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Commentaires de livres faits par AurieGreenForman

Extraits de livres par AurieGreenForman

Commentaires de livres appréciés par AurieGreenForman

Extraits de livres appréciés par AurieGreenForman

date : 23-12-2014
Il a pris appui sur ses deux mains pour se lever, puis s'est lissé retomber et m'a embrassée furtivement sur la joue.
-Augustus!
-C'était amicale, a-t-il précisé, puis il c'est relevé pour de bon cette fois.
Il c'est avancé vers ma mère.
-C'est toujours un plaisir de vous voir, lui a-t-il dit.
Elle a ouvert grand ses bras pour l’étreindre. Augustus s'est penché vers elle et l'a embrassée sur les deux joues. Puis il s'est tourné vers moi et m'a lancé:
-Tu vois!
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date : 23-12-2014
Je me suis blottie contre lui.
-Merci d'avoir proposé de venir.
-Ce n'est pas parce que tu me repousses que je vais avoir moins d'affection pour toi, tu en es consciente?
-Je crois, ai-je répondu.
-Tous tes efforts pour m'épargner échoueront, a-t-il ajouté.
-Pourquoi? Pourquoi est-ce que je te plairais d'abord? Tu n'as pas eu ta dose de tout ça déjà? ai-je demandé en pensant à Caroline Mathers.
Il n'a pas répondu. Il a continué à me serrer très fort.
_Il faut faire quelque chose pour cette foutue balançoire, a-t-il décrété. Je t'assure que c'est quatre-vingt-dix pour cent du problème.
(...)
-En tête? a-t-il demandé.
-Balançoire recherche maison, ai-je proposé.
-Balançoire atrocement seule recherche maison accueillante.
-Balançoire seule, un brin pédophilique, recherche derrières d'enfants, ai-je dit.
Il a ri.
-Voilà pourquoi.
-Qui,
-Voilà pourquoi tu me plais. Est-ce que tu te rends compte à quelle point c'est rare de tomber sur une fille canon capable d'inventer un adjectif avec le mot "pédophile"? Tu es trop occupée à être toi même, tu ne réalise pas que tu es exceptionnelle.
J'ai pris une profonde inspiration. Je n'avais jamais assez d'air, mais, à ce moment précis, la pénurie était particulièrement sensible.
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date : 23-12-2014
J'ai décidé de lui envoyé un texto. Je voulais éviter une discussion interminable.

Salut. Voilà, je ne sais pas si tu comprendras, mais je ne peux pas t'embrasser ni rien. À vrai dire, je ne sais même pas si tu en as envie, mais dans tous les cas je ne peux pas.
Quand j'essaie d'imaginer que je pourrais sortir avec toi, je ne vois que les horreurs qui t'attendent à cause de moi. Tu trouveras peut-être ça débile.
Quoi qu'il en soit pardon.

Il m'a répondu deux minutes après.

Ok.

Je lui ai renvoyé:

Ok.

Il m'a répondu:

C'est bon arrête de me draguer!

J'ai écrit:

Ok.

Deux secondes après mon téléphone vibrait.

Je blaguais, Hazel Grace. Je comprends. (Sauf qu'on sait tous les deux que "Ok" extrêmement provocateur. Il DÉGOULINE de sensualité.)

J'ai été tentée de lui répondre encore une fois "Ok", mais je l'ai imaginé à mon enterrement et ça m'a aidé à lui envoyé un texto convenable.

Pardon.
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date : 22-12-2014
-Tobias. C'est moi
J'avance d'un pas te je le prends dans mes bras. Tout son corps est contracté. Son cœur s'accélère. Puis, le bruit sourd du pistolet qui tombe par terre. Il me saisit par les épaules-trop fort;ses doigts s'enfoncent dans ma chair pile à l'endroit de ma blessure. Je pousse un cri tandis qu'il me tire vers lui. Il a peut-être décidé de me tuer autrement.
-Tris.
Cette fois c'est bien lui. Sa bouche heurte la mienne.
Il m'enveloppe dans ses bras et me soulève en me serrant contre lui, les mains agrippées à mon dos. Son visage te sa nuque son trempés de sueur, son corps tremble et la douleur me brûle l'épaule au fer rouge, mais ça m'est égale. Ça m'est égale.
Il me repose par terre te me dévore des yeux, ses doigts glissant sur mon front, mes sourcils, mes joues, ma bouche.
Il laisse échapper un bruit qui tient du sanglot, du soupir et du gémissement et il m'embrasse de nouveau. Ses yeux brillent de larmes. Je n'aurais jamais crue voir Tobias pleure. Et ça ma fait mal.
Je m'appuie contre lui et je pleure dans son tee-shirt. Tout s'abat sur moi en bloc, l'étau qui m'enserre la tête, la brûlure de mon épaule... on corps me paraît soudain deux fois plus lourd. Je m'affale contre lui et il me retient.
-Comment tu as fais? demandé-je.
-Je ne sais pas. J'ai entendu ta voix.
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date : 21-12-2014
Puis je sens que quelqu'un me tape sur l'épaule. C'est Tobias. Je me lève avec un sourire rayonnant.
-Si je te serre dans mes bras, tu crois que ça va vendre la mèche ? me demande-t-il.
-Je ne sais pas et je m'en fous !
Je me hausse sur la pointe des pieds et je m'embrasse sur la bouche.
C'est le meilleur moment de ma vie.
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-Bien que tout cela soit très amusant, j'aimerais revenir à ce qui nous occupe. Le baiser qui délivrera cette jeune fille est celui qu'elle désire le plus en secret.
L'expression de son visage et le ton de sa voix trahissaient sa jubilation, et ses mots transpercèrent Clary comme un poignard. Simon la regarda? l'air blessé. CLary aurait voulu le prendre dans ses bras, mais elle restait immobile, figée d'horreur?
-Pourquoi faites-vous ça ? s'indigna Jace.
-Et moi qui pensait te faire plaisir !
Jace rougit et prit soin d'éviter le regard de Clary.
-C'est ridicule ! maugréa Simon. Ils sont frère et soeur.
-La reine haussa gracieusement les épaules.
-Le désir va parfois de pair avec la répulsion, et il n'est pas toujours accordé comme une simple faveur à ceux qui le méritent entre tous. Étant donné que ma magie est enchaînée à mes mots, vous connaîtrez la vérité. Si elle ne désire as ce baiser, elle ne sera pas délivrée.
Simon marmonna quelque chose ; Clary ne l'écoutait pas. Ses oreilles bourdonnaient comme si un essaim d'abeilles malfaisantes s'agitait à l'intérieur de son crâne. Son ami se tourna vers elle, furieux.
-Tu n'est pas obligé de faire ça, Clary, c'est un piège...
-Non, ce n'est pas un piège, dit Jace. C'est un test.
-Eh bien, je ne sais pas pour toi, Simon, lança Isabelle d'un ton nerveux, mais moi j'aimerais bien tirer Clary de ce guêpier.
-Parce que toi, tu embrasserais Alec si la reine de la Cour des Lumières l'exigeait ?
-2videmment, si l'autre option était de rester coincé ici pour l'éternité, répliqua Isabelle avec irritation. Quelle importance ? C'est juste un baiser.
-Exactement, renchérit Jace.
Clary le vit s'avancer vers elle comme à travers un brouillard. Il posa une main sur son épaule et se pencha.
-C'est juste un baiser, répéta-t-il d'un ton cassant.
En revanche, ses mains se firent étonnamment douces. Clary leva la tête. Les yeux de Jace lui parurent très sombres, ce qui était peut-être dût aux lumières tamisées. Elle distingua son propre reflet, minuscule, dans ses pupilles dilatées.
-Tu n'as cas fermer les yeux et penser à autre chose suggéra-t-il.
Clary obéit. Elle sentit le poids des mains de Jace sur ses épaules , seule source de chaleur dans la pièce humide et froide.
D'abord, il effleura ses lèvres, qui s'entrouvrirent au contact des siennes. Presque malgré elle, elle se détendit et se hissa sur la pointe des pieds pour enlacer le cou de Jace tandis qu'il glissait les mains dans ses cheveux. Brusquement, leurs lèvres se firent plus pressantes. Un murmure pareil à un soupir parcourut la cour. Clary ne percevait plus que l'afflux du sang dans ses veines et l'impression grisante de légèreté dans tout son corps.
Les mains de Jace lâchèrent ses cheveux, descendirent le long de son cou ; elle sentit la pression de ses paumes sur ses épaules. Il s'écarta doucement en détachant ses bras de sa nuque. Pendant une fraction de seconde, Clary perdit l'équilibre comme si on venait de lui arracher un organe vitale, et elle fixa Jace d'un air ébahit : il n'éprouvait donc rien ? Cette idée lui était insupportable.
Il lui rendit son regard, et elle y lut la même expression que ce jour-là à Renwick, lorsque le Portail qui le séparait de sa maison d'enfance avait volé en éclats. Il la fixa un instant, puis détourna les yeux.
-Vous êtes satisfaite ? lança-t-il à la reine et à ses courtisans. Ça vous a plus ?
La reine porta la main à sa bouche pour dissimuler un sourire.
-Pas autant qu'à vous deux, on dirait.
-Simple hypothèse : j'ai l'impression que les émotions des mortels vous divertissent parce que vous n'en éprouvez pas vous-même.
Le sourire de la reine se figea.
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Derrière elle, Simon glissa et poussa un juron. D'instinct, Jace s'avança pour le relever. Simon refusa sa main tendue.
-Je n'ai pas besoin de ton aide!
-Arrêtez, vous deux! s'exclame Isabelle.
Elle tapota du bout de sa botte la surface de l'eau.
-Je devrais dire vous trois. Si on ne se sert pas les coudes à la Cour des Lumières, on est morts.
-Mais je..., commença Clary.
Isabelle désigna les deux garçons d'un geste dédaigneux.
-Tu ne devrais pas les laisser faire.
-Je n'ai pas à leur donner des ordres! se rebiffa Clary
-Ah bon ? Honnêtement, Clary, si tu ne te décides pas à te servir de ta supériorité féminine, je ne réponds plus de toi.
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date : 20-12-2014
Alors je me mets à chanter le refrain. À lui chanter le refrain. Et elle me sourit, et c'est comme si nous étions tous les deux seuls au monde, seuls à savoir ce qui se passe. À savoir que cette chanson que nous chantons tous ensemble est en train d'être réécrite. Ce n'est plus désormais une supplication rageuse adressée au vide. Ici même, sur cette scène, en face de quatre-vingt mille personnes, elle est en train de devenir autre chose.
C'est notre nouvelle promesse.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


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