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Je remarquais sur le bureau face à moi une carafe d’eau et des verres. Toujours allongé dans mon lit, je demandai à Alan :

— Dis-moi, peux-tu me donner un ver...

L’instant suivant, le set en cristal filait dans ma direction. J’eus juste le temps de plonger sur le côté qu’il explosa sur le mur derrière moi, m’aspergeant d’eau et de bris de verres.

— Bon Dieu ! C’était quoi, ça ? m’étonnai-je en me redressant.

— Le retour de votre pouvoir, maître.

« Ah ! c’est certain que ça change ! »

Généralement, mon pouvoir fonctionnait sous le coup des émotions. Et donc rares avaient été les occasions où cela répondait à une demande de ma part. Alan se précipita vers moi, m’aida à sortir du lit. À peine eus-je un pied posé au sol qu’un vertige me prit. Je m’appuyai davantage sur les frêles épaules d’Alan, me souvenant qu’il était plus fort que son apparence le laisser présager.

— Ça va aller. J’ai juste besoin d’une minute, murmurai-je en fermant les yeux pour mieux me recentrer.

Un frisson me saisit. J’étais en partie mouillé, sans force et, pour couronner le tout, à moitié nu, avec un simple boxer.

— Laissez-moi vous porter, maître, me proposa Alan, se baissant pour glisser un bras sous mes genoux.

— Putain, je suis pas une nana !

Je parcourus du regard la pièce et vis l’un des deux fauteuils en cuir brun devant la cheminée. L’instant suivant, celui-ci glissa sur le parquet en arrivant à grande vitesse. Telle une boule de bowling, il nous percuta. Dans un entremêlement de membres et de cris, nous tombâmes sur le canapé pour finir par rouler au sol. Allongé à terre, bras et jambes écartés comme une étoile de mer sur son rocher, je tentai simplement de retrouver mon souffle.

Alan, plus en forme que moi, se releva souplement avant de s’agenouiller à mes côtés. L’air inquiet, il s’apprêtait à ouvrir la bouche, mais je l’interrompis :

— Ne me demande surtout pas comment je vais ! ordonnai-je, lassé d’être traité comme un empoté.

— Très bien, maître.

En fermant les yeux, je poussai un profond soupir. Je sentis les mains d’Alan se poser sur moi et commencer à me palper les jambes.

— Tu fais quoi, là ?

— Je vérifie juste que vous n’avez rien de cassé, maître.

Un grognement d’exaspération autant que de menace sortit du plus profond de mon être et suspendit les mains d’Alan au-dessus de mon corps.

— Eh bien eh bien... Je constate que certains s’amusent pendant que d’autres suent sang et eau pour faire quelque chose de cet endroit.

J’ouvris un œil en direction de Jaro qui se tenait dans l’encadrement de la porte, jambes écartées et mains dans les poches de son pantalon noir à pinces. Il reprit sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit.

— Il fallait m’informer qu’à partir de… (Il leva son poignet droit pour consulter sa montre.) 16 heures, c’était partouze party !

Un nouveau grognement fut ma seule réponse.

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