Au Haras, je servais souvent de monture
Auteur
- Gwenaelle (Écrivain)
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extrait
J’ai ôté mes vêtements, pour revêtir ma tenue de cavalière. Ma fente humide m’a rappelé que j’étais encore excitée. Mon regard s’est fixé sur le reflet que me renvoyait la glace du lavabo. Mes tétines dardaient au milieu des aréoles brunes. Plus bas, ma chatte renflée, couverte de poils fins, apparaissait presque indécente. Je me suis mise de profil pour voir mes petites fesses bombées, séparées par une raie fine. Je me suis trouvée aussi jolie, que mes camarades de chambre ; bien plus, même, que Liliane.
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Le titre prête à rire. La couverture n'est pas sexy (et ne correspond pas au contenu). Pourtant, c'est pas si mal.
Jamais je me serais arrêté dessus s'il n'avait été publié dans la collection dirigée par Esparbec et même là j'ai hésité (Esparbec a souvent des goûts différents des miens).
On y suit le parcours de Gwenaëlle, une ado qui intègre un centre équestre pour devenir jockey.
C'est assez court, limite une nouvelle pornographique plus qu'un roman.
Pourquoi je ne le note pas mieux : beaucoup de BDSM (assez soft) et beaucoup d'urophilie. Je tolère ça en faible dose et j'ai souvent zappé des paragraphes si ce n'est des pages.
Le "défaut" classique de nombreux livres pornos/érotiques est présent : la jeune femme vierge qui se dévergonde à la vitesse de la lumière. L'histoire est réduite au minimum mais ce n'est pas gênant.
En outre, c'est bien écrit et sans fioritures.
Pour les amateurs de BDSM soft et d'urophilie, j'estime qu'il mérite d'être lu. Oubliez le titre comique et la couverture ratée et donnez sa chance à Gwenaëlle.
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Résumé
La jeune Gwenaëlle abandonne ses études pour devenir apprentie jockey dans un centre équestre normand. Le travail est dur mais elle va vite découvrir que l'équitation peut aussi se pratiquer en chambre et entres filles. Chacune à son tour peut servir de cavalier ou de monture. Ajoutez à cela un directeur et son épouse plus pervers que nature, et vous vous ferez une idée approximative des études hippiques de notre oie blanche... qui ne le restera pas longtemps, vu que l'école des jockeys mâles est juste à côté.
À dada, à dada ! Elles n'ont pas fini de faire les juments ces futures cavalières !
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