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Au pays de la mémoire blanche



Description ajoutée par Djulaie 2013-01-12T21:08:48+01:00

Résumé

Rescapé d'un attentat à la bombe, Rousseau se réveille amnésique dans un lit d'hôpital. Sa tête bandée ne laisse apparaître que la pointe de ses oreilles, ses yeux et ses lèvres. A sa sortie de l'établissement, on lui rend ses papiers. Il découvre qu'il est un chien dans un monde où les chats, qui vivent sous l'oppression des premiers, se sont organisés afin de résister à leurs persécuteurs. Rousseau se balade dans une ville qu'il ne reconnaît pas, qu'il ne comprend pas. Son esprit est dégagé de tout préjugé. Il va donc observer ce monde d'un œil neuf et essayer de comprendre son fonctionnement.

Avec son univers anthropomorphique, Au pays de la mémoire blanche fait indubitablement penser à Blacksad, voir à Cité 14. On entre très vite dans la peau du personnage principal, un amnésique dont on ne sait pas grand chose et qui va finalement rester relativement transparent tout au long de l'album. Une caractéristique qui le rend d'autant plus fascinant. L'explication est ailleurs, dans les figurants, sur les murs, dans les rues animées. Page après page, la vérité se dévoile, sans suspense abusif, jusqu'au dénouement final. Une très belle histoire servie par des peintures à l'huile époustouflantes et particulièrement expressives.

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Classement en biblio - 18 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Didie6 2014-11-14T01:09:27+01:00

Des chats plus audacieux veulent voir pour de vrai les rêves vivre.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Mladoria 2020-06-13T11:27:36+02:00
Lu aussi

Un autre emprunt BD que j'ai sélectionné pour cette couverture tout à fait mystérieuse.

Où y suit Rousseau, rescapé dans un attentat, amnésique, dans sa reconstruction d'identité.

Si les graphismes sont à la fois absolument sublimes et d'une étrangeté dérangeante. J'ai été transporté par les planches de Stéphane Poulin. le texte et l'intrigue en général m'ont mise mal à l'aise et complètement déroutée par ce côté décousu, nébuleux, peu cohérent puisqu'on entre dans la psyché de Rousseau. Même si les thèmes abordés sont essentiels, je n'ai pas été touchée plus que ça, comme une impression nauséeuse de se retrouver dans un rêve glauque qui vire au cauchemar, le soupçon de fantastique n'aide pas à en faire une lecture sereine.

Peut-être la période actuelle n'est-elle tout simplement pas adaptée à une telle lecture. A retenter plus tard et je le conseille aux lecteurs avertis.

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Commentaire ajouté par EliStrauss 2018-02-16T13:50:03+01:00
Argent

J'ai beaucoup aimé le style de l'illustrateur, l'histoire était intéressante, c'était vraiment bien.

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Commentaire ajouté par louise-R 2013-11-16T14:46:06+01:00
Or

Je suis sorti de cette BD en me disant que cette histoire me faisait malheureusement beaucoup penser a certains pans de la notre. Cette BD est magnifique, émouvante et je trouve dommage que si peu de personnes ne l'ai lu.

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Commentaire ajouté par zazy 2013-06-22T15:08:32+02:00
Diamant

Le livre est beau, la couverture intrigue. Ce n’est pas une bande dessinée, mais un album avec des dessins splendides et des phrases profondes.

Au début, c’est blanc dans ma tête. Je ne pense à rien et ce rien paraît blanc. Pareil à la page où l’on a envie de dessiner. Ou semblable aux nuages les plus lents. J’ai un poids un milieu du cerveau où les pensées ne passent pas.

Premiers dessins sur fond blanc, un plan de moins en moins flou, on voit une main bandée.

Seconde page, nous passons au fond noir qui continuera jusqu’à la fin de l’album. Les bandages de la tête laissent deviner des oreilles, chien ou chat ?

L’être se réveille. Il est dans une chambre d’hôpital. Un policier l’interroge et lui apprend qu’il a été victime d’un attentat et qu’il est un chien. Il va pouvoir retourner chez lui. « Chienne de vie, que fais-je dans cette ville ? On dirait que la haine commence ici ». Il retourne dans un monde où le voisin pourrait être son ennemi, où le chien domine et extermine le chat, tiens, ça titille du côté des réminiscences, un pays où les rêves de jour sont interdits !!

Nous traversons des dessins qui pourraient faire penser, au ghetto de Varsovie, tout au moins comme je me l’imagine. L’angoisse et la peur suent, les regards sont fuyants.

Chaque phrase de cet album est un coup de poing dans le plexus ou dans la mémoire. Peu de texte, mais, il va droit au but, sans fioriture. Carl Norac, en phrases très courtes, nous fait sentir le malaise de Rousseau, sa quête, son angoisse. Carl Norac et Stéphane Poulin nous parlent de tolérance, du racisme, de la peur, de la quête et que ce soit les pages dessins ou les pages textes, l’émotion est toujours omniprésente et nous happe.

La mémoire blanche permet d’écrire un nouveau livre de sa vie, de regarder les autres sans aucun à priori ni sectarisme.

Oui, vraiment un très, très bel et bon album emprunt de beaucoup de poésie. Vous le relisez, une autre face apparaît. Maintenant, il faut que je le rende à la bibliothèque, mais je l’aurais bien gardé celui-là aussi.

Je vous en recommande vivement la lecture.

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Diamant

Stéphane Poulain, c'est le genre de mec qui te fais chialer quand tu lui parles. Un mec humble, qui paye son doc à coup d'huile. Une sensibilité que l'on retrouve dans sa peinture géniale. Un acharné de taf multi-couche.

Lui et son acolyte nous font à leur sauce entrer dans un monde décérébré que l'on reconnait trop bien.

Un merci éternel.

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Date de sortie

Au pays de la mémoire blanche

  • France : 2011-10-05 (Français)

Activité récente

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 18
Commentaires 5
extraits 5
Evaluations 6
Note globale 7.33 / 10

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