Le Cycle des dômes, Tome 2 : Australopolis
Auteur
- Manuel Lempereur (Écrivain)
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Classement en biblio - 7 lecteurs
extrait
La lourde porte de cette cité secrète s’ouvrait donc lentement, laissant se diffuser une lumière blanche semblable à la lumière du jour, beaucoup plus intense, plus vive que celle baignant ce corridor titanesque où nous nous trouvions.
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J'ai bien aimé le tome 1 mais plus encore celui-ci que je trouve nettement meilleur.
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Rien a dir. Lecture aussi agréable que le tome 1. Je viens de finir de lire le Cycle des dômes, vol. 2. Comment dire, tout simplement magnifique. Nous retrouvons l'aventure des attachants Charlie et Jacques, dans un environnement et des révélations qui nous questionnent sur l'histoire de notre bonne vielle Terre.Tout comme le premier tome, ce second volet m'a tenu en haleine de la première à la dernière page.....les personnages sont toujours aussi attachants, le style impeccable.....Je recommande toute la série, on ne s’ennuie pas une seconde.
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Comme souvent j ai lus le premier tome il’y a un moment et du coup j ai eu du mal a revenir dans l histoire.
J ai trouvé se tome’un peu ennuyeux. J ai eu du mal a le terminé comle souvent j ai un gros ma’que d action qui me permet en general de rentrer totalement dans l histoire
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j ai traîné à terminer ce tome.
Long a mon goût, quoique pourtant scénario original, des personnages hors normes et une intringue bien présente.
La plume s est faite lourde, manquant de rythme et parfois il me semblait que le scénario était grossier. Classe bronze mais limite
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Activité récente
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Résumé
" Andréi ne dit pas un mot de plus. Tous deux restaient silencieux, à l’affût du moindre bruit inhabituel, de la moindre vibration, torsion ou craquement susceptible de révéler la présence d’une autre entité en ces lieux isolés de tout, y compris de la lumière. Le silence fut d’abord total, exception faite du son ténu et régulier engendré par le mouvement vertical de la plate-forme. Ensuite vinrent de petits bruits sourds, mats, comme si quelque chose tapait sur les parois extérieures du tube, puis plus rien. De nouveau, le silence et le ronronnement de la machine.
Encore des tapotements, plus forts cette fois-ci. Retour au calme. Pas pour longtemps. Une énorme vibration parcourut toute la longueur du tube, résonnant comme un rugissement étouffé, emprisonné à l’intérieur de ce cylindre vertigineux. On aurait dit qu’il venait de s’engouffrer tel un cri, un hurlement qui chercherait désespérément à rejoindre la surface en empruntant ce conduit providentiel.
— Là ! Tu entends ?
Jovis sentait son sang se glacer. Il ne put s’empêcher de repenser à Balti, à son atterrissage in extremis et surtout aux mots que ce dernier avait employés pour lui décrire ce qui l’attendait alors qu’il le qualifiait de suicidaire. « Moi non plus j'aimerais pas être à ta place quand tu seras là-dessous. Question de point de vue ! ». Pas sûr qu’il n’aurait pas préféré en effet se trouver de nouveau dans l’hélico de Balti. "
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