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Capitaine Christophoros Markou, Tome 1 : Au 5è étage de la faculté de droit



Résumé

Cinquième étage de la faculté de droit d’Athènes, section de criminologie. Anghélos Kondylis, doctorant en criminologie, découvre le corps sans vie de la professeure Irini Siomou… avant d’être tué à son tour. Chargé d’enquêter sur ce double meurtre, Christophoros Markou, jeune capitaine fraîchement diplômé, entre dans l’univers secret de l’Université : un effrayant dédale où s’entrelacent ambitions professionnelles, compromissions, lâchetés et vanités. Markou trouvera-t-il la lumière ?

Puisant dans sa propre expérience, Christos Markogiannakis, diplômé de criminologie et de droit, auteur d’un essai remarqué, Scènes de crime au Louvre, signe un brillant premier polar qui dévoile la personnalité atypique du capitaine Markou, empêcheur de tourner en rond dans une Grèce au bord du chaos. Christos Markogiannakis est né en 1980 à Héraklion. Il a étudié le droit et la criminologie à Athènes et à Paris et travaillé pendant plusieurs années comme avocat pénaliste. Auteur de romans policiers et d’installations mêlant l’art et le crime, ses « Criminarts », il réside actuellement à Paris.

En 2017, il a publié un essai intitulé Scènes de crime au Louvre (éditions Le Passage) qui analyse la représentation du crime dans les tableaux du Louvre, et qui a reçu un très bon accueil critique. Au 5e étage de la faculté de droit est son premier roman traduit en français.

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Classement en biblio - 16 lecteurs

extrait

Si l'on ne trouve pas l'auteur d'un crime dans les quarante-huit heures, après, plus le temps passe, plus c'est difficile. Ce stupide lieu commun véhiculé par la presse et les séries télévisées lui revint en mémoire. Il était bien placé pour savoir que la résolution de cette affaire serait le fruit d'un long travail. Et que cela prendrait du temps. Sans compter la chance. Celle qui avait toujours été de son côté. Comme on dit en Grèce, aide-toi, Athéna t'aidera.

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Or

Au Cinquième étage de la Faculté de Droit, paru en Grèce en 2014, a été publié par les éditions Albin Michel en 2018. Le style fluide est neutre, tel un compte-rendu journalistique, afin de laisser place aux éléments de l'enquête, sans s'encombrer de détails inutiles: "A peine arrivé dans son bureau, il avait étalé devant lui tous les clichés, ceux qui avaient été pris par la police scientifique sur le lieu de crime et ceux du médecin légiste. Cette mosaïque macabre occupait les trois quarts de la table. La surface restante disparaissait sous le rapport d'autopsie et l'analyse de la scène de crime." (Page 135). L'histoire est racontée à la 3e personne, au passé.

Construction: chaque début de chapitre précise la date, l'heure et le lieu, comme dans un rapport d'enquête.

14 février au matin. Dans les couloirs de la faculté de droit, section de criminologie, au 5e étage, découverte de deux corps: Irini Siomou, maître de conférences, et le doctorant Anghelos Kondylis: tous les deux ont été abattus par balle la veille au soir, aux environs de vingt-trois heures. Chargé d'enquêter sur ce double meurtre fort mystérieux, le jeune diplômé Christophoros Markou entre de plain-pied dans l'univers secret de l'Université. Qui a tué et pourquoi?

Qu'a-t-il bien pu se passer? Que faisaient les deux victimes à une heure aussi tardive dans les locaux de la faculté de droit? Comment expliquer que des coups de feu aient été tirés sans que le gardien n'entende quoi que ce soit? Et comment expliquer le choix des victimes? Avaient-elles une chose en commun qui le justifie ou était-ce juste du hasard?

Qui avait un mobile pour assassiner Siomou qui ne s'entendait avec personne et faisant régner une ambiance pesante dans le département? A peu près n'importe quel collègue ou étudiant, vu que tout le monde ou presque possède une clef du bâtiment...

Pourquoi Kondylis, qui rentrait de son séjour à Paris, est-il venu directement de l'aéroport alors que son rendez-vous avec le docteur Daniéli, sa directrice de thèse, avait été annulé? Et où est passée la sacoche en cuir qu'il avait avec lui en arrivant? Et celle de Sioman dont elle ne se séparait jamais?

Autant de questions auxquelles le jeune inspecteur devra trouver de réponses s'il veut faire la lumière sur ces crimes qui endeuillent la faculté. Entre ambitions professionnelles, compromissions, lâchetés et vanités, il aura fort à faire, d'autant que mobiles et suspects se bousculent...

La particularité de ce roman est qu'il se déroule à huis-clos, dans les locaux da l'université d'Athènes, au cinquième étage précisément. De ce fait, les seules descriptions détaillées concernent le lieu du crime et ses environs: "au bout du couloir qui desservait sept bureaux d'enseignants et quatre salles de cours, ainsi que les toilettes de l'étage, près du hall d'entrée." (Pages 17-18) =>Plutôt curieux comme endroit pour abattre deux personnes. Si ce n'était l'heure tardive, n'importe qui aurait pu déranger le tueur. Extrêmement perturbant...

D'autant que le département jouit d'une reconnaissance et d'une réputation internationales, attirant de nombreux candidats...Mais la face cachée est bien moins reluisante, car le département est un microcosme où se jouent des conflits, des rivalités, des ambitions, des lâchetés aussi, créant une atmosphère délétère peu propice à une ambiance de travail où chacun pourrait se consacrer à ses études et ses recherches en toute sérénité.

Un polar très intéressant parce qu'il donne de la Grèce d'aujourd'hui un aperçu différent de celui de Petros Markaris dans Pain, éducation, liberté, Liquidations à la grecque, ou encore Le Justicier d'Athènes, romans plus ancrés dans les difficultés quotidiennes sur fond de faillite du pays. Au cinquième étage de la faculté de droit est un polar dans la pure tradition du whodunit avec des personnages travaillant dans le même lieu, tous suspects car tous ayant un mobile et l'occasion, si on considère les alibis facilement démontables. 

Le +: particularités de l'enquête menée par Markou qui a fréquenté le département lors de ses études en criminologie, deux ans avant les meurtres. Il connaît la plupart des professeurs et certains étudiants. Déjà, à l'époque, il avait ressenti le malaise qui minait le département, sans se douter que les choses pourraient aller aussi loin: "Le point de départ était toujours le même: la posture scientifique d'Untel contestée par ses collègues ou u désaccord théorique qui débouchait neuf fois sur dix sur des attaques et des jugements personnels, quand cela ne dégénérait pas en violence verbale. Les étudiants, d'abord un peu surpris, puis franchement amusés de voir surgir ces disputes... ne se doutaient pas que ce n'était que la partie émergée de l'iceberg. Ces scènes divertissantes étaient le signe de l'atmosphère délétère qui régnait dans le département et qui, sans que personne puisse le deviner à l'époque, laissait présager l'événement qui l'avait ramené sur les lieux, ce 14 février." (Page 17).

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Lu aussi

Au titre évocateur d’une faculté de droit, je me devais de m’y plonger. C’était en quelque sorte un petit retour aux sources pour moi qui aie fréquenté les bancs de l’université et plus particulièrement, ceux de la faculté de droit de Louvain-la-Neuve pendant plus de 5 ans. Voilà déjà 9 ans que j’en suis sortie diplômée d’un master de droit et les années filent décidément à tout allure.

Tout commence par le meurtre d’une professeur, détestée tant par ses collègues que par ses étudiants, et d’un doctorat charismatique dans les couloirs sombres du département de criminologie de la faculté de droit d’Athènes tard dans la nuit. Le capitaine Markou est dépêché le lendemain sur les lieux et commence alors une enquête qui risque de dévoiler tous les sombres secrets des membres de ce petit microcosme qu’est le monde universitaire avec ses rivalités, ses jalousies et ses coups tordus.

Une des choses que j’ai vraiment apprécié dans ce livre a été de pouvoir voyager jusqu’en Grèce et plus particulièrement, jusqu’à Athènes car c’est dans les couloirs de la faculté de droit de cette ville qu’on atterrit grâce à ce roman policier. Je l’ai trouvé entouré d’une atmosphère tout à fait particulière et savoureuse. Je pense que c’était mon baptême du feu en matière de littérature grecque et il a été tout à fait réussi.

Le jeune auteur Christos Markogiannakis est lui-même diplômé de cette faculté et a utilisé sa propre expérience pour en planter son décorum. J’ai trouvé qu’il misait beaucoup sur son capitaine et sur l’enquête au sens traditionnel du terme, sans que les technologies (malgré leur aide inépuisable apportée de nos jours aux enquêtes policières) n’interviennent à tout moment, ce qui est particulièrement appréciable pour parfois être dépaysant.

Alors que je suis en pleine période en ce moment de nombreuses lectures de polars et de thrillers en tout genre, je l’ai trouvé un peu plus original que d’autres par une atmosphère assez rétro, notamment par la personnalité tout à fait atypique de son protagoniste principal, le capitaine de police Markou. J’ai parfois eu l’impression de me retrouver en plein roman d’Agatha Christie et de son infatigable détective Hercule Poirot. Il ne manquait plus que la pipe, le chapeau et la moustache à ce cher Markou pour combler l’illusion. Le final en la scène de la révélation de l’auteur des crimes a de nombreux points communs avec la littérature de cette très chère et talentueuse auteure anglaise qu’était Agatha Christie.

J’espère que cet auteur n’en restera pas là et nous comblera, nous lecteurs, d’autres aussi bonnes lectures.

Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/04/chronique-rapide-au-5e-etage-de-la.html

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Argent

Pour son premier roman, Christos Markogiannakis nous offre un récit en huis clos, théâtral et très inspiré d'Agatha Christie.

Le capitaine Markou se retrouve avec un double meurtre à élucider. Très charismatique, ce personnage n'est pas sans rappeler un certain Hercule Poirot au sommet de son art. L'originalité réside dans le fait que Markou connaisse tous les suspects et victimes pour avoir fait ses études dans la faculté de droit d'Athènes.

Un véritable jeu de dupes se livre sous nos yeux et d'interrogatoires en plaidoiries, Markou aura fort à faire pour résoudre son enquête.

Je ressors de cette lecture plutôt satisfaite car l'auteur nous livre une intrigue solide avec de très bons personnages et une ambiance très visuelle. L'enquête se suit en effet comme un film.

Un peu déçue par le final du dénouement mais ça se tient au niveau de l'intrigue, ce premier polar est prometteur et atypique.

J'ai été aussi attristée par le fait que la psychologie des personnages ne soit pas très développée, notamment le capitaine Markou qui aurait mérité un traitement un peu plus développé.

Une évasion livresque sympathique

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Lu aussi

Démarrage difficile, j'ai failli m'ennuyer. Mais ensuite, il y a eu un sursaut qui a réveillé mon attention et l'histoire est devenue plus intéressante. Mais en général, pour moi, il y a plus de reproches que de points positifs: l'écriture est correcte, voire simplette, mais les personnages ne me plaisent pas beaucoup, je trouve aussi non crédible que l'enquêteur principal donne toutes les informations à une "indic" qui ne sait rien au final, et enfin, le style du dénouement façon Hercule Poirot laisse un sentiment mitigé. C'est un livre simple, qui voulait peut-être emprunter l'atmosphère des policiers britanniques comme ceux d'Agatha Christie, qui peut se lire mais sans plus.

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Bronze

Un premier roman policier pour cet auteur découvert par hasard au festival du livre. Un début un peu lent et long à démarrer mais une fois l'affaire enclenché il est difficile de ne pas vouloir continuer à lire et connaitre le fin mot de l'histoire. Un bon livre de plage ou de détente. Une saga comprenant les mêmes personnages est prévu par l'auteur.

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Date de sortie

Capitaine Christophoros Markou, Tome 1 : Au 5è étage de la faculté de droit

  • France : 2018-03-28 - Poche (Français)

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