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À dix ans, accusé d'avoir assassiné sa mère, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s’en échappe avec une soif de vengeance sans bornes, et entame un long périple meurtrier à travers les États-Unis. Très vite, une chasse à l’homme s’organise : la police, la presse et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, remarquablement intelligent, méticuleux et amoral. Bishop sème la mort sans répit, n'ayant de cesse de changer d'identité et laissant sur sa route davantage de cadavres que d'indices. Au fur et à mesure de ce carnage sans précédent, l'Amérique entière plonge dans la paranoïa et l'hystérie. Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d’Adam Kenton, journaliste dangereusement proche du tueur, vont finir par dévoiler un inquiétant jeu de miroir...
<Kenton> Il ne pouvait s'empêcher de songer à ce que Bishop aurait infligé à ce corps, à ces seins, à ce ventre. L'idée le fit frémir. Mais après tout, Bishop était-il si différent ? Lui-même, notamment quand il était jeune, avait souvent pensé à tuer des femmes, à les torturer, à les faire souffrir. Mais cela relevait du pur fantasme. Un simple et banal fantasme masculin.
Alors… que dire de ce roman précurseur sur les tueurs en séries… 888 pages d’impressions à résumer va être difficile.
Partant sur un ouvrage policier basique, j’ai été très surprise. On est bien loin des clichés que l’on retrouve dans tous les livres du genre. Ici, nous ne sommes pas dans la tête d’un quelconque policier ou protagoniste mais… dans celle du tueur, au plus près du mal…
Les passages peuvent parfois en devenir choquants. Non pas par les faits mais surtout parce qu’abordés du côté de Bishop, les meurtres ne sont pas critiqués en eux-mêmes sur le moment mais considérés comme normaux, voire justiciables et surtout, avec plaisir…
Curieusement pourtant, ce tueur à la fois sexy et sanglant devient fascinant pour le lecteur. De la même manière que Kenton, le journaliste, on finit par penser un peu de la même manière que Chess Man. On en vient à espérer que la traque des policiers sera vaine, en ne montrant absolument aucune empathie pour les femmes massacrées. Si on ne peut toutefois excuser Bishop, on lui laissera le bénéfice de sa non éducation et de son traumatisme (avec réserves).
Vous l’aurez compris, ce roman est bien loin de Mary Higgins Clark et, s’il n’est pas d’un suspense palpitant (puisque nous savons où se trouve le tueur et qui il est, contrairement aux autorités) on ne peut le lâcher pour autant.
Spécial donc mais très intéressant au niveau du point de vu meurtrier abordé ici.
Si j’ai également trouvé les passages sur Kenton captivants, certains autres m’ont paru très longs, notamment ceux avec les politiciens. Magouilles, sexe, corruption… ça fait parfois beaucoup. Surtout lorsque les descriptions s’éternisent… Ces longueurs m’ont parfois perdue, et si je me serais bien passée de certaines d’entre elles, il s’agit toutefois de faits réels pour la plupart. Chessman fut bel et bien exécuté en 1960, posa la question de la peine de mort et créa polémique aux USA. Peut-on aborder ce sujet en évitant la politique… pas sûr.
Politiciens cyniques, police incompétente, journalistes prêts à tout, quoi qu’il en soit, le mal est partout !
On se demandera tout de même si l’auteur n’est pas lui-même quelque peu misogyne… en effet aucune des femmes rencontrée dans le roman ne tient de place de choix. Elles restent décrites comme naïves ou manipulatrices et aucune ne sort du lot tout au long du récit…
La fin m’a laissée assez perplexe… Spoiler(cliquez pour révéler)l’auteur laisse planer le doute d’un échange de bébés à la maternité et je me suis demandé s’il ne cherchait pas également à induire la possibilité de deux tueurs ayant évolués en parallèle (comme cela avait été envisagé par les enquêteurs). Quoi qu’il en soit, pour moi, si une telle idée est à se poser, elle arrive comme un cheveu sur la soupe et je préfère laisser cette partie de la fin de côté. Cela ne me convainc pas du tout.
En conclusion, Au-delà du mal est d’un réalisme cru, parfois dérangeant comportant quelques longueurs et je vous le recommande fortement. Si vous êtes une femme, évitez toutefois de le lire avant de vous rendre dans un bar où vous risqueriez de rencontrer un beau jeune homme…
Même si on suit l'intrigue avec intérêt, notamment la montée en puissance de la folie meurtrière de Thomas Bishop ainsi que la chasse à l'homme qui en découle, je ne peux que être d'accord avec de nombreuses autres critiques: c'est beaucoup trop long. Trop de détails inutiles font que la lecture est parfois (souvent) ennuyeuse. Malgré tout, les 150 dernières pages (sur un total de 889 ça ne fait pas beaucoup) et peut-être aussi les 200 premières sont les plus intéressantes du livre. Mais entre ces 2 extrêmes, c'est LOOOOOOOOONG. La toute fin est en revanche surprenante. Ma note: 5/20
Beaucoup trop long. J'ai aussi relevé beaucoup d'incohérences.Spoiler(cliquez pour révéler) comment un enfant battu et brûlé ne peut avoir aucune cicatrice
« Un immense livre » a dit James Ellroy sur ce roman, je suis d’accord, c’est un énorme pavé mais je ne le qualifierais pas d’immense dans le sens génial. Déjà à cause des chapitres beaucoup trop long, pour moi, ça casse le rythme intense et lui donne au contraire une lenteur pas forcément la bienvenue pour un thriller. Bon, passé ce point le roman est quand même prenant, déjà par son écriture et ensuite par l’intrigue.
Le roman est bien écrit, il se passe toujours quelques choses, que ce soit pour approfondir un personnage ou pour faire avancer l’histoire. L’intrigue quant à elle, est absolument géniale, bien que l’idée de suivre un tueur en série ne m’est pas inédit, je préféré ce roman à Level 26 par exemple. On va donc suivre les péripéties d’un meurtrier, ainsi que celui des enquêteurs et d’un journaliste qui sert de lien entre les deux, ça me plaît, la construction est bonne, je me suis facilement attaché aux personnages. L’avantage d’un aussi gros pavé c’est que l’auteur a le temps et la possibilité d’approfondir son histoire en disséminant des indices, ce que je n’ai pas aimé en revanche c’est le côté un peu trop parfait de Bishop, le tueur en série. Thomas Bishop à des facilités dans l’intrigue qui lui permettent sans trop de contraintes d’étaler son mal partout à travers les Etats-Unis.
Seul le journaliste Adam Keaton a un rôle vraiment intéressant selon moi, à côté de ça le tueur tue et les enquêteurs enquêtent, mais lui, grâce à ce lien si particulier qu’il a avec Bishop, ça le place dans un entre-deux dangereux qui rend le tout intriguant et rajoute du suspens au roman.
Malgré un départ un peu difficile, j’ai quand même beaucoup apprécié ce livre, et je le recommande en plus de ça, car en dehors de quelques facilités, l’intrigue est bien ficelée, et au final je n’ai pas vu les pages se tourner.
C’est un livre qui m’a demandé plus de temps de lecture par l’horreur de l’histoire. L’auteur a voulu nous montrer le parcours d’un tueur en série dans sa folie et surtout comment on peut en devenir un. Il faut s’accrocher mais c’est bien.
Un ami me l'a recommandé et je le recommande à mon tour.
Un thriller mettant en scène un tueur complètement fou. Mais surtout l'écrivain arrive à nous faire rentrer dans la tête de se tueur et à faire en sorte que nous ayons l'impression que se soit nous qui commettons les crimes. Absolument démoniaque. C'est le qualificatif pour ce livre qui nous mène jusqu'au bout de l'horreur et nous fait nous sentir mal à l'aise.
Il faut s'accrocher ferme pour rentrer pleinement dans ce livre. Malgré leur importance, les 200 premières pages ne sont pas des plus digestes, d'autant que l'auteur nous raconte son histoire presque comme un documentaire. Une fois intégré ce procédé, on tourne plus facilement les pages pour arriver à une fin plutôt réussie et dont le suspense reste entier et haletant. De très nombreux personnages émaillent cette histoire de tueur fou où s'entremêlent journalisme d'investigation et récupération politique. A ce sujet certains passages sont un peu lourds voire même ennuyeux, alors que d'autres, notamment ceux se rapportant au deux principaux protagonistes Bishop et Kenton, sont passionnants.
Difficile d'émettre une critique sur une telle œuvre tant elle est inégale et particulière dans sa narration. Si l'on n'a pas la volonté de s'accrocher un minimum, on peut passer à côté d'un bon roman, traité, il est vrai, sous un angle peu commun.
Ça faisait un moment que je cherchais un livre du genre, être dans la tête d'un serial killer! Globalement, j'ai bien aimé ce roman.
L'histoire est bien rodée, quoiqu'un peu trop simpliste à mon goût. Spoiler(cliquez pour révéler)Traumatisme durant l'enfance à cause de sa mère, du coup, il tue des femmes. De plus, je trouve que les forces de polices ont été largement sous-estimées. Le piège "Bishop a été tué par Mungo" n'aurait jamais tenu aussi longtemps dans la réalité, à mon avis.
Ce roman soutient l'hypothèse qu'on ne naît pas psychopathe mais qu'on le devient. C'est une théorie intéressante. Cependant, je pense que je préfère l'inverse. Néanmoins, la psychologie de ce tueur est plutôt bien travaillée.
Par ailleurs, j'ai adoré le personnage de Adam Kenton! Je le trouve très cohérent avec la réalité.
La fin de l'histoire m'a un peu perturbée. Je trouve que le dernier retournement n'était pas nécessaire.
Finalement, si on souhaite faire une analyse plus profonde de ce livre, on se trouve confronter à un questionnement sur la peine de mort et à l'impact politique sur cette thématique.
Résumé
À dix ans, accusé d'avoir assassiné sa mère, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s’en échappe avec une soif de vengeance sans bornes, et entame un long périple meurtrier à travers les États-Unis. Très vite, une chasse à l’homme s’organise : la police, la presse et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, remarquablement intelligent, méticuleux et amoral. Bishop sème la mort sans répit, n'ayant de cesse de changer d'identité et laissant sur sa route davantage de cadavres que d'indices. Au fur et à mesure de ce carnage sans précédent, l'Amérique entière plonge dans la paranoïa et l'hystérie. Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d’Adam Kenton, journaliste dangereusement proche du tueur, vont finir par dévoiler un inquiétant jeu de miroir...
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