Adam Kubert

Hickman à la tête de l'entreprise Avengers, c'est la garantie d'une trame complexe, riche en sous-texte et en références culturelles, mais le risque de perdre les personnages dans un récit trop brumeux et ambitieux. Ici, il semble que l'auteur ait réussi (peut-être sous la pression éditoriale) à circonvenir ses envies de partir dans tous les sens, tout en conservant son style propre. Ce qui s'avère être une introduction nécessaire à l'event Infinity dévoile des histoires très denses, riches en affrontements dévastateurs, en décisions cruciales et en plans de la dernière chance. “Avengers” devient bien davantage qu'un groupe de super-héros terrestre : une idée, qui parviendra peut-être à sauver l'univers.

Excellent comic qui nous permet de voir presque tous les super héros à l'oeuvre, mais qui comporte ces limitations car cette surabondance de héros empêche d'approfondir le récit et certains personnages, tels Hope et Cyclops. Le récit se décline en deux actes distinct qui sont un peu inégaux. Bien que la seconde partie se perde un peu dans des dédales, la fin est bonne et l'ensemble est agréable à lire.

Dans la vieille Europe aussi les tensions sont grandes entre humains et mutants. Comme quoi ce n'est pas l’apanage des USA.

Et qui manipule qui dans ce recueil et pourquoi ou pour qui ou quoi ? Je vous laisse découvrir...

Mais quel idiot que ce savant de Mc Coy. Lapsus révélateur et la confrérie des mauvais mutants reprend espoir pour reprendre le contrôle de Magneto l'un des mutants les plus puissants !!!

Fantastique ! Un merveilleux comic qui donne l'occasion à nos héros de régler un bonne fois pour toute leur différents.

C'est également le retour du Phénix, la force cosmique dévastatrice.

Qui aura raison sur la manière de le vaincre : Avengers ou X-men ?

J’ai énormément apprécié ce comics. Loin de l’univers habituel des films Marvel, on retrouve ici un Peter Parker bien plus âgé, le héros a gagné en maturité mais ne perd. Pas son humour et son caractère qui font tout le charme de ce personnage.

J’adore le Ghost Rider, pour moi c’est le personnage le plus cool des Marvel. Il allie le super-héros, un peu gentil mais pas trop et il a le look typique d’une légende urbaine moderne, le motard sans peur qui vient hanter les routes et laisse un sillon de flamme sur son passage. Jamais il n’a reçu une histoire suffisamment épique pour son rôle.

Malheureusement, ce n’est pas le bonus qui sauve la mise, une fois de plus ce n’est que le début du Ghost Rider et non pas une histoire originale. L’album n’a que des scénarios des années 90 digne d’un nanar, en gros c’est PSidey qui tape des méchants et commes les méchants ne sont vraiment pas sympas, ben il se tapent dessus aussi. Ca ne casse pas 8 pattes à une araignée et ça n’a même pas l’humour d’un navet.

Mauvaise conclusion pour cette série.

Un album regroupant des épisodes charnière dans l'évolution de Hulk/Banner, laquelle allait suivre ensuite des voies différentes de celles imaginées par le grand Peter David, lequel claquait la porte des studios suite à plusieurs désaccords. Banner finit par régler ses problèmes et trouver un équilibre avec son alter-ego, même s'il s'en veut encore de sa culpabilité dans la grave blessure de Rick (qui l'a rendu tétraplégique). Il retrouve sa bien-aimée qui avoue dans un texte manuscrit qu'elle n'espérait rien d'autre que mener une vie tranquille de mère et d'épouse aux côtés de son si particulier compagnon. Le ciel se dégage enfin pour nos tourtereaux dont la liaison a connu les pires incidents de parcours, mais dont on savait qu'elle finirait par vaincre l'adversité (rappelez-vous dans le run "Point Zéro", le Hulk - gris alors - finit par admettre combien Betty compte également pour lui). Et c'est là que notre grand scénariste libère l'épée de Damoclès, rédige l'impensable, raconte l'effroyable : Betty Banner se réveille soudain en proie à une violente réaction cutanée vraisemblablement due aux radiations. Les analyses sont formelles, le pronostic fatal : le général Ross et Banner assistent, impuissants, à l'agonie de la personne qui comptait le plus pour eux. A la colère explosive de l'un répond la froide prise de conscience de l'autre qui ne voit guère qu'une seule chose à faire dans cette existence qui l'a systématiquement privé de la moindre parcelle de bonheur : en finir avec la vie. Mais comment mourir lorsque votre alter-ego est mû par un farouche instinct de survie ?

Des histoires touchantes, parfois choquantes, une narration hantée et des dessins fluides au service de l'écrit, mais surtout un tournant décisif dans le destin du Titan vert.

Un excellent tome regroupant différentes histoires autour de Wolverine, nous permettant de voir l'évolution du personnage au cours des décennies.

Je regrette juste que certaine histoire se contente d'un chapitre ne nous permettant pas de l'apprécié pleinement.

Une lecture qui semble au premier abord difficile de partager l'enchevêtrement des intrigues mais qui au final se recoupe très bien.

Le style graphique qui change est agréable et la liberté dans l'utilisation de l'espace de la page rend le tout très dynamique !