais poursuis notre quête de vérité, pour le bien de tous. Mon existence n'a rien d'extraordinaire et ma mort ne changera pas la face du monde.

Ton frère,

Ezio Auditore di Firenze

Afficher en entier

Très loin au-dessus d'eux, l'aigle continuait de dénicher ses proies. Personne ne le regardait, ne prêtait attention à sa beauté. A sa liberté.

Afficher en entier

Il n’y avait aucun bruit, hormis le souffle du vent. Mais soudain, il entendit quelque chose. Un grattement ? Devant lui, à sa gauche, quelques cailloux dévalèrent une pente nue. Il se tendit, se redressa légèrement – sa tête émergeait à peine de ses épaules courbées – et une flèche l’atteignit à l’épaule droite, transperçant son armure.

Il tituba légèrement, grimaça de douleur et empoigna le projectile. Il releva la tête et scruta à travers le dédale de roches saillantes qui se dressaient devant la forteresse sur près de six mètres de haut, pour former un mur d’enceinte naturel. Un homme apparut sur une arête. Doté d’un insigne de capitaine, il portait une tunique rouge terne, un surcot gris et une armure. Il avait la tête nue et le crâne rasé de près. Une cicatrice oblique striait son visage de droite à gauche. Il ouvrit la bouche en un sourire de triomphe et de malice, dévoilant des dents rabotées et irrégulières aussi brunes que les pierres tombales d’un cimetière à l’abandon.

Le voyageur commença à tordre le fût de la flèche. La pointe acérée du projectile s’était fichée dans le métal, mais elle avait à peine entamé la chair. Il laissa le fer en place, brisa le manche et le jeta négligemment. Ce faisant, il vit une centaine d’hommes faire irruption derrière le soldat. Pareillement vêtus, ils étaient armés qui de hallebardes, qui d’épées, et semblaient prêts à en découdre. Ils prirent position sur l’arête rocheuse et flanquèrent le capitaine au crâne rasé. Leurs visages étaient camouflés par des heaumes à nasal, mais l’aigle noir qui ornait leur cotte d’armes ne trompait pas. Le voyageur savait pertinemment à qui il avait affaire. Et ce qu’il adviendrait de lui s’il était capturé.

Afficher en entier

La tyrannie est toujours plus organisée que la liberté.

Afficher en entier

Sans raison apparente, Ezio repensa au jeune homme vêtu de blanc. Celui qu'il avait cru apercevoir en combattant, pendant l'accalmie. Il avait disparu aussi mystérieusement qu'il était apparu, tel un spectre. Pourtant, d'une certaine façon, il était réel. Il avait bel et bien communiqué avec lui.

Afficher en entier

— Décidément, Jésus te sourit, dit-elle.

— Tu as repris le contrôle des chevaux. Peu de gens en auraient été capables, répondit Ezio en reprenant son souffle. Jésus doit aussi te sourire. (Il remarqua le sang sur sa robe.) Es-tu blessée ?

— Une égratignure. Je me suis cognée contre le bord du siège.

— Tiens bon !

— Je fais de mon mieux !

— Veux-tu que je prenne les rênes ?

— Je n’ose pas les lâcher ! Ils rattrapaient de nouveau Ahmet.

— Ta détermination serait charmante, si elle n’était pas aussi exaspérante, lui cria-t-il.

À l’évidence, les périls de la poursuite ne lui avaient pas fait perdre son sens singulier de la politesse.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode