Après 150 pages, j'ai tiré ma révérence. Trop de parlage inutile, pas assez de faits, de concrets et d'action. J'attendais mieux.

Bien que ça a prit la moitié du livre pour arriver à l'intrigue principale, on sent que c'est un ouvrage qui a été très travaillé, méticuleusement structuré et dont l'univers a été scrupuleusement pensé.

Un des premiers livres audio que j'ai écouté de ma vie (ça compte aussi, lol). Je remercie Spotify premium pour ça. Étant amatrice de l'univers lovecraftien, mais ayant du mal avec sa prose, écouter le livre m'a facilité la tâche pour imaginer le culte et ses horreurs. Un peu comme les adaptations en manga de Gou Tanabe.

C'est bourré de clichés sur la femme qui se sert de son corps comme arme. C'est dégradant. Je me suis arrêtée aux trois quarts avant de lâcher.

Le sujet de base était bon, mais je trouvais que le texte se concentrait trop sur le passé d'Anna et l'émotivité, et pas assez sur les faits présents, ce qui fait que l'histoire était plutôt réduite.

Je trouvais justement que Sarada et Mitsuki étaient pas mal absents. Il était temps qu'ils reviennent, mais il serait temps qu'ils participent un peu plus.

À ce train-là, la seconde série va avoir autant de volume que la première.

En tant que fan finie de remake de classiques de la littérature, il allait de soi que je lise cette œuvre, surtout après avoir dévoré Innocent. C'est une belle adaptation avec, de nouveau, des illustrations magnifiques.
Une adaptation qui irait parfaitement avec le style graphique de ce mangaka, c'est Hellraiser, écrit par Clive Barker. J'essaie de voir les traits de Pinhead sous la plume de Sakamoto, ça donne des frissons.

C'est sûr, Tesla n'est pas fort pour donner des noms à ses inventions.

Ça fait vraiment bizarre de voir Seth en mode "légume". Ça ne lui ressemble tellement pas.

La coupe traditionnelle ne va pas trop à Bena. J'aimais mieux ses cheveux longs.

Bien que je ne suis pas fana des illustrations plus que ça, c'est quand même une bonne adaptation.

C'est courant partout. Quelqu'un fait quelque chose de "mal", on met automatiquement tous ses semblables dans le même panier en criant vengeance.

J'ai été un peu déçue de voir Ripley absente de ce romans, mais on y retrouve quand même quelques références à notre héroïne et un arrière-goût rappelant le deuxième et le quatrième film.
C'est aussi nouveau d'avoir, en quelque sorte, le pov des Aliens en tant que tel car ils n'ont pas vraiment manifesté beaucoup d'intelligence.
Mais sérieusement, Weyland-Yutani est vraiment débile profond pour courir pendant des siècles après des créatures qui peuvent les déchiqueter.

Bon, après en avoir lu deux de suite, j'ai fini par retrouver le rythme et la cohérence.

Comme les tomes ne sortent pas vite, on perd un peu le sens de l'histoire et il y a tellement de groupe que je ne distingue plus les alliés des ennemis.

Ce remake, se situant entre le premier et deuxième film, ressemble quand même à l'œuvre originale de 1979. L'intrigue est assez similaire, mais j'aime tellement cet univers qu'il fallait que je la lise.

Combien de réchaud Dahliya va encore inventer? Ça serait bien si elle pouvait pondre quelque chose d'un peu plus spectaculaire.

Dans cette série, les yakuzas se reconvertissent vraiment dans tout... sans pour autant lâcher leur air de gros durs.

Les évènements du dernier tome se sont enchaînés un peu vite et ça a finit sec, je trouve.

J'avoues qu'Émilico était assez quelque chose dans la scène avec Oliver et Olly.

Même si la conclusion la plus logique et socialement normale, ce n'est pas tout à fait la conclusion que moi, et sûrement la majorité des lecteurs, escomptaient.

Je ne suis pas trop sûre si c'est des Prozac ou une claque qu'il faudrait à la mère de Koto pour qu'elle se calme enfin.

Je ne comprends rien au langage SMS! C'est du vrai chinois! Une chance qu'on a les traductions.

J'avais de grandes attentes quand j'ai entamé cette trilogie, mais au bout du compte, je n'ai pas plus accroché que ça. J'ai un peu de mal avec le style d'écriture d'Atwood et sa tendance à trop se focusser sur le passé, plutôt que sur l'intrigue présente.