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Commentaires de livres faits par audrey66

Extraits de livres par audrey66

Commentaires de livres appréciés par audrey66

Extraits de livres appréciés par audrey66

date : 19-01-2014
Je lui sers mon plus beau sourire. Que puis-je faire d’autre ? Il me plaît, je ne vais pas lui cacher ça. Enfin, pas ce soir. Dommage. Je n’ai pas envie d’attendre la fermeture du bar pour ramener ce gars à mon hôtel. Il n’est que onze heures que, déjà, je m’impatiente. Si ça continue, je vais lâcher prise et filer chez moi complètement seule. Heureusement que mes amis ne sont pas là pour se ficher de ma gueule !
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John fit l amour à sa femelle lentement, langoureusement, savourant le contact sde sa peau, la caressant avec ses mains et sa bouche. Et lorsqu' il la pénétra enfin, l'instant fut si parfait qu'il s immobilisa. La vie l'avait amené là, avec elle, elle les avait réunis tousles deux....
C'était le début de l'histoire dont il souhaitait se rappeler, désormais.
- dis moi John. ?.., murmurra-t-elle d'une vois suave.
Il siffla sur une note ascendante.
- je songe à me faire tatouer, moi aussi.
Comme il inclinait la tête de côté d'un air interrogateur, elle promena les mains sur ses larges épaules.
- tu voudras bien m'accompagner à ce studio de tatouage? Je porterais volontier ton prénom dans mon dos.
L'orgasme qui le happa fut plus éloquent que tous les mots qu'il ne pouvait prononcer.
Laissant échapper un rire de gorge, Xhex fit onduler ses hanches contre les siennes.
-je prends ça pour un oui.
Oui songea John en s'enfoncant plus profondément en elle. Oui, oh , putain oui....
Après tout, ce qui était bon pour un mâle était bon pour sa femelle. Et vise versa.
Dieu qu'il aimait la vie. La vie, tous les occupants cette maison et toutes les personnes respectables aux quatre coins de la terre. Le destin n'était pas toujours tendre....mais il faisait les choses bien.
Au bout du compte, tout ce qui finissait par arriver était prévu de longue date.
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Elle dut attendre plusieurs heures pour avoir un moment en tête-à-tête avec Rule. Au bout d'un certain temps, la sentant étouffer sous toute l'attention, et franchement désireux de l'avoir à lui seul, il avait prétexté de leurs blessures pour s'éclipser dans la maison du Rho.
- Enfin, soupira Lily en se laissant tomber sur le canapé du petit salon. Tout le monde est adorable, mais à la longue ça devient un peu....
-Étouffant? suggéra Rule en venant s’asseoir près d'elle.
Maintenant qu'ils étaient seuls, il ne savait pas comment aborder la question qui lui avait brûler les lèvres toute l'après-midi.
Elle hocha la tête.
- J'ai l'impression d'être moi-même un talisman.(Ses doigts effleurèrent le petit symbole doré qui pendait autour de son cou). Tout le monde voulait me toucher.
- Nous autres lupins sommes très tactiles.
-Mais ce n'est pas seulement ça. C'est aussi ce rapport que vos croyances entretiennent avec les Elues. C'est dur à appréhender.
- Là où tu vois des croyances, nous voyons des faits. Peut être un peu altérés, admit-il. Nous disposons d'une longue histoire orale, mais des morceaux de nos récits se sont sans doute perdus au cours des siècles tandis que d'autres légendes s'y greffaient. (Il lui prit la main.) Lily.....
Elle s'enfonça dans le canapé moelleux et posa la tête en arrière. Elle lui sourit.
- Oui?
- Tu as rajouté quelque chose à ce rituel. Une formule personnelle. A mon sujet.
- Il m'a semblé que je devais le faire.
Il déglutit.
- Il b'y a pas si longtemps, tu n'aimais pas l'idée de ce lien, et tu n’étais pas vraiment sûre de tes sentiments pour moi. Qu'est-ce qui a changé?
- Conne Cullen me l'a rapporté, ton père dit que je peux être têtue parfois. Et je suis peut-être lente quelquefois. Mais je ne suis pas stupide. (Elle se pencha et lui posa une baiser sur les lèvres, doux mais intense.) Il m'a fallu un certain temps, mais j'ai finalement compris que le lien d'âme soeur ne m'avait pas été imposé de l'extérieur. Ce serait impossible, pas vrai? Je suis immunisée à la magie. Il devait venir de l'intérieur. Si je le refusais, je rejetais en même temps une partie de moi-même.
Rule sentit un lent et profond soulagement lui détendre les muscles. Il se laissa à son tour aller dans le canapé en posant sa tête sur le dossier. Il souriait.
- Rends-toi compte, dit-elle tout à coup. Dans quelques jours, nous nous rendrons ensemble à une autre cérémonie, en quelque sorte.
- Humm?
- Le dîner de répétition, tu as oublié? Tu vas rencontrer le reste de ma famille. Ils ne seront pas forcément aussi accueillants que la tienne l'a été.
Il y penserait le moment venu. Pour l'heure, le simple fait d'être ici avec elle comblait ses attentes - les surpassait,mêmes.
Accepté.Choisi....par la Déesse et par Lily.
Après un moment, elle posa sa main sur sa cuisse.
- Fatigué?
- Épuisé, admit-il.
Il ressentait également des douleurs dans certains endroits qui n'avaient pas fini de guerir. Et commençait à ressentir autre chose dans une partie qui n'avait pas subi de dommages, tandis qu'elle remontait sa main le long de sa cuisse. Il tourna la tête.
-Mais pas trop fatigué pour ça, lui dit-il.
Et une seconde plus tard, il lui vola son rire d'un fougueux baiser.

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Jamais Kellen n'avait éprouvé une telle sensation de complicité avec les femmes qui avaient partagé sa couche au fil des années.
Il ne comprenait d'ailleurs pas ce qui s'était passé.
Lorsqu'il avait commencé à caresser Sophier, elle avait paru basculer dans une sorte d'état second, succombant à une incroyable succession d'orgasmes plus impressionnants les uns que les autres.
Kellen ne se faisait aucune illusion: l'intensité de sa réaction ne tenait pas uniquement à ses aptitudes personnelles. Ce qui venait de se produire était bien plus profond que cela.
Il existait indéniablement entre Sophie et lui une forme de complicité qui les dépassait, une alchimie du corps et de l'âme qui se manifestait aussi bien dans la connivence qu'ils éprouvaient au quotidien que dans leur incroyable complémentarité sur le plan amoureux.
Plus que jamais, il avait l'impression que leur rencontre ne devait rien au hasard. Il lui semblait que tous deux formaient deux moitiés d'un même être, destinés depuis toujours à se retrouver pour ne plus jamais se séparer.
En dépit des circonstances peu propices dans lesquelles ils s'étaient rencontrés, ils étaient faits l'un pour l'autre.
Cette certitude se fit jour en lui tandis qu'il la regardait reprendre lentement le contrôle d'elle-même.
- C'était merveilleux, articula-t-elle.
La joie et la reconnaissance qu'il lisait dans ses yeux lui disaient mieux que des mots ce qu'elle éprouvait en cet instant.
- Je veux te sentir en moi, ajouta-t-elle alors.
- Tu ne préfères pas attendre un peu? lui demanda-t-il.
A son grand soulagement, elle secoua la tête.
Kellen se défit alors de ses vêtements avant de la reprendre dans ses bras. Il l'embrassa d'abord avec tendresse, laissant le temps à ses sens saturés de s'enflammer de nouveau.
Ce fut elle qui l'attira en elle et noua ses jambes autour de sa taille pour mieux le laisser pénétrer au plus profond de sa chair.
Il s’enfonça avec délices dans ce fourreau satiné et brûlant qui l'enveloppait de toutes parts, lui donnant une fois de lus l'impression de ne faire qu'un avec elle. Il aurait voulu demeurer ainsi éternellement, enfoui dans les replis de sa chair.
Mais le désir qu'il avait d'elle était trop intense pour cela. Presque malgré lui, il commença à bouger en elle, s'enfonçant toujours plus loin, et toujours plus vite. Les baisers qu'ils échangeaient devenaient plus ardents, plus passionnés.
Kellen, sentit grandir en lui une autre envie, presque aussi incoercible. Il aurait été si facile de faire couler une larme de sang et de la boire. Mais il savait qu'il lui serait alors plus difficile encore de résister à la tentation.
Il se fit donc violence et ravala ce désir, s'efforçant de l'enfouir au plus profond de lui-même. Mais c'était compter sans la complicité qui l'unissait à Sophie et confinait parfois à la communication de penssée.
- Vas-y, murmura-t-elle, renversant la tête en arrière pour mieux lui offrir sa gorge. Mords-moi....
Un frisson le traversa de part en part.
- Tu es sûre? articula-t-il, la bouche sèche.
- Certaine, répondit-elle sans trahir l'ombre d'un doute.
Le coeur battant, il se pencha donc vers elle et posa sa bouche sur sa gorge albâtre. Ses canines s'enfoncèrent lentement dans sa peau et Sophie poussa un gémissement d'extase.
A ce moment précis, il sentit son sang envahir sa bouche et avec lui, un flot ininterrompu de sensations indicibles. Ce qu'il éprouvait en cet instant dépassait tout ce qu'il avait pu imaginer. Ses sens étaient saturés par un véritable maelström de goût, d'images, d'odeurs et de pensés qui émanaient de Sophie, qui étaient Sophie.
Et ce qu'il découvrait d'elle décupla les sentiments qu'elle lui inspirait déjà. Il se rappela alors la vieille légende qui disait que les vampires pouvaient reconnaître l'homme ou la femme de leur vie rien qu'en goûtant leur sang. Et il comprit que ce n'était pas une simple fable.
Jamais il n'avait rien ressenti de semblables. Jamais il n'avait pensé que ce fût possible. Et tandis qu'il répandait sa semence en Sophie, et se gorgeait de son sang, il sut que son existence venait de basculer.
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date : 25-03-2013
.......
Nicholai tendit le bras et ramassa son sac qu'il avait pris dans la maison.
- Il y a une dernière chose dont nous devons parler.
Il sortit la serviette de toilette qu'elle avait rapportée de sa salle de bains et déballa le bloc de cristal qu'elle contenait.
- Le démon, murmura-t-elle.
- Asmos, démon du Courroux. Que veux-tu en faire?
- C'est ton crystal, dit-ele, c'est à toi de décider. Mais je préférerais qu'il ne soit pas dans notre maison.
-Notre maison, répéta-t-il. Ca me plaît.
Il sourit, envoyant des ondes de désir dans tout son corps.
- A moi aussi.
Il prit son élan et lança le cristal au milieu du lac où il provoqua une gerbe d'eau avant de couler vers les profondeurs obscures.
- Je ne crois pas que tu l'entendras de là.
Il la serra dans ses bras et posa sur ses lèvres un baiser passionné.
- Je reste, dit-il. Je ne laisserai rien de mal t'arriver. Et tu ne pourras plus te débarrasser de moi.
Cette idée plaisait à Mari.
- Je t'aime, dit-elle sans la moindre hésitation.
Il prit son visage entre ses mains et l'embrasse de nouveau.
- Et moi, je t'aime plus encore.
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Ce n'est qu'après m être habillée et avoir glissé mon katana dans la ceinture que je remarquai la petite boîte de couleur bordeaux posée sur le lit. Elle était entourée du ruban en soie blanche qui formait un magnifique noeud sur le couvercle. -ethan sullivan, murmurait je. Qu'est ce que tu as fait?
Les battements de mon coeur s accélèrent.
Je pris écrin et le secouait délicatement. Quelque chose jugea à l'intérieur, mais je n'entendis aucun "tic tac". Je dénouai le ruban, que je laissai tomber sur le lit, puis soulevai le couvercle.
Je decouvris une petite carte blanche portant pour unique inscription la lettre E.
Je la sortis.
En dessous, nichée au creux d'un coussin de satin blanc, se trouvait une clé en argent.
Inutile de demander qu'elle porte elle ouvrait:sur la petite étiquette qui l'accompagnait était écrit : "suite du maître".
Ethan m'avait donné la clé de ses appartements.
Pendant un moment, jobservai ce nouvel objet dans ma main et considerai ce qu'il signifiait. Il ne s'agissait pas de la clé de la suite de la consorte, ou éthan aurait pu me reléguer en tant amante. C'était le clé de sa suite, de chez lui:elle me permettait d'y aller quand j'en aurai envie, chaque fois que j'en aurai envie.
En dépit de nos débuts difficiles et des hauts et des bas qu'avait connu notre relation, je ne pouvais plus le nier: éthan et moi étions ensemble.
Comme les choses avaient changé......
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Il prend la parole avant que j'ai retrouvée la voix.
- si j'étais un type bien, dit-il, je reconnaîtrais que Taltrayn est un fae honorable, qu'il t'aime et qu'il prendrait soin de toi. Je meclip meclipcerais et te laisserais avoir l'homme que tu as toujours voulu. Mais je ne suis pas quelqu'un d'aussi bien que Taltrayn, McKenzie. Je ne le serai jamais, et je refuse de renoncer. Je me battrai pour avoir la chance d'être avec toi.
Voilà les mots que j'ai attendus une décennie que Kyol me dise. Et malgré tout ce temps, je n'ai jamais préparé de réponse. Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas comment dire à Aren que j'ai besoin de voir si ça peut marcher, pour nous deux.
Je le sens tendu lorsqu'il prend une inspiration. Il laisse son regard dériver sur le mur avant de le reporter sur moi.
- je sais qu'on est partis du mauvais pied.(un rire lui échappe.) Je sais que tu me détestais, que je t'ai menacée et provoquée, mais on pourrait repartir de zéro. Je ne te ferai plus de mal. Sidhe, je jure que je ne porterai plus jamais d'épée à ta gorge. Je te protégerait. Je veillerai à ce que tu n'aie plus jamais à sauter par la fenêtre, et je ......
Je suis tentée de le laisser continuer, mais ce genre de digression lui ressemble si peu que je ne peux pas m'empêcher de sourire. Il s'arrête au milieu de sa phrase.
-McKenzie?
-je te donnerai peut-être une autre chance, dis-je.
Son regard passe de mes yeux à ma bouche. Il se concentre dessus, comme s'il n'était pas sûr d'avoir bien entendu. Puis un sourire lui étire les lèvres.
- peut-être? ( il rit). J'ai toujours dit que tu étais butée, nalkin-shom.
C'est le moment qu'il choisit pour se rapprocher. Il reste encore des problèmes à résoudre, des choses dont on doit parler et des désaccords à régler, mais mon coeur s'emballe lorsqu'il m effleure la joue des doigts. Une caresse légère et tendre, qui dure juste assez longtemps pour me réchauffer le visage. Il s'avance encore. Je sens la tiédeur de son corps, son odeur de cèdre et de cannelle , et mes lèvres ont soudain faim des siennes. Elles sont si proches. S'il incliné la tête un millimètre de plus.......
- je t'aime, murmure Aren.
Je frissonne, traversée par une sensation de chaleur. Pas un edarratae; c'est plus profond, plus intense et plus puissant. Il doit le sentir aussi, car il s'empare de ma bouche l'instant suivant. Son baiser est possessif, désespéré, délicieux. Il le prolonge, sans rien contenir de son ardeur. Il me soulève dans ses bras jusqu'à ce que seul le bout de mes chaussures touche le sol. Je m'accroche , lui rend son baisers et embrase tandis que des éclats de chaos fusent sous ma peau. Ils enroulent autour de nous, nous fondent ensemble, et le reste du monde s'évanouit.
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Il n'avait pas besoin d'en entendre davantage. L'homme se retira, le léopard prit le relais. Ensuite les deux se combinèrent pour la première fois de sa vie. Il sentit Ashaya s'écarter tandis que son corps s'affermissait. Tournant la tête, il se pencha vers l'avant et referma ses crocs très doucement sur son poignet.
C'était un baiser.
Le visage d'Ashaya s'éclaira lorsqu'elle comprit.
- Je t'aime aussi. Maintenant vas-y, cours. Joue.
Il la relâcha, s'arrêta pour claquer des crocs en direction des enfants, simplement pour les entendre rire et les voir détaler. Puis, il courut. La forêt se para d'un millier de nouvelles couleurs habillées d'odeurs et, quand il pourchassa une proie, ce fut par pur plaisir. Les heures passèrent. La nuit tomba et les étoiles illuminèrent le ciel.
Mais le meilleur fut de retourner chez lui.... car elle l'attendait devant un petit feu. Il sortit de la forêt sur ses quatre pattes, songea qu'il avait envie de la serrer avec les bras d'un homme, et en un rien de temps, il était à genoux, nu, sur le sol de la forêt.
-Salut. Les enfants dorment?
Elle hocha la tete et courut vers lui.
- Oh, Dorian !
La joie d'Ashaya enflamma le lien et fit naître des battements d'or dans le coeur de Dorian.
- Je t'aime, murmura-t-il.
Les mots venaient de son coeur, un coeur rempli de la fureur sauvage d'un changeling ; il n'y avait ni homme, ni léopard. Seulement Dorian.
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Il posa la main sur sa joue, puis se pencha pour l'embrasser, si tendrement qu'elle en ressentit une douleur au creux de la poitrine.
Mais elle en ressentait à beaucoup d'endroits de son corps. A tous les bons endroits.
Avant meme que les lèvres de Kade ne pquittent les siennes, tous ses pouls brulaient comme si'ils avaient été frappéspar la foudre. Et plus bas encore, son sexe la lancait et la chaleur s'accumulait entre ses jambres. Malgré les heures de passion qu'ils avaient connues, elle le désirait encore comme s'ils en étaient restés aux prélimaires.
Elle soupira d'aise au souvenir du plaisir qu'ils avaient partagé.
- cette nuit a été...
- oui, c'est vrai.
Il souriait mais elle décela une hésitation dans sa voix et quelque chose de perdu dans ses yeux.
Il caressa l'épaule nue d'Alex, puis fit remonter ses doigts le long de son cou, seul endroit de son corps qui semblait plus vivant est plus chaud que son entrejambe. Alex se laissa aller à ses careseses comme une chatte, frissonnant d'un appétit croissant pour lui tandis qu'il faisait courir son pouce sur la veine qui battait de plus en plus fort sous son toucher.
- tu m'as mordue, murmura-t-elle, tout émoustillée rien qu'à prononcer ces mots.
Il inclina la tête gravement.
- oui, et je n'aurais pas du. Je n'avais pas le droit de te prendre ça.
Voulait-il parler de son sang?
- ça ne pose pas de problème, Kade!
- si, ca en pose un. Tu mérites mieux que ça.
- mais...j'ai aimé ça, reprit-elle, étonnée elle meme de cet aveu sincère. Ce que tu as fait m'a apporté du plaisir. Et je le ressens toujours. J'éprouve du plaisir partout ou tu m'as touchée cette nuit.
Il expira lentement et son souffle chaud vint caresser le front d'Alex. Il n'avait pas cessé d'effleurer sa gorge. Il aurait pu continuer des heures sans qu'elle se lasse de ce contact apaisant.
- ce que j'ai fait la nuit dernière a tout changé, Alex. J'ai bu à ta veine. Je me suis lié à toi, et je ne peux pas revenir en arrière. Meme si tu me détests pour ca.
Elle inclina la tete vers lui et embrasse ses lèvres pincées.
- pourquoi voudrais -tu que je te déteste?
Il contempla longtemps, comme s'il pesait l'impact qu'allait avoir sur elle ce qu'il avait à lui dire.
- j'ai bu ton sang, Alex, en sachant parfaitement que tu était une Compagne de sang. En sachant qu'une fois que ton sang serait dans mon corps, il n'y aurait pas de retour en arrière. Je suis lié à toi désormais et rien ne peut briser ce lien. Il est éternel. Je le savais, mais je te voulais si fort que je n'ai pas réussi à m'arreter. J'aurais du le faire, mais je ne l'ai pas fait.
Alex écoutait Kade en lisant son tourment dans ses yeux. Elle y lisait aussi son regret et elle sentit son coeur se serrer vivement.
- la nuit dernière, tu n'as pas pu t'arreter, énonca-t-elle. (il fallait absolument que ce soit clair, meme si cela devait la tuer). Mais maintenant tu aimerais pouvoir faire marche arrière. Parceque tu ne ressens plus la meme chose....envers moi?
Il redressa brusquement la tete, les sourcils froncés.
- non, Seigneur...non, Alex. Ce que je ressens pour toi ...(les mots lui manquaient)Ce que je ressens pour toi est plus fort que tout ce que j'ai jamais ressenti dans ma vie. C'est de l'amour, Alex, et ca l'était avant meme la nuit dernière. Et je ressentirais la meme chose si je n'avais pas bu ton sang.
Ce ne fut que quand elle laissa échapper son souffle dans un grand soupir qu'elle se rendit compte qu'elle l'avait retenu jusque-là.
- oh, Kade.
Il laissa échapper un juron.
- Je ne sais pas comment j'ai laissé ca se produire. Je ne m'attendais certes pas à trouver ce que j'ai trouvé avec toi. Pas maintenant en tout cas, alorsq que tout le reste ne pourrait etre plus bordélique qu'en ce moment.
- eh bien, on y mettra de l'ordre, déclara-t-elle en passant les bras autour de son cou. Ensemble on peut tous résoudre. Parce que moi aussi je suis tombée amoureuse de toi.
Il jura de nouveau, mais cette fois avec douceur en la serrant contre lui pour l'embrasser passionnément. Alex sentais ses muscles fléhir et tressauter sous ses doigts.Et elle le ressentit l'ouragan de désir qui l'emportait tandis qu'il la couchait doucement pour se glisser au dessus d'elle. La serviette rose se détacha et Alex put se repaitre du magnifique spectacle du corps de Kade, et de son sexe en érection, pret à la prendre avec fougue.
Son regard était de braise, ses iris d'acier parcourus d'ambre.
- ah, mon Dieux...Alexandra. J'ai besoin de l'entendre maintenant. Dis-moi que tu m'appartiens.
-oui, dit-elle avant de le crier quand il s'enfonca en elle pour l'emmener vers le sommet d'une vague brulante d'un plaisir quasi immédiat.
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Il l'embrassa encore, enfonçant plus profondément sa langue. Tess l'accueillait et lui rendait ses baisers; elle souleva son bassin pour venir à la rencontre de son pénis, pour lui montrer ce qu'elle voulait. Il expira profondément et ondula le bassin tandis que leurs corps commençaient à se fondre.
- tu es mienne, lui dit-il dans un souffle.
Tess ne pouvait le nier.
Pas en cet instant.
Elle s'agrippa à lui avec avidité, puis dans un grognement sourd, il plongea profondément en elle.
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Glynis aida Sorcha à se préparer pour aller au lit, puis Alex s'assit par terre près de la paillasse de sa fille. Passant avec aisance du français au gaélique, il lui raconta une longue histoire. Glynis la connaissait déjà du seannachie de son père, mais jamais elle ne lui avait paru aussi passionnante.
-on dirait un petit ange, fit remarquer Glynis quand Sorcha se fut endormie.
- il est encore tôt, dit Alex avec une lueur dans les yeux qui la rendit nerveuse.
- Bessie va monter dans un instant.
Alex secoua la tete.
- Je crois que ta servante s'est trouvé un homme.
- Bessie? demanda Glynis. Tu plaisantes?
- tu peux me croire, je sais reconnaître ces choses-là, dit Alex en s'avançant vers elle. Nous ne la verrons pas revenir avant au moins deux ou trois heures.
Glynis recula jusqu'à ce que son talon heurte la porte en bois avec un bruit sourd.
-malgré tout, poursuivit Alex en glissant le bras derrière elle pour barrer la porte, meixu vaut nous assurer que nous n'allons pas être interrompus.
- ta fille est endormie sur le sol!
- c'est pour cela qu'il y a des tentures de lit, répliqu-t-il. Allez, Glynis, laisse-moi te ontrer à quel point tu m'as manqué.
- Catherine ne t'attend-elle pas? demanda-t-elle.
-ainsi tu es jalouse. (il émit un petit rire guttural). J'ai le sentiment que Catherine et ses frères vont vouloir surveiller Shaggy pendant encore un moment.
- je vois. Tu as donc un peu de temps à tuer, n'est-ce pas?
- tu es la seule femme à qui j'aie jamais demandé de devenir ma femme, affirma-t-il.
Elle ferma les yeux quand il pencha la tete vers elle et pressa ses lèvres chaudes sur son cou.
- c'est toi que je veux, Glynis MacNeil, murmura-t-il tout contre sa peau. Ne m'oblige pas à chercher une autre épouse.
- je ne peux pas faire ça, dit-elle en le repoussant. Nous ne sommes pas encore mariés, et tu as une autre femme qui t'attend plus tard.
- mais je n'en veux pas, rétorqua-t-il. C'est toi que je veux.
Il avait l'air si sincère qu'il serait facile de le croire. Malgré tout, il n'avait pas nié le fait que Catherine l'attendait.
- combien de temps ton désir pour moi va-t-il encore durer? demanda-t-elle. Une semaine? Un mois? Cela ne me suffira pas.
- et si je te faisait la promesse que je n'aurai pas d'aventures. dit-il d'un air affligé. Est-ce que tu m'accepterais comme époux? Sorcha et moi avons besoin de toi.
- comment pourrais-je te faire confiance? Demanda-t-elle, bien que les caresses d'Alex soient sur le point de lui faire perdre tout bon sens. Tu m'as dit toi meme que tu ne savais pas si tu parviendrais à etre fidèle.
- quand je donne ma parole, dit-il durement, je la tiens.
Elle voulait qu'il lui soit fidèle parce qu'il n'avait envie de personne d'autre, et pas par obligation. Quelle folie que d'exiger l'impossible d'Alexander Ban MacDonald. S'il l'aimait, peut être aurait-elle fait taire ses inquiètudes et espéré. Mais Alex n'avait en tete que le bien de sa fille.
- je t'en prie, Glynis, supplia-t-il d'une voix douce qui lui fit l'effet d'une caresse sur sa peau. Dis-moi que tu vas m'épouser, et viens sur le lit avec moi.
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......
- C'est vrai que tu es toute froide, s'étonna-t-il.
- Mais toi, tu as la peau chaude, dit-elle.
Il la prit dans ses bras. Ils se mirent à s'embrasser - et Bliss fut heureuse de na pas tomber dans les pommes cette fois. Elle sentit sa main partir en exploration sous sa robe, chercher son soutien-gorge. Elle sourit en se disant que les mecs était tous les memes. Il aurait ce qu'il voulait, mais pas avant qu'elle n'ait obtenur ce qu'elle voulait elle.
Elle ferma les yeux tandis que ses mains chaudes dégrafaient son soutien-gorge. Il retira sa robe en la passant par dessus sa tete. Elle se souleva un peu sur le lit pour l'aider et se retrouva nue devant lui, à l'exception de son tring Cosabelle.
Elle ouvrit les yeux et le vit au dessus d'elle. Elle l'attira à elle.
Il croisa les bras et remonta son tee shirt sur son torse. Il était si maigre qu'ellesentait les cotes sous sa peau. Ils avaient tous deux le souffle court, et en un instant il fut sur elle, pressant son corps conte le sien.
Elle lui caressa le cou et sentit une bosse dure dans son jean appuyer contre sa cuisse. Ils roulèrent enlacés, elle se retrouva sur son torse. Il la tenait contre lui, les mains caressant son dos, faisant hlisser son dernier sous vetement. Elle l'embrasse sur la bouche, descendit à coups de langue le long de la machoire.
Elle sentit sortir ses crocs; elle allait le faire ...Maintenant!
Elle sentait presque l'odeur de son sang riche, épais...Elle leva la machoire supérieure....et, soudain, la chambre s'illumina.
- Putain, qu'est-ce que...
La tête de Dylan émergea de l'édredon.
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Agacé, Grimm enfonça profondément ses doigts dans ses cheveux, puis, ôtant le lacet de cuir qui les retrenait, il le jeta rageusement sur le sol.
- Alors de quoi s'agit-il? insista-t-elle. Pourquoi faudrait-il que Quinn et Ramsay, et otus ceux qui les ont précédés aient envie de moi, et pas toi? Dois-je vraiment choisir l'un deux? Est-ce à Quinn que je dois demander de m'embrasser? de me mettre dans son lit? de faire de moi une femme?
Un grondement sourd monta de la gorge de Grimm.
- Tais-toi!
En un geste immémorial et purement féminin de défi et de séduction, elle pointa le menton en avant, rejetant ses cheveux vers l'arrière.
- Embrasse-moi...susurra-t-elle. S'il te plaît. Juste une fois, comme si tu le voulais vraiment.
Il bondit avec une telle grâce et à une telle vitesse qu'elle n'eut pas le temps de réagir. Les doigts de Grimm plongèrent dans ses cheveux, emprisonnant son crâne entre ses paumes et inclinant sa tête vers l'arrière.
Enfin, ses lèvres se posèrent sur les siennes.
Ce fut tout de suite un biaser passionné, mais dans le contact rude de sa bouche contre la sienne, Jillian eut la sensation que s'exprimait une colère froide. Comment pouvait-il lui en vouloir de l'avoir poussé à l'embrasser, alors qu'il était manifeste qu'il avait desespérément envie de le faire? De cela, elle était certaine. Dès l'instant où ses lèvres avaient pris possession des siennes, tous les doutes qu'elle avit pu entretenir sur la réalité de son désir pour elle s'étaient définitivement évanouis. Ce sésir, elle pouvait le sentir courir sous sa peau, menant une lutte acharnée contre sa volonté - une lutte perdue d'avance, songea-t-elle non sans fierté.
Jillian s'ammolit contre lui. Accrochée à ses épaules, elle entrouvrit les lèvres, offrant à la langue de Grimm un libre accès à sa bouche. Comment un simple baiser pouvait-il à ce point résonner en elle, faire vibrer chaque fibre de son être, lui donner l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds? Se livrant tout entière à la passion, elle lui rendit son baiser avec la même fougue, la même audace. Après avoir passé tant d'années à espérer et à douter, elle avait enfin une certitude: Grimm Roderick était animé par le même besoin irrépressible de la toucher que celui qui l'avait toujours poussée ver lui.
Et en ce qui la convernait, elle était convaincue que jamais elle ne pourrait se contenter d'un seul de ses baisers.
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Ils roulèrent quelques minutes dans un silence tendu, que Drustan finit par briser en demandanttout à trac:
- Aimes-tu les rimes de barde, Gwen Cassidy?
Concentrée sur sa conduite,elle s'étonna:
- La poèsie? Bien sûr que j'aime la poèsie....
Elle l'aimait même tellement, se souvint-elle avec amertume, que ses parents l'avaient punie tout un week-end, lorsqu'elle était adolescente, pour l'avoir suprise plongée dans la lecture d'une anthologie de poètes romantiques.
- Gwen? reprit-il d'un ton étrangment ému. Accepterais-tu de ma faire encore une faveur?
- Pourquoi pas? répliqua-t-elle avec un soupir qui lui aurait envié le plus saint des martyrs. Une de plus ou de moins....
Cela le fit sourire, d'un sourire contraint et un peu triste, puis il se redressa sur son siège pour déclamer, à voix haute et claire:
- "Deux flammes pour une braise / Brûlent d'un même désir / Où tu iras, qu'il plaise/ Aux dieux que j'aille aussi / Fasse que le temps n'apaise/ Ni flamme ni souvenirs"
- C'est joli...commenta-t-elle prudemment.
Mais... qu'est-ce que ça veut dire?
- As-tu bonne mémoire? s'enquit-il sans répondre à sa question
- Oui, enfin je ...
- Saurais-tu mémoriser ces quelques vers? Mais surtout sans me les dire.....
Intriguée, Gwen se tourna brièvement vers lui. Son visage était plus pâle encore qu'auparavant. Pourtant, leur vitesse d'escargot sur cette route en lacet ne pouvait en être la cause. Sérieux comme un homme à l'article de la mort dictant ses dernières volontés, il soutint son regard avec une étrange intensité.
Pour lui être agréable, autant que pour ne pas le contrarier, ele lui fit répéter le sizain, qu'elle mémérisa et redit mentalement sans la moindre erreur.
- Pourquoi, est-il important que je me les rappelle? s'étonna-t-elle.
- Parce que la mémoire est la plus efficace des clés, répliqua-t-il mystérieusement. Merci d'avoir bien voulu me faire ce petit plaisir....
Sans dout peu désireux, de s'étendre sur le sujet, Drustan répondit à retardement à sa demande de lui décire son ch$ateau, dans un langage imagé et avec une précision maniaque.
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....
Claire s'assit à côté de Shane, les genoux ramenés contre sa poitrine.
- tu comptes rester ici toute la nuit?
- peut-être...
- je me disais....
- quoi? que ça me ferait du bien de m'istaller devant la télé pour tuer des zombies? de manger un taco? ça n'est pas aussi simple, Claire. C'est mon ...
Sa voix se brisa et il se ressaisit:
- c'était mon père. Il y avait une chose au monde qui le terrorisait et elle vient de lui arriver sous mes yeux. Je ne veux même pas y penser.
- je sais, murmura-t-elle en posant la tête sur son épaule. Je suis vraiment désolée...
Ils restèrent là un long moment. Eve et Michael passaient les voir régulièrement. Jusqu'à ce qu'ils baissent les bras et montent au premier. Le silence tomba sur la maison.
- il fait froid.
Claire somnolait presque en dépit de l'inconfort et la voix de Shane la ramena brusquement à la réalité.
- ouais un peu....c'est le parquet.
Shane soupesa cette remarque plusieurs secondes, puis déclara:
- passer la nuit assis là serait un peu débile,non?
- pas si ça t'aide à aller mieux...
Etirant les jambes bursquement, il soupira.
- je ne vois pas trop comment prendre froid et laisser mes membres s'engourdir les uns apèrs les autres m'aideraient. J'ai surtout besoin d'un lit confortable et qui n'a pas été utilisé avant par un certain Bubba souffrant d'un problème de flatulence.
Ca ressemblait presque à ce qu'aurait dit l'ancien Shane. Claise se redressa et leva les yeux vers lui. Au bout d'une seconde, il rencontra son regard. Il n'avait pas encore l'air heureux,mais il allait ...mieux. En tout cas, il s'y efforçait.
- j'ai oublié de te dire bonjour. Dans le bureau de Bishop.
- vu les circonstances, je suis prête à passer l'éponge.
Il soutenait son regard avec une telle intensité qu'elle sentit son coeur s'emballer.
- ça fait un moment maintenant que...reprit-elle d'une voix étanglée. Que Bishop t'a mis derrière les barreaux.
- j'avais remarqué. Tu cherches à savoir si j'ai des anecdotes croustillantes à te raconter sur mes codétenus et moi?
- quoi? non! s'empressa-t-elle d'ajouter tout en rougissant. Je voulais juste... je n'ai pas la moindre idée de ....
- tu bafouilles.
- c'est ta faute. Je perds toujours mes moyens quand tu me regardes comme ça.
- comment?
- comme si j'étais un gâteau.
Il lui lécha le nez. Elle s'écarta avec un petit cri de surprise, avant de s'essuyer, mais déjà il pressait ses lèvres douces et tièdes contre les siennes. Il n'avait rien d'une pâtisserie, ça non; il avait le goût que devait avoir du très bon vin, un goût puissant qui vous montait tout droit à la tête. Sous ses caresses,les muscles de Claire se réchauffaient en ronronnant. L'espace de quelques instants, elle eut l'impression qu'il n'y avait rien d'autre au monde que ce baiser.
Dans tout l'univers même.
S'arrachant à ses lèvres, Shane appuya sa joue brûlante contre la sienne, tout aussi chaude. Elle sentit son souffle sur sa tempe, juste au-dessus de son oreille. Il prit une inspiration pour dire quelque chose, cependant elle fut plus rapide.
- non, murmura-t-elle. Ne m'explique pas que ce n'est pas le bon moment, que ce n'est pas une bonne idée. Ne m'explique pas qu'on devrait pensait à ton père, à mes parents, à ce que Bishop manigance. J'ai envie d'être ici, avec toi. Je me fous du reste.
- moi, je n'ai aucune envie d'être ici.
La vision de claire de brouilla aussitôt...........
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.....
- As-tu commander à manger? demanda-t-il, l'arrachant à ses réflexions
- Oui, mais il faut attendre un peu. Ecoutez, j'ai réfléchi...Quel est votre plan, exactement?
- Coucher avec toi.
- Je parle d'un plan réaliste, précisa-t-elle avec un courire un peu duindé.
- Ah, celui-là! Attends, je te montre.
Un instant auparavant, il se trouvait de l'autre côté de la pièce, séparé d'elle par deux lits. Et voilà qu'il était tout contre elle, si proche qu'elle pouvait sentir la chaleur de son corps!
Commlent avait-il pu se déplacer aussi vite?
Jessi n'eut pas le temps de lui poser la question. Déjà, il soulevait son menton d'une main, tandis que de l'autre, il l'attirait à lui.
Elle ne tenta pas de résister. Personne e pouvait lui venir en aide... à supposer qu'elle en ait envie.
Vaincue, elle plongea son regard dans ses yeux couleur d'ambre et attendit que ses lèvres se posent sur les siennes. Il se pencha vers elle, si lentement qu'elle frémit. Il était encore plus beau vu de près! Son regard n'était que lumière dorée, et sa peau était plus douce que le cuir le plus fin, sauf sur ses joues recouvertes d'une barbe naissante.
Il s'immoblisa à moins d'un milimètre d'elle, si près qu'elle pouvait presque sentir la tiédeur de sa peau contre la sienne.
-Dis-moi que tu ne veux pas que je t'embrasse, Jessica, dit-il en effleurant sa bouche. Et tu as intérêt à te montrer convaincante...
- Lâchez-moi, dit-elle avant d'humecter ses lèvres.
- Tu ne peux pas faire mieux?
- Lâchez-moi! répéta-t-elle en se plaquant contre lui.
Un aimant aurait mieux résisté à l'attraction d'un bloc d'acier...Lequel bloc d'acier lui décocha un sourire moqueur.
- Essaie encore. Je te préviens, ma belle, c'est ta dernière chance.
Jessica prit une profonde inspiration.
-Léchez-moi!
"Oh,non!" faillit-elle gémir en entendant Cian éclater de rire. Ce n'était pas ce qu'elle avait voulu dire...
Trop tard.
Déjà, il se penchait vers elle pour lui donner le baiser si ardemment réclamé.
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Elle n'en fit rien, cependant. Une fois dans sa chambre, porte fermée, elle examina sa maigre garde-robe. Elle consistait pour l'essentiel en ligne sale. Assise sur son lit, sans réussir à détacher ses yeux de ses quelques vêtements, elle fut envahie par un sentiment d'abandon et de solitude. Cherchait-elle à faire passer un message ou prenait-elle tout simplement la fuite comme une gamine? Elle se sentait idiote maintenant qu'elle avait sorti toutes ses affaires, qui formaient un ensemble pathétique.
Elle ne répondit pas immédiatement lorsqu'on frappa à sa porte. Elle savait qu'il s'agissait de Shane. "Laisse-moi", songea-t-elle bien même si elle savait qu'il n'était pas doué pour lire dans ses pensées. Il frappa à nouveau.
-Ce n'est pas fermé à clé, dit-elle.
- Mais ce n'est pas non plus ouvert, rétorqua-t-il sans animosité. J'ai quelques manières, quand même.
- Des fois j'en doute.
- Ok, je le reconnais, je me suis conduis comme un trouduc.
Elle entendit le parquet craquer - il devait transférer sonpoids d'une jambe sur l'autre.
- Claire...hésita-t-il.
- Entre.
Il se figea sur le seui en découvrant les affaires entassées devant elle, prêtes à rejoindre l'unique valise dont elle disposait.
- Tu es sérieuse, alors?
- Oui.
- Tu vas tout remballer et partir?
- Tu sais bien que c'est ce que mes parents veulent.
Il conserva le silence un long moment, puis plongea la main dans la poche arrière de son jean et en sortit un écrin noir, large comme sa paume.
- Tiens alors. Je comptais te l'offrir plus tard, mais il vaut sans doute mieux que je te le donne maintenant, avant que tu nous laisses.
Il avait beau s'exprimer avec un détachement qui paraissait n'avoir rien de forcé, Claire remarqua qu'il avait les doigts gelés quand elle lui prit la boîte des mains. Elle ne lui avait jamais vu une telle expression - de peur sans doute, comme s'il se préparait à encaisser un coup douloureux.
Après avoir hésité l'espace d'une seconde, elle entrouvrit le couvercle de l'écrin en cuir. Monté sur des ressorts, il se souleva d'un coup sec.
Oh...
La croix en argent délicatement travaillé était sublime; des lianes s'enroulaient autour des branches. Elle était passée sur une chaîne si fine que Claire eut l'impression de pouvoir la faire fondre d'un suffle.K Lorsqu'elle prit le collier dans sa main, elle fut surprise de ne sentir aucun poids.
- Je ....
Elle ne trouvait pas de mots pour ewprimer ce qu'elle éprouvait. Elle était comme en état de choc.
- C'est magnifique, finit-elle par articuler.
- Je sais que les croix ne marchent pas contre les vampires, expliqua-t-il. Bon, je le reconnais, je croyais que si à l'époque où je te l'ai acheté. Mais c'est de l'argent, et je crois que l'argent permet de les repousser, alors j'espère que ça te servira.
Ce cadeau n'avait rien d'insignifiant. Shane ne roulait pas sur l'or, il bossait de temps à autre et n'était pas dépensier. Or il ne s'agissait pas d'un collier de pacotille, il était en argent véritable.
- Je ne peux pas accepter... C'est trop.
Le coeur de Claire tambourinait si fort dans sa poitrine qu'il l'empêchait de penser. Elle aurait aimé savoir ce qu'elle était censée ressentir, comment elle était censée agir. Sur un coup de tête, elle replaça la chaîne et la croix dans l'écrin, qu'elle referma d'un bruit sec et lui tendit.
- Je ne peux pas Shane.
Il lui adressa un sourire attristé
- Ce n'est pas une bague ou un truc dans ce genre. Garde-le. De toute façon, ça n'irait pas avec mes yeux.
Il enfonça les mains dans les poches et, épaules baissées, quitta sa chambre. Toujours sur le coup de la surprise, Claire serra la boîte dans sa paume moite avant d'en soulever à nouveau le couvercle. Se détachant sur le velour noir, la croix brillait de mille feux. Elle devint floue et Claire comprit qu'elle avait les yeux embués de larmes. Elle éprouvait enfin quelque chose, un sentiment qui prenait bien trop de place à l'intérieur de son petit corps fragile.
- Oh...murmura-t-elle. Oh, mon Dieu!
Il ne s'agissait pas d'un cadeau quelconque. Il avait dû y consacrer beaucoup de temps et d'effort. C'était une preuve d'amour. D'amour sincère.
Ses doigts tremblaient tellement qu'elle dut s'y reprendre à deux fois pour attacher la chaîne autour de son cou. Puis elle sortit dans le couloir et , sans se donner la peine de frapper, pénétra dans la chambre de Shane. Posté à la fenêtre, il avait le regard perdu dehors. Il lui parut différent. Plus vieux. Plus triste. Lorsqu'il pivota vers elle, ses yeux tombèrent sur la croix au creux de sa gorge.
- Tu es un vrai idiot, dit-elle.
Après avoir pris le temps de la réflexion, il hocha la tête.
- Ouais, la plupart du temps, je suis même pire que ça.
- Mais il t'arrive aussi de faire des trucs absolument incroyables..
- Je sais. C'est pour ça que j'ai précisé "la plupart du temps".
- Tu as tes moments de gloire.
Son sourire se faisait encore hésitant quand il demanda:
- Alors, elle te plaît?
Caressant du bout des doigts les fines branches d'argent, elle rétorqua:
- Je la porte, non?
- Ca ne veut pas dire que nous....
- Tu m'as dit que tu m'aimais, l'interrompit Claire. Tu l'as dis.
Réduit au silence,il la dévisagea avant d'acquiescer. Il rougissait progressivement.
- Eh bien, je t'aime aussi, ce qui ne t'empêche pas d'être un idiot. La plupart du temps.
- On ne se disputera pas à ce sujet.
Lorsqu'il croisa les bras, elle dut faire un effort pour nen pas étudier la courbe de ses muscles saillants ou la lueur de vulnérabilité dans ses yeux.
- Alors, tu déménages? reprit-il.
- Ce serait plus raisonnable, répondit-elle tout bas. L'autre nuit....
- Claire sois franche avec moi. Tu déménages?
Elle tenait la croix entre son pouce et son index à présent, et celle-ci lui paraissait brûlante.
- Je ne peux pas, finit-elle par lâcher.Je dois d'abord faire des lessives, et j'en ai au moins pour un mois. Tu as vu le tas de linge sale?
Il partit d'un éclat de rire qui sembla le vider de toutes ses forces; il s'affala sur son lit défait. Claire attendit quelques secondes pour venir s'asseoir à côté de lui. Il lui passa un bras autour des épaules.
- La vie exige des efforts constants, dit-il. C'est ce que ma mère répétait toujours. Je suis un peu tire-au-flan, je sais.
Dans un soupir, Claire s'autorisa à s'abandonner contre lui.
- Heureusement pour toi,que je suis travailleuse.
........
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Claire s'efforçait de rester concentrée sur ses oeufs brouillés. Ses mains tremblaient.
- Hé , lui murmura Shane en se penchant vers elle, pas de panique. On s'en sortira tous.
Elle se sentait rassurée par sa présence à ses cotés, par la chaleur qui se dégageait de son corps massif pendant qu'il remuait ce qui ne ressemblait toujours pas à la sauce brune. En matière de cuisine, Shane n'avait qu'un seul domaine d'expertise: le chili. Mais au moins, il faisait des efforts, ce qui était inédit... et prouvait qu'il prenait la situation très au sérieux.
- Tu as raison, dit-elle, la gorge serrée.
Shane pressa son bras contre le sien, et ce n'était pas accidentel-Claire savait que, s'il n'avait pas eu les mains occupées, il l'aurait enlacée.
-Michael ne les laissera pas nous faire de mal, insista-t-il.
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Shane s'était enfermé dans sa chambre. Elle frappa.
Après un long silence, il finit par lancer:
-Si je t'ignore assez longtemps, tu me laisseras tranquilles?
- Non.
-Entre, alors.
Il était affalé sur son lit, les yeux tournés vers le plafond et les mains croisées sous sa nuque. Il ne lui accorda pas un seul regard.
-Ca va fonctionner comme ça dorénavant? Je veux dire, chaque fois que je ferai un truc débile, genre rentrer un peu tard, tu te mettras en pétard et tu monteras bouder, puis moi je viendrai m'excuser pour tout arranger entre nous?
Shane la considéra avec étonnement.
-Je crois que ça me convient, ouais.
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-Shane!
Il rlava la tête. Il avait les yeux rouges, mais il ne pleurait pas. Du moins, plus. Il réussit à se mouvoir dans la cage exigue pour venir s'assoeir plus près d'elle. Il lui caressa la joue à l'endroit où Oliver l'avait giflée. Claire se demanda si sa peau était toujours rouge.
-Je suis désolé, dit Shane. Mon père... il fallait que j'intervienne. Je ne pouvais pas le laisser faire ça. Je devais essayer de l'empecher, Claire, je devais.
Elle s'était remise à sangloter en silence. Il essuya une larme de son pouce. Elle sentit qu'il tremblait.
- Dis-moi que tu ne lui as rien fait...Dis-moi que tu n'as rien fait à Brandon...
-Je n'aimais pas ce sale con, mais je ne l'ai pas touché et encore moins tué. Il était déjà mort à mon arrivée, conclut-il avec un rire forcé. Je suis un petit veinard, non? J'essaie de jouer les héros et je finis arreté comme un méchant.
- Ton père....
- Il va nous sortir de là. Ne t'inquiète pas, Claire, tout va s'arranger.
Au ton qu'il employait, elle comprit qu'il n'en croyait pas un mot, lui non plus. Elle se mordit la lèvre pour retenir une nouvelle vague de sanglots et déposa un baiser au creux de la paume de Shane.
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-qu'est-ce que tu fabriques debout aussi tôt?
- demande à Michael, dit-il en se balançant sur sa chaise.
"Difficile avant la fin de la journée...", songea-t-elle.
- tu dois faire un truc pour lui?
- oauis, répondit-il en laissant retomber sa chaise sur ses quatre pieds et en passant une main dans ses cheveux ébouriffés. Et ne compte pas sur moi pour me mettre sur mon trente et un.
- quoi?
- je te préviens, j'y vais comme ça.
Elle le dévisagea, perplexe.
- je t'accompagne en cours, finit-il par expliquer. C'est bien aujourd'hui que tu reprends?
- tu n'es pas sérieux, là, dit-elle calmement.
Il haussa les épaules.
- dis-moi que c'est une blague! Je ne suis plus une gamine de 6 ans qui a besoin que son grand frère l'accompagne à l'école! C'est hors de question, Shane.
- Michael pense qu'il te faut une escorte. Brandon était si furax qu'il est tout à fait capable de trouver le moyen de se venger sans agir directement. Pleinn de gens seraient prêts à te démonter la tête sur un simple claquement de doigts de ce cinglé. Monica, par exemple, ajouta-t-il en détournant le regard.
- Monica est protégée par Brandon?
- toute la famille Morrell, à ce que j'en sais. C'est un peu leur larbin. Dis-moi tout....continua-t-il en se frottant les mains. A quels cours passionnants allons-nous assister aujourd'hui?
- tu ne pas venir en cours avec moi!
- tu peu toujours essayer de m'en empêcher, mais tant que tu n'auras pas réussi à te débarrasser de moi, je te suivrai à la trace. Alors, quel est le programme?
- algèbre, physique, chimie, cours d'amphi et td, puis biochimie.
- bordel, tu es vraiment une grosse tête toi.....très bien, je vais emporter des bd et peut être mon iPod.
Elle le fusilla du regard. Ce qui n'eut aucun effet, si ce n'est peut etre de le rendre encore plus guilleret.
- j'ai toujours rêver d'aller à la fac et, grâce à toi, j'en ai enfin l'occasion.
- je suis morte....gémit-elle en se prenant la tete dans les mains.
- pas encore, justement.
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Il lui avait fallu patienter plus de mille ans pour trouver sa compagne.
Il ne patienterait pas un instant de plus.
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Sur le point de lui assurer que rien ne pouvait le faire changer d'avis, pas en ce moment, Cesar poussa un cri étranglé et bondit presque hors du lit quand Anna se redressa et prit son membre douloureux dans la bouche.
Il pouvait mourir en cet instant, un vampire heureux, se dit-il tandis qu'elle se servait de sa langue pour parfaire sa torture.
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Les yeux écarquillés, elle scruta son entrejambe. Oh mon Dieu! Si le doigt du vampire n'était pas demeuré collé contre ses lèvres, elles les aurait léchées par reflexes.
- Certaines choses ne changent décidément jamais, prononça une voix grave.
Mencheres ôta son index et leva le menton de la jeune femme.
A contrecoeur, Kira se força à détourner le regard pour croiser les yeux de Mencheres. Elle n'y lut plus la moindre colère, et le vampire couriait meme. Son cerveau embrumé comprit enfin qu'il avait répété la remarque qu'elle avait faite un peu auparavant, et elle éclata de rire.
- Je plaide coupable, admit-elle en résistant au désir de baisser à nouveau les yeux.
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Le regard de Mencheres s'attarda sur sa poitrine jusqu'à ce que Kira croise les bras, visiblement agacée.Lorsqu'il releva les yeux jusqu'à son visage, elle le fusilla du regard. Il détourna la tête, gloussant presque de la cocasserie de la situation. Depuis combien de siècles n'avait-il pas été surpris en train de lorgner sur une paire de seins? Une paire de seins habillés, qui plus est. Bones, le Maître associé de sa lignée, se tordrait de rire s'il l'apprenait.
- Certaines choses ne changent décidement jamais, marmonna Kira.
Mencheres souris.
- C'est ce qu'il semblerait, en effet.
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Comme s'il avait deviné le dilemme qui me déchirait, il me caressa les cheveux.
- Dors, Sentinelle. Le moment où tu seras prête viendra. En attendant, reste tranquille et repose-toi.
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