Extraits

- Dors maintenant...

J'aimerais lui dire tant de choses, mais je ne trouve pas les mots. Alors je lui obéis et je ferme les yeux.

Juste avant de sombrer, je parviens à lui chuchoter :

- Je ne veux pas que tu meurs, tu sais ?

- Je sais, soupire t-il

- Mais je ne peux pas non plus laisser Jaxon mourir.

Je ne peux pas.

- Ca, aussi je le sais.

- Ne me force pas à choisir.

Alors que les griffes du sommeil se referment sur moi, j'entend encore :

- Je ne te forcerai jamais à chosir, Grace. Car ce n'est pas moi que tu choisirais....

Il va falloir que tu me fasses confiance, je dis à Jaxon. Que tu me croies. Je ne vois pas autrement comment on peut avancer. Tu es mon promis et je t'aime, mais je ne peux pas passer le restant de ma vie à me battre pour te convaincre de m'écouter.

Spoiler(cliquez pour révéler)(Hudson parle)p.617

Jaxon se penche pour aider Grace à sortir de son trou. Quand il la prend dans ses bras, je vois rouge . Avant même qu’il l’embrasse, je suis à bout . Je reviens sur toutes mes bonnes résolutions.

Les poings serrés, je montre les crocs. Ce n’est pas comme ça que je voulais que Grace l’apprenne, mais les mots m’échappe sans que je puisse les retenir.

- Jaxon, tu veux bien enlever tes sales pattes de ma promise ?

You’d think I’d have gotten used to the staring by now, since it kind of comes with the territory when you’re a vampire prince’s girlfriend. But nope. And definitely not okay when every vampire, witch, dragon, and werewolf in the place is stopping to stare at you with their eyes wide and their mouths gaping even wider—like today.

Which, to be honest, really isn’t a very good look for any of them. I mean, come on. Aren’t I supposed to be the one weirded out in this equation? They’ve known all along that humans exist. It’s only been about a week since I found out the monster in my closet is real. As are the ones in my dorm room, my classes … and sometimes in my arms. So shouldn’t I be the one walking around with my mouth wide open as I stare at them?

Si le ciel crée une personne, la terre lui trouvera une utilité.

Tout le monde se conduit parfois comme un salopard. [...] La seule différence, c'est que certains sont suffisamment honnêtes pour ne pas se le cacher. C'est de ceux qui dissimulent leurs saloperies qu'il faut se méfier.

- Tout le monde adore cette compétition à Katemir [...]

- Evidemment qui n'aimerai pas risquer sa peau pour un jeu idiot. J'ai bien vu que l' instinct de survie n'était pas très en vogue dans ce lycée.

Chapitre 60 :

« Avant que je ne puisse répliquer, Flint me saute dessus pour me prendre dans ses bras et me faire tournoyer dans les airs en scandant mon nom.

Jaxon, jaloux, gronde en montrant les crocs.

Et Hudson l'imite.

Ma vie est un conte de fées. »

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Chapitre 54 :

« Le dragon me suit ; il ne veut pas que je m'arrête.

Je lui tapote la tête.

- Je pourrais te faire des mamours toute la journée, mais on a un devoir à rendre. Et tu ne m'as toujours pas expliqué comment je suis censée te grimper dessus.

Avec un soupir, Flint s'agenouille devant moi.

- Merci, mais c’est toujours trop haut.

Même ventre au sol, il me domine de deux ou trois mètres.

Je ne vois pas comment je pourrais escalader son flanc.

Flint penche la tête sur le côté, puis il lève ses yeux de dragon au ciel, ce qui me vexe encore plus que s'il était sous forme humaine.

Cette fois, quand il me donne un petit coup de tête, je refuse de le caresser.

- Sérieusement Flint, on va faire comment ?

On pourrait faire fabriquer une selle sur mesure, ironise Hudson.

- Toi, tais-toi, si ce n’est pas pour faire des suggestions utiles.

Flint me donne encore un coup de tête, plus fort cette fois.

- Hé ! je proteste. Attention.

Mais il recommence.

- Flint ! je râle en titubant en arrière. Tu veux bien arrêter ? Tu me fais mal !

Il soupire et baisse la tête.

Cette fois, il ne la presse plus contre mes épaules, mais contre mes cuisses.

- Bon, ça suffit ! je m'énerve. Si tu continues, je vais…

C'est là qu'il parvient à fourrer son nez entre mes cuisses.

Je hurle.

- En voilà une scène étrange, constate Hudson.

- Ne commence pas, je crache.

J'ai autre chose à faire que d'écouter Hudson : un type qui n'est pas mon petit ami vient de mettre sa tête entre mes jambes !

Sans prêter attention à mes remontrances, Flint me fait basculer d'un coup de tête et je me retrouve assise sur sa nuque.

Puis je glisse, comme sur un toboggan, avant de m'écraser la tête la première sur son dos. »

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« J’ai comme l’impression qu’ils vont me botter le cul.

— Il y a pire cul à botter, réplique Hudson d’un air malicieux. »