"En silence, il entoura Charline de ses bras en pesant légèrement, de sorte qu’ils tombèrent lentement accroupis, son dos à elle en appui sur son torse, tous deux face la glace et à peine couverts de leurs peignoirs et totalement nus dans leur pudeur. Ils restèrent un moment à regarder leur propre image renvoyée par la glace. Regardant fixement Franck dans la glace, elle lui tendit le sabot et d’une voix calme demanda :
— S’il te plaît…
— Oui, ça me plaît.
Franck s’exécuta et prit le sabot par le talon. Elle écarta lentement les jambes et commença à onduler de tout son corps. Charline fut parcourue de sorte de petits frissons lorsqu’il approcha le sabot de son pubis. Elle s’inclina encore plus en arrière en appui sur son partenaire, ce qui eut pour effet de dégager encore plus son sexe. Dans la glace, Franck pouvait parfaitement contrôler la trajectoire du sabot dans le sillon largement ouvert. En faisant monter son regard, il pouvait voir la bouche entrouverte de Charline aspirant de longues goulées d’air, et sa poitrine se soulever en cadence ; ses yeux étaient clos et ses traits légèrement tirés. Le cuir du sabot devint luisant au fur et à mesure qu’il le faisait glisser de tout son long en maintenant une légère pression contre la vulve offerte. Les mains de Charline caressaient ses propres cuisses, les cuisses de Franck tandis que le rythme des frictions s’accélérait.
(...)
Elle se renversa complètement en arrière, le dos cambré sur une jambe de Franck. Il lui reprit le sabot des mains et dirigeant précisément son extrémité vers le clitoris déjà endolori, il commença à lui asséner de petits coups méthodiques, à le faire rouler hors de son capuchon de chair. Quasi insensible aux petits cris de Charline, il fit une courte pause pendant laquelle il dégagea les grandes lèvres et les maintint écartées entre deux doigts, et effleurant la pointe du sabot du clitoris de Charline lui glissa :
— Prête ?"