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Benjamin Malaussène a un drôle de métier : bouc émissaire au service réclamations d'un grand magasin parisien où il est chargé d'apitoyer les clients grincheux. Une bombe, puis deux, explosent dans le magasin. Benjamin est le suspect numéro un de cette vague d'attentats aveugles. Attentats ? Aveugles ? Et s'il n'y avait que ça ! Quand on est l'aîné, il faut aussi survivre aux tribulations de sa tumultueuse famille : la douce Clara qui photographie comme elle respire, Thérèse l'extralucide, Louna l'amoureuse, Jérémy le curieux, le Petit rêveur, la maman et ses amants... Le tout sous les yeux de Julius, le chien épileptique, et de Tante Julia, journaliste volcanique. Quel cirque !
Avec ce premier tome des aventures de Malaussène, on plonge avec bonheur dans un univers baroque. Pennac multiplie les personnages secondaires, les digressions. Ça grouille comme dans une fourmilière. Le rire n'est jamais loin des larmes, le sordide côtoie le sublime. --Bruno Ménard
Quatrième de couverture
Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël.
Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).
Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné.
Pourquoi moi ?
Je dois avoir un don... --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
Et puis, pour faire des gosses, il faut- s'aimer soi-même, et je ne m'aime pas, pas du tout, jamais pu me blairer, c'est sans doute pour ça que je suis toubib, Ben, comprends-moi, je veux bien qu'elle m'aime, mais je ne veux pas qu'elle me reproduise, tu comprends ça, non ?
Le premier opus de la saga Malaussène est tout simplement jubilatoire. Tous est réussi ici pour faire de cette lecture un prenant divertissement : des personnages loufoques et rocambolesques, des situations comiques et trépidantes, un humour noir , de la dérision, du grave aussi…
Sur font d’attentats, Benjamin Malaussène, bouc-émissaire et responsable de famille, le tout bien malgré lui, se voie mêlé à une enquête policière dont il est le principal suspect. C’est une histoire aux multiples trames qui s’entrecroisent à un rythme fou sous la plume tonic et impertinente d’un auteur qui joue à merveille avec les limites de la vraisemblance et de l’extravagance.
Quel plaisir, quel sens de la narration… parce que sous l’apparence compliqué et dispersé du début du roman avec ses multiples personnages, il y a une extraordinaire construction de l’intrigue qui m’a tenu en halène jusqu’à la dernière ligne où tout prend forme, où tout s’éclaire.
Mon personnage préféré : Julius, le chien épileptique de Benjamin.
Bref, je ne vous parlerai pas de l’histoire, des personnages, du qui fait quoi, avec qui… je risquerai de vous désintéresser de ce livre. Je vous dirais simplement que j’ai adoré la lecture de ce roman. Roman tellement déjanté, si plein de fantaisie et de burlesque que je ne peux que m’écrier – « Vivement la suite ». Vivement retrouver Benjamin et toute sa tribu, Belleville, ses p’tits vieux… dans « La fée carabine ».
J'arrête ma lecture à la moitié. Ce roman ne m'a pas convaincue. Je le trouve confus dans le sens où je n'ai pas toujours d'images qui se dessinent dans ma tête à la découverte de certaines scènes et cela gène ma compréhension. Il y a quelque chose qui me séduit dans l'humour déjanté mais à ce stade, comme ce n'est plus suffisamment source de plaisir, je préfère passer à autre chose.
N'étant pas une grande fan de Pennac, ce livre vient conforter mon opinion. Je n'irais pas plus loin dans l'exploration des œuvres de l'auteur. Je ne suis pas tellement convaincue par ce que j'ai lu.
Je me rappelle avoir adoré ce livre quand j'étais jeune et maintenant je n'en vois plus l'attrait.
Il y a des longueurs, le personnage principal m'est antipathique et certaines descriptions de personnages me laissent un léger dégoût (description de Julia notamment).
Bref, autant j'avais adoré à la première lecture autant la deuxième fut laborieuse.
J'ai adoré ce roman. Très belle lecture. Captivante grotesquerie. Sympathique morceau littéraire. Ne pas se laisser décourager par le premier chapitre; une fois passée l'entrée in medias res, (et les quelques questionnements du genre "les vieillards de Théo ?", "le Petit?"), on se prend rapidement d'affection pour Benjamin, l'ainé d'une grande fratrie disjonctée, qui se retrouve empêtré dans une histoire d'attentats.
Beaucoup de macabre et pourtant qu'est-ce que j'ai ri.
Le monde ne mérite pas Benjamin Malaussène, mais Benjamin Malaussène mérite tous les câlins du monde.
Un livre qui se dévore comme un petit pain et qui, au lieu de transformer en ogre, rend plus humain. L’histoire, les personnages, leur manière de s’exprimer peut sembler loufoque, mais c’est justement cette bizarrerie, cette « non normalité » qui rempli ce livre de sensibilité… à l’image du reste de la saga !
Je me suis pourtant forcé à continuer mais non , je n'aime pas . L'humour sans cesse métaphoré a eu raison de mon goût pour ce dernier et pas du tout dans le style de l'auteur .
De même , j'ai acheté ce livre aux vues des critiques positives .
A lire absolument, ainsi que toute la série des Malaussène ! Joyeusement décalé, un langage animée et très cash, mais très poétique en même temps ! Un vrai conte farfelu, drôle et tellement bien écrit !
Résumé
Amazon.fr
Benjamin Malaussène a un drôle de métier : bouc émissaire au service réclamations d'un grand magasin parisien où il est chargé d'apitoyer les clients grincheux. Une bombe, puis deux, explosent dans le magasin. Benjamin est le suspect numéro un de cette vague d'attentats aveugles. Attentats ? Aveugles ? Et s'il n'y avait que ça ! Quand on est l'aîné, il faut aussi survivre aux tribulations de sa tumultueuse famille : la douce Clara qui photographie comme elle respire, Thérèse l'extralucide, Louna l'amoureuse, Jérémy le curieux, le Petit rêveur, la maman et ses amants... Le tout sous les yeux de Julius, le chien épileptique, et de Tante Julia, journaliste volcanique. Quel cirque !
Avec ce premier tome des aventures de Malaussène, on plonge avec bonheur dans un univers baroque. Pennac multiplie les personnages secondaires, les digressions. Ça grouille comme dans une fourmilière. Le rire n'est jamais loin des larmes, le sordide côtoie le sublime. --Bruno Ménard
Quatrième de couverture
Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël.
Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).
Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné.
Pourquoi moi ?
Je dois avoir un don... --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
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