Au service du milliardaire

Rachel parcourut à grandes enjambées le large couloir faiblement éclairé. S’arrêtant sur le seuil, sa main se mit à trembler en la poussant. Elle découvrit alors Brick qui tenait ce qui semblait être un verre de scotch. Il la regarda intensément. Elle se sentait fondre sous ses yeux. Et incapable de faire un pas de plus, Brick s’approcha d’elle, attrapa sa nuque et l’embrassa fougueusement.

L’esprit de Rachel partit dans tous les sens tandis que son corps tout entier frémissait. La luxure parcourait ses veines comme son sang. Et le sentant tenir son visage tendrement, elle se mit sur la pointe des pieds et pressa ses lèvres contre les siennes.

Leur langue s’entremêlant, Rachel s’accrocha à son cou et se laissa couler. Brick, qui la tenait par une main et son verre de scotch dans l’autre, la déplaçât sur une table qui se trouvait dans la chambre. Posant son verre, il l’attrapa par le bas des reins et pressa son estomac contre son sexe.

La large main de Brick fit le tour de son corps délicat. Passant en-dessous de ses fesses, il mit la main sur l’arrière de sa cuisse et la souleva. Appuyant son sexe en semi-érection contre son pantalon moulant, elle pouvait le sentir contre son bassin. Et lorsqu’il la souleva du sol encore un peu plus, un battement fébrile parcourut ses reins. Rachel gémit.

Leurs langues se cherchant l’une l’autre, Brick appuya son pénis un peu plus fort contre elle. Il était incroyablement dur maintenant et, entourant sa taille avec ses jambes, Rachel le désirait plus que n’importe qui d’autre. Elle inhalait son odeur comme une drogue. Et avait besoin de la sentir encore et toujours plus.

Brick l’agrippa et se tourna vers le lit. S’arrêtant au-dessus, il l’attrapa par la poitrine et la jeta sur les draps. Rachel n’avait jamais été si sauvagement traitée et était quelque peu confuse. Cherchant son regard, il la fixa tout en enlevant son t-shirt et ses chaussures, puis son pantalon. Rachel respirait rapidement. Elle voulait arracher tous ses vêtements et s’allonger nue devant lui, mais elle ne pouvait plus bouger.

Brick, avec sa poitrine large et avec un léger duvet l’observait comme une proie. Rachel, encore accoudée sur le lit, pencha la tête en arrière pour lui révéler son cou. Et lorsqu’elle sentit les dents de Brick la croquer tout doucement, son corps trembla de plaisir.

Brick déchira ses vêtements, la faisant entrer dans les sphères de l’orgasme. Elle ne pouvait plus s’arrêter. Son torse nu contre son soutien-gorge était déjà suffisant. Et lorsqu’il baissa son pantalon et pressa l’extrémité de son pénis en érection contre son sexe, elle se mit à crier.

« Ahhhh ! »