A. Meredith Walters

Coup de coeur énorme pour ce livre. Très bien écrit...un sujet difficile et pas souvent abordé. Bref, j'ai adorée !!

Livre très addictif. Sans réel suspense malgré tout. Tous les codes et les ficelles de la romance sont là. J'ai quand même hâte de lire la suite

Bon livre mais sans plus. Une fin qui nous laisse sur une touche je trouve un peu déprimante. Un sujet vraiment dur.

Que dire de "sous influence"..

Pour commencer, comme son nom l'indique, nous traitons ici de l influence des choses ou des gens sur nous.

Plus précisément dans ce cas, la drogue et l'amour..

Deux personnages, deux dépendances bien distinctes et pourtant aussi difficile a vaincre l une que l'autre.

L'histoire relate le combat interieur envers soi, lorsque l'on est sous l influence de drogue sans être encore capable de réfléchir par nous même de manière sensée. Les mots sont clairs, abrupts, sans tabous. Les choses sont ce qu'elles sont et sont racontees sans detour. Rien n'est édulcoré ! La drogue dans ses plus muvis fonds et ce qu elle fait faire.

Je vrois que c'est justement ce côté si sincère, si vrai qui m'a plu dans ce livre.

Vivre cette décente aux enfers a travers le personnage tout en ayant l'impression d etre dans la meme piece que lui.

De l'autre côté une autre sorte de dependance... L'amour.. Quand on aime quelqu un qui nous gait du al sans pouvoir s en défaire..

J'ai été déçue d'apprendre que le second tome n existe pas en français et je ne sais pas si j arriverai à le lire en VO..

PAR AILLEURS Spoiler(cliquez pour révéler) j'ai eu du mal a comprendre aibrey au départ lorsqu elle a commencé a se rapprocher de tout ce qu elle deteste.. Avec son passif elle n aurait normalement même pas du être attirée par tout cela..

Et puis cette fin...

Maxx s enlise dans les tréfonds de la drogue jusqu a presque mourir ce qui d'ailleurs était prévisible !! Il déçoit tout le monde etc.. Ce qui eyait deja le cas avant.... Mais là.. hop.. Un "je t'aime" de la part d aubrey et tout s arrange.. Enfin façon de parler biensur.. Elle qui ' etait pas capable de lui dire jusqu a maintenant le dit finalement au moment où elle le quitte.. Même si je comprends l'intention, cela m'a semblait un peu bizzare.. Bref..

Une bonne lecture qui tient en haleine. L envie d en savoir plus. Une sincérité sans faille.

Foncez !

C'est un frôlement de coup de coeur ! J'ai ri aux réactions de Corin et de Beckett. J'ai failli pleurer avec eux! Ce livre m'a fait passé par un yoyo d'émotions en l'espace d'une soirée! La plume de l'auteure est juste superbe, on ressent une certaine fragilité car le sujet abordé n'est pas un sujet facile mais elle a su l'aborder d'une telle manière que ça se lit tout seul ! Je recommande cette petite pépite qui mérite d'être lue !

un peu long a des moments mais tres addictif on découvre bien toutes les facettes de Maxx

Une histoire sympathique, dommage que le tome 2 n'est pas était traduit. J'aurais aimé finir cette histoire correctement.

J’ai passé un très bon moment avec cette lecture complètement addictive, j’ai hâte de lire le deux (mais je crois que je vais devoir le lire en anglais).

Ma note 16,5/20

sans plus pour moi je n'ai pas réussi à accrocher au personnage féminin ce qui rend difficile la lecture une fin qui se précipite en 2 chapitres c'est fini par rapport au nombre des autres chapitres cela surprend.

Si je me suis intéressée à ce roman, c’est principalement pour son synopsis qui m’a percuté, et surtout pour lequel je me suis beaucoup identifiée. Sa couverture n’est pas non plus pour me déplaire puisque je l’ai également trouvée très jolie, et c’était également l’occasion de découvrir une nouvelle plume. Je me suis donc plongée entre ses pages et suis partie à la découverte d’un personnage complexe qui a su trouver écho en moi.

Nous partons à la rencontre de Corin, 25 ans, malade, mais elle ne sait pas de quelle maladie exactement. Ses examens médicaux sont tous bons, malgré les différents médecins qu’elle consulte. Pourtant, elle est sûre et certaine d’être malade. Il ne peut pas en être autrement, sinon, elle n’aurait pas toutes ces douleurs au niveau du cœur. A l’image de ses deux parents qu’elle a vu mourir à petit feu lorsqu’elle était adolescente, Corin est persuadée qu’elle mourra jeune. Son destin ne peut pas être autre que tragique. Très rapidement, j’ai compris que Corin est un personnage qui a énormément de mal à se sentir vivant. Elle en connaît tout un rayon sur les maladies, et ses psychoses sont génératrices de son mal-être. Si Corin apparaît comme un personnage très égocentrée, c’est surtout parce qu’elle n’a pas été épargnée par la vie et qu’elle n’a pas eu d’autre choix que de se relever toute seule puisqu’elle n’a jamais pu compter sur Tamsin, sa sœur aînée qui s’est révélée être absente presque toute son adolescence. Elle se sent mieux lorsqu’on s’intéresse à elle et à sa santé car malgré tout, c’est un personnage qui mérite le soutien qu’elle n’a jamais eu auparavant. On fait donc le choix de s’y attacher ou non. Personnellement, j’ai apprécié son personnage et la complexité de sa psychologie. Elle est imparfaite, elle a des défauts. Son état de santé occupe une place très importante dans sa vie. Mais il ne faut pas se fier uniquement à la surface. Ce qu’il y a en dessous de sa couche de mal-être n’en est pas moins beau.

Au fil des pages, je me suis quand même rendue compte que si je lisais ce roman, c’était surtout pour un tout autre personnage : celui de Beckett, qui a eu ma préférence. Notre love interest a subi un arrêt cardiaque qui l’a laissé pour mort pendant 3 minutes. Aujourd’hui, il est contraint de vivre avec un DAI au niveau du cœur pour palier à tout risque de nouvel infarctus. Beckett est l’archétype de l’homme parfait. C’est un homme au grand cœur, malgré les défaillances du sien. Mourir a remis en question toute sa vie : il n’a plus le droit de faire du sport, son couple avec Sierra n’y a pas survécu, il doit supporter les regards inquiets de ses parents… Pourtant, malgré tout ça, on découvre un homme qui a la force et la volonté d’avancer, de ne pas penser que demain tout peut s’arrêter d’une seconde à l’autre. Et il décèle chez Corin une mélancolie qui ne le laisse absolument pas indifférent. Même si elle ne se laisse pas facilement approcher, Beckett n’est pas quelqu’un qui baisse facilement les bras. Il se montre doux et patient. Il prend le temps de l’apprivoiser et de découvrir qui elle est.

Leur destin se retrouve assez vite lié, et ensemble, ils se lancent dans une relation qui a une date de fin plus ou moins proche. Personnellement, j’ai été très touchée par leur rapprochement et l’amour qui en a découlé. J’ai aussi versé quelques larmes vers la fin parce que je ne peux pas rester insensible face à une histoire pareille. Qu’on apprécie ou non le personnage de Corin, il faut passer au-dessus de ça et se laisser aller au souffle de vie que Beckett lui transmet, et à la façon dont elle entame, elle aussi, son chemin vers la guérison. Car même si Corin n’est pas malade « physiquement », psychiquement, elle possède des traumatismes qui lui gâchent la vie et qui méritent, eux aussi, d’être soignés. Au fil du temps qu’elle passe avec Beckett, on assiste à une métamorphose. La petite chenille cachée dans sa chrysalide se transforme en papillon qui déploie ses ailes pour enfin s’envoler. J’ai bien aimé la façon dont l’autrice s’y prend pour nous transmettre tout ça.

Butterfly dreams est une histoire douce qui aborde le thème de la reconstruction de soi après un ou des événements tragiques. Pour certains, le chemin peut être long, et pour d’autres extrêmement longs. Je n’ai pas été surprise plus que ça par les rebondissements majeurs de l’intrigue, mais je pense que ce n’était pas le but recherché par l’autrice. J’ai passé un bon moment lecture en compagnie de ce livre, car malgré la thématique, je l’ai trouvé léger et sans prise de tête. Il suffit simplement de se laisser porter pour que la magie opère.