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1 — Deuxième round

Un spasme de douleur me plia en deux. Je roulai sur le côté en émettant le cri d’une truie qu’on égorge. L’instant suivant, le souffle me manqua assez pour interrompre mon hurlement. Mister Jackson venait d’avoir la brillante idée de prendre place au-dessus de moi en m’écrasant de tout son poids. J’aurais juré qu’il voulait ma peau s’il ne tentait pas de me rassurer en me disant :

— Ça va passer. T’inquiète. C’est l’histoire de cinq minutes.

Je n’avais jamais ressenti ce genre de brûlure au niveau de mon bas-ventre. Enfin, pas de cette importance. Celle-ci s’atténua suffisamment pour permettre à mes neurones de fonctionner à nouveau et de lui demander à la va-vite :

— Bordel ! C’est quoi ce truc ? Qu’est-ce que tu m’as fait ? Je ne vais pas accoucher d’un chiot, tout de même ?

— Ça n’arrivera pas. Il faudrait que tu sois lycan pour ça !

Un nouveau spasme m’empêcha de lui répondre. Je serrai les dents en attendant que la douleur passe. Jackson quitta le lit. À peine eus-je un petit aperçu de son royal fessier que déjà il m’attirait à lui par une cheville vers le bord du lit. Il posa les mains sur mes fesses, puis hop ! Je me retrouvai contre sa poitrine. Par réflexe, j’enroulai mes jambes autour de ses hanches en me demandant quelle était la suite du programme. Si son intention était de me conduire à l’infirmerie ou que sais-je, il me fallait un minimum me vêtir. Bien sûr, le fait qu’il me transporte ainsi aurait pu me laisser penser qu’il n’avait aucune intention de sortir de cette chambre. Enfin pas tout à fait.

— Tu m’emmènes où ?

— Sous la douche. On en a bien besoin.

— Hein ? Ce dont j’ai vraiment besoin, mon coco, c’est de paracétamol, grognai-je entre sa réaction face à ma douleur et le frisson d’envie que me procura le fait de sentir son pénis en érection contre mes fesses.

— Dans quelques minutes, tu oublieras tout. J’ai encore envie de toi.

« Ben tiens ! Voir une nana en train d’agoniser (okay, j’exagère… un peu) lui donne, bien sûr envie… »

Il poussa un feulement sourd et, l’instant suivant, me plaqua sans douceur contre la porte de la salle de bain. Jackson prit mes lèvres dans un baiser avide qui chassa bien vite toute souffrance en même temps que ma capacité à raisonner. Il butina ma bouche, l’aspirant, la mordillant, la léchant. Je n’avais jamais été embrassée comme ça. C’était waouh ! J’adorais son goût aussi grisant qu’un alcool fort, l’odeur de sa peau, si suave. Sans parler de son corps… Il mit fin à notre baiser, puis son visage à quelques centimètres du mien me susurra :

— Efficace comme calmant, non ?

Le simple fait de percevoir le souffle chaud de cet homme sur mon visage était suffisant pour embraser mes sens, alors un baiser comme celui-ci ! Le besoin de comprendre ce qui m’arrivait fut chassé par mon envie de gémir, de soupirer, de crier de plaisir sous ses assauts. D’une main sur sa nuque, je l’attirai à moi pour capturer à mon tour ses lèvres. L’autre glissa le long de son torse, mes doigts glissant dans sa toison, suivant la ligne de ses poils, s’arrêtant à ses abdominaux. Ma position ne me permettait pas d’aller plus loin. Il m’en fallait davantage. Il me reposa à terre, ce qui me permit de continuer mon exploration jusqu’à son bas-ventre. Il bandait encore le salop ! Ce type était une vraie bête à plaisir, au sens propre comme au figuré d’ailleurs. À croire qu’il ne s’était rien passé dans le quart d’heure qui venait de s’écouler.

Je reculai, car il venait d’ouvrir la porte afin de nous faire pénétrer dans la salle de bain. C’est avec une certaine gourmandise que je me mis à le caresser. Ma main glissa le long de sa verge, ce qui le fit grogner de plus belle. En tout cas, j’étais satisfaite de pouvoir le faire réagir par ce simple toucher. Il échangea nos places et tendit un bras en arrière afin d’ouvrir le robinet de la douche. Quant à moi, j’étais totalement concentrée sur la cajolerie que je lui offrais avec entrain. J’accélérai le rythme en percevant que c’était ce qu’il attendait de moi. Apparemment, il aimait la sauvagerie. Et j’avoue que ce n’était pas pour me déplaire à moi non plus. La bestialité qui se dégageait de ce mec faisait ressortir cette part animale que je n’avais jamais eu conscience de posséder. Il me rendait féline.

D’ailleurs, j’avais complètement oublié la douleur de mon bas-ventre qui me titillait encore par intermittence. Il goûta à la température de l’eau, ce qui me fit sursauter lorsque sa main mouillée se posa sur mon sexe. Et le moins que l’on puisse dire, c’était que l’eau était froide. Quoique rapidement, c’est une sensation de chaleur intense que je perçus. Je ne savais pas si cela venait de la température corporelle de frappe-atomique-je-suis-aussi-chaud-que-la-braise qui était anormalement élevée, ou si c’était dû à ce que me procurait le jeu de ses doigts sur moi, en moi. Mon bassin suivait le rythme des va-et-vient de sa main. Il ne fallait pas qu’il s’arrête. Pas maintenant. Je m’accolai un peu plus à lui, la tête rejetée en arrière, prisonnière des ondes de volupté. Des halètements, puis des cris s’échappèrent de ma gorge.

— Viens ! m’ordonna-t-il.

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