Commentaires de livres faits par Ausana
Extraits de livres par Ausana
Commentaires de livres appréciés par Ausana
Extraits de livres appréciés par Ausana
Les mots « je vous aime » n'existent pas dans la langue nippone.
« Comment dites-vous à votre mari que vous l'aimez, demandai-je une fois à une amie japonaise. »
Elle parut légèrement choquée. « Un sentiment aussi profond que l'amour conjugal ne peut s'exprimer en paroles, mais seulement dans les attitudes ou les actes. »
Les japonais ne possèdent donc aucun mot d'amour « mon cher, mon chéri, mon amour », etc. Les jeunes se servent de paroles anglaises, mais peut-être ne les prennent-ils pas au sérieux. D'ailleurs, prenons-nous tellement au sérieux, en Occident, ces termes qu'on emploie à tort et à travers ? En tant qu’écrivain pour qui chaque parole a son sens et sa valeur, je n'aime pas voir galvauder ces mots, qui représentent pour moi des trésors. La langue anglaise est particulièrement riche en mots d'amour, d'origine anglo-saxonne. Dans les studios de cinéma, les « gros bonnets » appellent les secrétaires, les vedettes de cinéma ou n'importe quelle jeune fille dont le nom leur échappe, de ce nom précieux de « ma chérie » ou « mon amour », ce qui me met toujours en colère. C'est un profanation du sentiment véritable, le plus profond qui existe dans le cœur humain. Pour moi, rien dans la vie n'approche, ou même ne ressemble, à l'amour sans prix qui peut exister entre un homme et une femme et à tout ce qu'il implique. Les paroles que nous utilisons depuis des siècles pour exprimer cet amour ne doivent pas être gaspillées, sinon comment exprimerons-nous l'amour véritable ? Nous risquons de nous laisser dépouiller d'un bien irremplaçable. Toute femme qui s'est entendu appeler « mon amour, ma chérie, mon trésor », par l'homme qu'elle aime, ne peut que se formaliser d'entendre répéter ces mots à la légère.
Une chose avait changé depuis son réveil, un étrange phénomène qui allait transformer son existence…
qui fait danser les fous jusqu'à la mort, même lorsqu'ils savent que le gouffre est devant, ils continuent d'avancer et tombent...
appâtant ses proies avec des néons éclatants...
tous dévorés par cette femme..
symbolisant la liberté...
Le Nil était la principale voie de communication de l'Egypte ancienne. Il reliait les villages et les villes qui s'égrenaient le long de ses rives. Les sites plus éloignés, comme ceux des pyramides, étaient reliés au Nil par un système de canaux. Les Egyptiens n'avaient pas de routes, ils se déplaçaient essentiellement en bateau. Très peu de bateaux ont pu être conservés, mais les illustrations et les maquettes nous renseignent sur les différents types d'embarcations. Les premiers esquifs égyptiens, en papyrus, sont apparus autour de 4000 av. J.-C. La famille royale se déplaçait dans des bateaux plus grands et plus coûteux, en bois. On utilisait d'immenses barges en bois pour le transport des matériaux de construction lourds et des statues colossales en pierre.
La barque de papyrus
La première embarcation qui apparut sur le Nil était faite en tiges de papyrus attachées par des cordes. Peu coûteuse et facile à fabriquer, elle était utilisée pour traverser le fleuve, ainsi que pour la pêche et la chasse. Sur les peintures, on la représente souvent transportant le dieu-soleil.
Ancien Empire
À cette époque, le bois remplaça le papyrus, et on se mit à construire des bateaux plus grands, assez solides pour transporter plusieurs tonnes de blocs de pierre provenant des carrières de Haute Egypte jusqu'au site de construction des pyramides. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Où l'auteur découvre les créationnistes...
Un matin, au début des années 1990, dans un laboratoire du campus d'Orsay, au sud de Paris. Le patron m'appelle : «Jacques, j'ai du travail pour toi !» Il me tend le texte d'un courrier électronique : «As-tu déjà entendu parler des créationnistes ?» J'avoue mon ignorance. «Des fondamentalistes cassent les pieds à nos collègues américains. Ils prétendent que Darwin a tout faux et que seule la Bible peut nous dire comment l'Univers s'est construit, comment la vie est apparue sur Terre, etc. Évidemment, Adam et Eve ont réellement existé, l'arche de Noé aussi et l'évolution est un mythe ! Cela devrait t'intéresser...» Il a raison. Dominique Lecourt publiera son livre L'Amérique entre la Bible et Darwin quelques mois plus tard, mais je suis d'abord tenté d'imiter la réaction de mes collègues évolutionnistes : un rejet franc et agacé de ces énergumènes qui, en défendant coûte que coûte les récits bibliques, empêchent sinon la recherche scientifique d'avancer du moins les théories de l'évolution d'être enseignées aux jeunes générations. Puis je me souviens qu'il s'agit de croyants, le plus souvent de chrétiens, tout comme moi, qui lisent la même Bible que moi et confessent la même foi en Jésus-Christ. Il faut aller y regarder de plus près.
Quelques années plus tard, dans la banlieue chic de Washington, parsemée d'industries de pointe, de sociétés de service et d'administrations fédérales, je suis invité à visiter les locaux d'une company dont le business est la vente d'images obtenues grâce à un système de satellites d'observation français. Son directeur commercial est venu me chercher le matin même dans le couvent où je réside. Ce lieu de rendez-vous ne l'a pas surpris : aux États-Unis, la religion fait tellement partie de la société que, dans certaines agglomérations, les prêtres appelés au chevet de malades ou de mourants ont les mêmes facilités de stationnement que les médecins des urgences... --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Dans l'antichambre de Gorgue Industries, quelle contenance prendre pour celui qui avait choisi «par défaut» le métier de détective ?
Dans son bureau, siège de tous les pouvoirs, dominant le quartier de la Défense, le Président Nader le reçut avec tous les égards.
- Monsieur Grüber, votre réputation vous a précédé !
Grüber haussa les épaules.
- Je ne suis qu'un modeste détective privé qui se demande bien pourquoi vous l'avez convoqué.
L'interlocuteur se mit à sourire et prononça d'une voix confidentielle :
- Un jour, une histoire d'adultère... Vous devriez vous en souvenir...
Ils ne m’en sont pas reconnaissant pour autant. Vous devriez les entendre :
– Ce chat détruit mes plates-bandes. Il ne reste presque plus de pétunias.
– Je viens à peine de planter les lobélies, et le voilà déjà couché dessus pour les
écraser.
– Si seulement il pouvait éviter de faire des trous au beau milieu des anémones.
Des reproches, des reproches, des reproches. Je ne vois pas pourquoi ils se cassent la tête à garder un chat si c’est pour se plaindre en permanence.
Il a vraiment un corps érotique... mais qu'est-ce qui me prend moi?!*
- Vicieuse...
-Tu étais réveillé?
- Oui...
Je suis d'accord tu sais...
Fais de moi ce que tu veux!
La lune est notre témoin.
- Mais..Mais...mais qu'est-ce qu'il me sort, lui?!
- Tu m'as bien demandé ce dont j'avais envie?...
Elle cache un secret que les élèves normaux de la Day Class ignorent.
Ce sont tous des 'vampires'
...
Quant à nous deux... 'Chargés de discipline' n'est qu'une façade... En vérité, nous sommes les 'gardiens' de l'Académie!
... Des vampires qui ont vécu de longues, longues lunes...
... Sont comme du poison. »