Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Accepté comme guerrier par la nation indienne des Natchez en 1725, René obtient, une nuit, que Chactas, son père adoptif, lui fasse le récit de ses aventures. Le vieux Sachem commence alors à lui conter comment, après avoir été jadis fait prisonnier d'une tribu, il fut sauvé par Atala et s'enfuit pour vivre avec elle une passion tragique. Les rôles s'inversent plus tard dans René, quand le jeune homme, devant Chactas et le père Souël, fait le récit de son existence marquée par le " dégoût de tout " - existence souvent proche de celle que le jeune Chateaubriand lui-même a vécue. Le Français René qui s'est fait sauvage constitue ainsi le pendant de l'Indien Chactas qui avait voyagé en France et les deux œuvres ne sont pas séparables. Chateaubriand avait en effet le projet de les intégrer dans le grand roman américain des Natchez, puis il décida de faire paraître Atala de manière séparée en 1801, avant de l'intégrer l'année suivante dans le Génie du christianisme en même temps que René dont " le vague des passions " fera l'emblème du mal du siècle.
Encore une lecture datant du lycée. Elle avait été un peu gâchée par la place omniprésente de la religion chrétienne, par la condescendance envers les tribus "sauvages" (éducation, conversion au christianisme) et la direction tragique du récit, bien que typiques de la littérature de cette époque (romantisme).
Chactas, un vieil Indien de la tribu du même nom, entreprend de raconter à René les aventures de sa jeunesse.
Adopté par un chrétien, nommé Lopez, il est fait prisonnier à l'âge de 20 ans par une tribu ennemie. Atala, une jeune Indienne d'éducation chrétienne, va le sauver...
Une nouvelle romantique lue dans le cadre scolaire.
Je me souviens surtout que les descriptions des paysages étaient vraiment impressionnantes, ce qui est caractéristique du romantique (de l'époque de Chateaubriand).
La plume de François-René a bel et bien sa renommée, mais j'ai lu ce livre dans le cadre scolaire. Et donc, disons qu'analyser ce livre sous toutes ses coutures fait un peu perdre de son charme. L'un des grands du courant romantique sinon LE plus grand écrivain de cet époque!
Rencontre improbable entre un conte voltairien et les clichés de la poésie romantique, Atala est un livre que j'ai trouvé bien écrit — il faut l'avouer —, mais loin d'être palpitant. Quelques tableaux et scènes touchent par leur justesse ou leur beauté, mais la cohabitation de deux aspects très dissemblables a suscité un sentiment de discordance et d'hétérogénéité qui a nui à mon plaisir...
Au premier abord, avant analyse, j’ai franchement plus apprécié Atala que René que j’ai trouvé plus touchant. Je me suis plus attachée aux personnages disons. Mais le coté apologie du christianisme n’était pas trop ma tasse de thé.
Ce roman est sûrement un chef-d'oeuvre, cependant j'ai eu l'obligation de le lire dans un cadre scolaire, ce qui m'a totalement bloquée et je n'ai du coup pas beaucoup aimé.
Je voulais le lire depuis un moment. J'ai été attirée par le tableau en couverture. Et puis un jour j'ai reçu ma liste de lecture pour la terminale et il était dedans ! C'était l'occasion parfaite ! Au final j'ai bien aimé mais sans plus. Pour moi cette histoire était trop teintée de religion. C'est plutôt dommage pour l'histoire d'amour mais le plus important est sans doute la morale qui passe au travers de cette fin.
Un roman romantique, pleinement dans l'exaltation des sentiments et de l'exotisme. Le récit est véritablement touchant et l'on suit avec curiosité la découverte des paysages américains de XVIIIe siècle.
Evidemment, l'aspect religieux est omniprésent... Mais c'était précisément l'objectif de Chateaubriand, il faut donc replacer l'oeuvre dans son contexte d'écriture !
Un chef d'oeuvre romantique. Ces deux nouvelles purement romantiques sont merveilleusement bien écrites et extrêmement touchantes. On est emporté dans un océan de sentiments houleux au travers des histoires d'Atala et René. Si peu de pages pour tellement d'émotions plus bouleversantes les unes que les autres... Je le recommande aux amoureux de la littérature classique, aux adorateurs de la langue française d'une incroyable beauté dans ces deux récits et à toutes autres personnes ayant envie de s'essayer au genre, ces œuvres valent la peine d'être lues, ne serait-ce que pour l'atmosphère magique et joliment mélancolique qui nous enivre dès les premières lignes.
Résumé
Accepté comme guerrier par la nation indienne des Natchez en 1725, René obtient, une nuit, que Chactas, son père adoptif, lui fasse le récit de ses aventures. Le vieux Sachem commence alors à lui conter comment, après avoir été jadis fait prisonnier d'une tribu, il fut sauvé par Atala et s'enfuit pour vivre avec elle une passion tragique. Les rôles s'inversent plus tard dans René, quand le jeune homme, devant Chactas et le père Souël, fait le récit de son existence marquée par le " dégoût de tout " - existence souvent proche de celle que le jeune Chateaubriand lui-même a vécue. Le Français René qui s'est fait sauvage constitue ainsi le pendant de l'Indien Chactas qui avait voyagé en France et les deux œuvres ne sont pas séparables. Chateaubriand avait en effet le projet de les intégrer dans le grand roman américain des Natchez, puis il décida de faire paraître Atala de manière séparée en 1801, avant de l'intégrer l'année suivante dans le Génie du christianisme en même temps que René dont " le vague des passions " fera l'emblème du mal du siècle.
Afficher en entier