Au petit bonheur la chance !

Pas aimé ce livre, un "Zola" moderne, l histoire de ce garçon !!!!

J'ai apprécié ma lecture. Les petits chapitres permettent de faire défiler facilement les pages.

J’ai apprécié cette lecture. On se plonge vite dans la vie de Jean. J’ai souvent du mal avec les personnages enfants, mais là c’est plutôt bien passé.

J’ai beaucoup aimé le côté qui nous fait replonger dans les années 60/70.

Lucette et Jean sont attachants. Leur relation est touchante.

C’est pas un livre joyeux, mais c’est un livre doux.

J’ai détesté Marie par contre, et la fin n’a rien changé à ce sentiment. Contrairement à ce que l’auteur dit dans son mot à la fin, je n’ai pas réussi à lui trouver des excuses… au contraire, le fait d’être mère moi-même m’ont empêché de comprendre qu’une mère (ou un père) puisse abandonner son enfant.

Ça reste une lecture sympa mais pour le coup, le message de l’autrice n’est pas passé auprès de moi.

Je l'ai fini en un jour, un après-midi. Une petite merveille avec Mémé Lucette et Jean devant apprendre à vivre ensemble et construisant une relation solide et magnifique. La famille de Jean comporte une solide opposition entre sa mère un peu trop libre et sa tante féministe au grand coeur. Cela permet à Jean de savoir ce qu'il veut et grandit trop vite malgré lui, cependant il en apprend beaucoup sur la vie et nous partage sa tendre histoire, qui nous donne à réfléchir à nous aussi. Un extraordinaire périple littéraire !

C’est le troisième roman d’Aurélie Valognes que je lis et pour le moment c’est mon préféré. La relation entre un petit garçon en mal d’amour et une mémé revêche m’a vraiment touché.

L’action se déroule durant les années 1960, 1970. Je n’étais pas née en ces temps là mais c’était décidément une autre époque où les gauchers étaient mal vus, ainsi que la différence, et où la condition des femmes n’était vraiment pas la même qu’à notre époque. Certaines références m’ont fait sourire comme celle à Claude François, Christian Dior, Guy Lux, Flipper le dauphin, Joe Dassin, Johnny, Louis de Funès, Jean-Paul Belmondo, La folie des grandeurs, Le Livre de la Jungle,.. J’ai également retenu des évènements marquants concernant certaines années comme le débarquement des américains en 1944, l’arrestation de Nelson Mandela en 1962, l’accident de Raymond Poulidor lors du Tour de France de 1968 ou encore l’avortement légalisé en 1975. Les titres des chapitres sont presque tous des expressions comme prendre la poudre d’escampette, faire contre mauvaise fortune bon cœur, qui ne tente rien n’a rien, haut les mains peau de lapin, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures,.. Et j’ai tout simplement adoré ça. J’ai été attendri par Jean, j’ai aimé la relation qui se forme entre Jean et Lucette, j’ai été déçu par Marie, j’ai aimé la façon dont Jean prend soin de son petit frère Serge, j’ai aimé l’amitié entre Jean et Anita, ainsi que celle entre Lucette et Lucien, j’ai été ému, j’ai souri,..

Aurélie Valognes nous livre une très belle histoire avec ce roman. Pour moi c’est un livre plein de tendresse qui est une ode à la famille. Mes larmes n’étaient vraiment pas loin à la fin. Je me suis vraiment attachée à la curiosité de Jean, à la générosité de Lucette, à la gentillesse de Lucien, à la maladresse de Marie, à la tendresse de Françoise,.. Je n’ai vraiment pas envie de quitter tous ces personnages attachants et j’ignore si je vais être capable de commencer un autre roman directement. Honnêtement, je ne le pense pas. C’est vraiment mon préféré de l’autrice pour le moment.

https://onceuponadreamgirl.wordpress.com/2024/08/11/au-petit-bonheur-la-chance-aurelie-valognes/

Un roman placé sous le signe de l'enfance, de la douceur et de l'insouciance.

Sauf que pour Jean, les joies comme les peines s'éparpillent dès son plus jeune âge. Sa relation avec sa grand-mère Lucette est attendrissante, même si elle se montre dur mais cela a pour but de le préparer aux tourments de la vie d'adulte.

Le récit est agréable à lire, très plaisant et parsemés d'une touche d'humour.

L'écriture est fluide et mélodieuse, on passe un bon moment le tout en oubliant que l'on tourne les pages d'un livre.

Peut-être mon préféré de cette auteure.

J’ai beaucoup apprécié les personnages qu’on a du mal à lâcher.

Livre doux et émouvant. A lire

Un livre détente.

La première partie du livre ne m'a pas convaincu et pourtant j'ai lu quasiment les 3 dernière quarts d'une traite.

Les personnages se développent et on s'attache à Jean

Un livre sympathique sans prise de tête

Comme les précédents, j’ai adoré, il y a tellement de douceur et d’amour dans ses livres. Jean est juste adorable, c’est un plaisir de le suivre et de le voir grandir, évoluer sous l'œil de Lucette. Et cette mémé Lucette, il faut qu’on en parle, ce personnage est exceptionnel, elle veille sur Jean comme personne et lui apprend la vie, elle est dure mais on sent en dessous qu’elle a le cœur tendre.

J’étais très triste de fermer ce livre, je ne voulais pas les quitter, c’est un livre qui m’a beaucoup marqué et qui m’incite à continuer de découvrir l’autrice

En 1968, Jean, âgé de six ans, arrive chez sa grand-mère pour passer officiellement les vacances d'été. Le petit prend ses marques et s'attache à Lucette tout en attendant fébrilement sa maman. Mais le temps passe, et Marie, sa mère, semble ne jamais revenir, plongeant son fils dans une attente interminable et une douleur inconsolable.

A travers son roman, Aurélie Valognes nous transporte dans une époque empreinte de nuances et d'émotions contrastées. On y découvre la tendre innocence de l'enfance confrontée aux tourments des adultes.

Lucette se révèle être une grand-mère énergique et bienveillante, à la fois protectrice et formatrice. Ses modestes plats et ses tricots en laine Bergères de France sont autant de gestes tendres qui invitent à la douceur. Jean croise sur son chemin des personnages authentiques avec qui il peut être lui-même, comme sa tante Françoise, Lucien le facteur ou même le Père Denis.

Ses aventures sont parsemées d'humour, d'amour et d'émotions. A travers les épreuves, Jean acquiert des compétences transmises par un désir de bien faire. La force de caractère de cette grand-mère, si discrète sur ses sentiments, impressionne.

Trop vite, nous portons un jugement sur Marie, sans comprendre ses espoirs et ses fragilités, ressentant à la fois de la colère et de la frustration. Jean grandit et nous sommes fiers de ses choix et de son sens des responsabilités. Ses peines nous bouleversent, et la confiance qu'il tisse avec ses proches nous réjouit.

Ce récit délivre un message poignant de vie, d'acceptation, de pardon et de générosité.