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Adrien Mangold

Auteur

66 lecteurs

Activité et points forts

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.19/10
Nombre d'évaluations : 36

0 Citations 33 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Adrien Mangold

Sortie France/Français : 2022-11-01

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Bookosaurus 2022-07-20T13:32:11+02:00
Seconde humanité

Le concept de "livre dans le livre" avait piqué ma curiosité et avec les avis positifs autour, il fallait que je le lise.

Malheureusement, je suis passée à côté de cette lecture.

Même si j'étais prévenue que le contexte du roman était celui d'une pandémie dans un monde post-apo et si on a fait plus joyeux comme thématique, j'ai trouvé les symptômes de celle-ci assez hardcore, ce qui m'a rendu le début de ma lecture assez inconfortable, combiné à certaines petites choses qui ne me paraissaient pas très logiques, comme l'origine de la contamination.

Cependant un fois dans l'histoire j'étais quand même bien accrochée par l'intrigue et l'envie de savoir comment l'auteur allait mener sa barque, c'est là que le carnet entre en jeu.

L'idée était vraiment originale mais je ne me suis pas sentie investie dans ce récit là, d'autant plus que je n'ai pas bien compris quelles étaient les connexions et révélations pour lutter contre le virus.

Le fait que je me mélange les pinceaux entre les personnages et la temporalité n'a pas aidé non plus, j'ai eu du mal à distinguer qui appartenait à telle ou telle faction avec le chassé croisé lancé dès le départ, et le contexte qui est resté assez flou.

Au final je n'ai pas saisi les tenants et les aboutissants de cette "histoire dans l'histoire", pour répondre à la pandémie.

En fait mon ressenti est qu'il y avait plein de bonnes choses, plein de pistes hyper intéressantes, mais j'ai eu l'impression que ces dernières étaient laissées de côté ou trop vite survolée, en même temps chaque partie fait tout juste 200 pages, pas évident de donner du corps à une fresque humaine avec en sous marin une trame aussi dense.

En Bref: Une histoire originale, divertissante, avec de l'action, mais qui m'a donné l'impression de me trouver devant la face émergée d'un iceberg, tout en me laissant de glace quant au destin de ses personnages et de l'humanité.

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Commentaire ajouté par AureRaineke 2022-08-18T14:37:47+02:00
Prototypes

Note : Prototypes se situent chronologiquement après Seconde Humanité. Cependant, les deux peuvent se lire indépendamment sans problème.

« Ni d’acier ni de chair »

Alors que Thomas Milas donne son cours, proxY fait irruption dans l’amphithéâtre et le somme d’évacuer ses élèves avant de l’assommer. À son réveil, il est entouré par trois cadavres et les enquêteurs dépêchés par les Autorités de Numéris (AN). Embrigadé malgré lui dans une lutte entre l’État et la secte des Érudits, il devra choisir son camp.

Le roman repose sur le questionnement de la relation androïde — humain. Dès les premières pages, on apprend que l’AN veut voter la loi QI afin d’empêcher les lois d’Asimov d’être brisées par les robots eux-mêmes.

« Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger ;

Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la première loi ;

Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi. »

Source : Wikipédia.

Cette loi vise à empêcher le développement de l’intelligence artificielle. Elle doit rester strictement inférieure à celle de son inventeur. Or, proxY programmée pour être la sœur de Thomas surpasse largement son QI. Les liens qui les unissent pourraient être la clé d’un monde où la hiérarchie esclavagiste n’existerait plus, mais à quel prix ? Peut-on réellement vivre en harmonie sans asservir l’autre ?

« Le remède à la discrimination n’est pas le favoritisme, mais l’indifférence ».

Thomas prêche pour la liberté des androïdes. Pour lui, les citoyens de Numéris reproduisent les erreurs du passé comme au temps de la traite des noirs où les gens de couleurs n’étaient pas considérés comme des hommes, mais comme des créatures sans âmes. Le parallèle est intéressant et aide à comprendre cette transposition dans ce futur fictionnel en questionnant la pyramide terrestre au sommet de laquelle l’humain (surtout blanc) domine pour des raisons d’intelligence définie par lui seul. Bien que notre protagoniste soit pétri d’idéaux, il reste quelqu’un de prudent. Il conçoit l’évolution par l’expérimentation en vase clos et non dans les avenues de la mégalopole, Numéris. On comprend son désarroi lorsqu’il est propulsé dans le combat qui se joue depuis des années pendant la première partie du roman.

Le second épisode prend la voix du père de Thomas : Franck. Haut gradé de l’AN, son destin à la tête de l’État est compromis par son propre fils. Je ne vais pas détailler les événements de cette deuxième partie qui contrebalance la première et met en scène un regard à la fois différent et identique. En effet, Franck et Thomas sont semblables malgré les apparences. De ce fait, la narration change peu entre les deux chapitres alors qu’elle est interne.

La plume de l’auteur ne s’efface pas derrière la personnalité de ces personnages, ce qui m’a un peu dérangée vu l’opposition entre le père et le fils explicitée au début. L’écriture d’Adrien Mangold est sans doute l’élément qui contribue le plus à l’originalité de ce titre tant elle est atypique et personnelle. Tour à tour poétique, philosophique, métaphorique, simple, elle déroute par moment, surtout quand le style fleuri et soutenu est utilisé dans les scènes d’action, ce qui m’a valu quelques relectures de paragraphes, car j’avais des difficultés à suivre le déroulement par moment. Malgré cela, j’ai adoré les tableaux vivants et visuels ainsi que l’originalité des noms des bâtiments à l’architecture époustouflante. Noms qui participent à la description de l’esprit de Numéris.

Si le style m’a impressionnée, je n’ai cependant pas adhéré à l’histoire que j’ai trouvée trop légère pour le sujet de base. Le principe repose sur l’attachement entre humain et androïde et ces impacts sur la société. Pourtant, je n’ai ressenti aucune empathie pour les personnages. En fait, les liens ont finalement peu d’importance et se retrouvent supplantés par les courses-poursuites et les fusillades. Je ne réfute pas l’horreur du passé des Érudits, de leur secret ou les relations qu’entretiennent Thomas et Franck avec leur robot respectif, mais je n’ai pas été touchée par ça.

En bref, Prototypes s’est révélé une lecture atypique. L’écriture sans pareil d’Adrien Mangold dépeint un monde futuriste qui questionne notre avenir en se basant sur le passé. Toutefois, la réalisation qui favorise le déroulement de l’action plutôt que l’interaction relationnelle, m’a laissée de marbre, d’autant plus que de nombreuses questions restent ouvertes, ce qui lui confère un classement dans la science-fiction philosophique.

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Journal intime d'un dieu omniscient

Découvres d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

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Journal intime d'un Dieu omniscient est pour moi un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) réservé à des lecteurs aguerris. En effet, malgré mon bagage en imaginaire, j'ai peiné pendant environ 100 pages (soit plus d'un quart du livre) avant de trouver mes repères. Un peu long, non ?

Une fois ce cap franchi cependant, j'ai grandement apprécié ma lecture. J'ai rarement rencontré d'univers aussi original, ni aussi développé. Adrien Mangold a réalisé un travail d'orfèvre qui, certes, complexifie son histoire mais dont on ne peut nier la richesse.

Seul bémol : le dénouement que j'ai trouvé trop abrupt, mais il s'agit là d'un ressenti tout à fait personnel.

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Commentaire ajouté par KM13 2023-02-28T21:49:45+01:00
Journal intime d'un dieu omniscient

Un univers extrêmement riche et très intéressant. Cependant, ça a été assez difficile d'entrer dans le livre, identifier les personnages, comprendre le fonctionnement de l'univers. Mais une fois que les bases sont assimilées, c'est un vrai plaisir de suivre les pérégrinations de tous les personnages, les débats d'Astria et Yshmael, et d'en découvrir davantage sur la planète.

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Journal intime d'un dieu omniscient

Ce livre est pour moi un OVNI littéraire et il est clair que l'auteur et l'éditeur ont pris des risques. Malheureusement je me suis perdue dans le livre et dans ce monde complètement neuf. Le Dieu Astria, du nom de la planète dont il est le dieu, dicte ses "mémoires" à Ysmahel, dont on apprendra peu à peu qui il est. Son but : se faire rencontrer des personnes qui habitent sa planète. Et c'est là que je me suis un peu perdue car l'auteur a inventé un nouveau monde peuplé d'Elémentaires, terre, eau, feu. On en saura davantage sur ceux qui peuplent l'Air ultérieurement. Ce qui m'a bloquée, ce sont les nombreux personnages et leurs spécificités. Il y a d'ailleurs des "encarts" où nous sont expliqués comment vivent les Elémentaires, leurs religions, leurs unions... avec des passages plein d'humour, souvent entre Astria et Ysmahel qui n'ont pas forcément la même conception des choses. Car il sera question d'écologie, de métaphysique, de religion, de révolution et, de là, nous allons faire un parallèle avec la Terre, car, oui, nous allons parler de notre chère vieille Terre. La fin permet de mieux comprendre le roman dans son entièreté et, même si ça n'a pas été une lecture toujours simple, il mérite le détour voire une seconde lecture lorsqu'on connaît la fin. Je laisse aux lecteurs le choix de s'aventurer ou non dans ce journal d'un Dieu.

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Journal intime d'un dieu omniscient

J'ai eu un mal incroyable à démarrer ce roman. La narration est assez étrange, et j'ai trouvé difficile de l'intégrer. Ce qui fait qu'au départ et pendant presque le tiers du livre, je n'ai strictement rien compris à l'univers et je n'ai rien réussit à me représenter. Passé la première partie, et environ la moitié de la deuxième (sur 4) c'est devenu plus facile et plus précis dans mon esprit. Petit à petit, on s'habitue à la narration, ce qui permet de mieux appréhender le monde dans lequel on se trouve. Au final, l'histoire se révèle sympa, mais ce problème de début est trop difficile à surmonter et entache complètement le ressenti sur la lecture. Ce qui fait que finalement, je n'ai pas du tout apprécié ce roman.

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Commentaire ajouté par Grome 2023-05-03T13:12:34+02:00
Prototypes

Un livre qui aurait pu me plaire, il y a un bon fond, mais le style... C'est compliqué de suivre l'histoire tant on se perd dans les formulations alambiqués. J'ai passé la dernière moitié du livre à ne comprendre que la moitié du récit, tout le temps sorti de l'histoire par la lourdeur de l'écriture. J'ai bien failli l'abandonner avant la fin.

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Journal intime d'un dieu omniscient

Quand je me suis rendue au Salon du Livre de Wallonie de Mons, j’ai eu l’excellente surprise qu’Adrien Mangold me reconnaisse. Cet homme a une mémoire de dingue sachant qu’on s’était rencontré en 2020 à Bruxelles. Ce salon draine tellement de monde, ça m’a impressionné, surtout que je suis du genre discret. Sa présence annoncée sur les réseaux de L’Homme sans nom pour la Foire du Livre de Bruxelles, j’ai sorti Journal intime d’un dieu omniscient de ma PAL.

Bienvenue sur Astria ! Le dieu éponyme endosse le rôle de guide touristique pour nous faire découvrir sa planète. Enfin, pas totalement, car c’est à travers les écrits de son bras droit, Ysmahel, que l’on explore ce monde où les créatures élémentaires évoluent.

Le début de ce roman est excellent. Le divinité y interpelle son conseiller pour retranscrire ses pensées. C’est vivant, comique, dynamique, plaisant dès la première page. On perçoit de suite la relation particulière entre ses deux êtres et une partie de leur caractère respectif.

L’univers bâti pour l’auteur, oups, Astria (sait-on jamais qu’il m’entendrait) est original. Il a réfléchi à tout, de la répartition de ses contrées à l’action du soleil, du jour et de la nuit. Les aspects de la planète (climat, rotation, reproduction) sont contrôlés avec l’œil du chef d’orchestre qui empêche la disharmonie, car la divinité craint de reproduire les erreurs de son homologue qui gérait la Terre. Une paranoïa qui enclenche des prises de décision parfois…radicales, malgré son amour pour ses enfants dont il adore suivre la vie.

C’est d’ailleurs sur l’observation de quelques âmes que la narration est basée. Des chapitres minuscules (rarement plus de 2 pages) alternés avec des explications de type encyclopédiques sur le monde ou des intermèdes entre Astria et Ysmahel. Les commentaires sur le world-building m’ont fait penser au travail des auteur.ices de fantasy, ce qui m’a fait sourire. Ces passages permettent de comprendre le fonctionnement de la planète et les relations entre les créatures élémentaires jusqu’à leur système de non-reproduction. En ce cas, l’approche d’Adrien Mangold est intéressante, car il nous propose un monde où le sexe n’est pas source de danger et d’insécurité pour la femme (je vais le dire clairement, hein !). Toutefois, il n’élimine pas la hiérarchie des sexes, il s’amuse à les inverser jusque dans leur conception et à jouer sur les valeurs qui nous sont connues.

Astria est un Reinaume dont la nouvelle couronne vient de monter sur le trône. Les clans sont régis sous le signe du matriarcat, où le foyer et l’éducation des marmots sont considérés comme nobles tandis que les hommes et le travail sont des tâches ingrates. Tout comme les Terriennes le ressentent encore aujourd’hui, les mâles d’Astria regrettent et dénoncent cette domination. Ils revendiquent le droit de participer à l’enseignement et à la paternité ! On voit le contraire également, via Exalée, une nibérienne qui veut devenir charpentière ! Elle incarne la femme qui ose exercer des métiers d’homme. Elle est considérée comme impure, car elle s’abaisse à ça !

Le journal est empli de petites thématiques qui jouent sur les combats et les problématiques de notre terre. Je vous laisse découvrir tout cela parmi les bâtisses religieuses de tissus, les montagnes qui ont la bougeotte et les sous-marins de croisière vivants. Comme dans Prototype, Adrien Mangold déploie une imagination gargantuesque. Il sculpte de décors époustouflants qui amuseraient plus d’un illustrateur ou graphiste de cinéma.

Le rythme et les choix scénaristiques en font un OLNI. On parcourt Astria tel un.e explorateur. ice avec l’impression de suivre un long fleuve tranquille connaissant quelques remous qui dissimulent des cascades vertigineuses. Dont une fin des plus…amusante, à l’image de l’introduction.

Un humour présent dans les joutes verbales entre Ysmahel et Astria. Le conseiller n’hésite pas à le reprendre, le contredire et à le confronter à ses choix, notamment quand il s’inspire un peu trop de la Terre. Il commente avec cynisme en note de bas de page, ses propos. J’ai adoré son personnage et pas seulement parce que j’aimerais avoir un scribe pareil qui écrirait mes pensées avant qu’elles ne s’échappent de mon cerveau à tout jamais.

La plume du romancier est toujours aussi incroyable. Les tournures, les expressions sont originales et fournies. Le vocabulaire inventé pour ce monde teinte le texte et nous dépayse. On a l’impression d’y être et de parler peu à peu astrian !

En bref, Journal intime d’un dieu omniscient est un livre extra-ordinaire. Adrien Mangold joue avec les codes du métier d’auteur.ice en fantasy et les problématiques sociétales actuelles pour construire un roman unique qui ne plaira clairement pas à tout le monde. Si vous tentez l’aventure, démunissez-vous des attentes liées au genre. Ce livre est un défi. Un pari réussi pour moi.

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Journal intime d'un dieu omniscient

Ce roman est très particulier.

A son début il est très exigeant avec son lecteur, un univers dont les règles son différentes du notre et une multitude de personnage difficile à suivre.

Mais si on s'accroche l'histoire est fascinante.

Petit bémol personnelle la fin m'a laissé sur ma faim... j'aurais aimé en savoir beaucoup plus sur les personnages et sur la suite de l'univers. Mais c'est là une question de goût.

Je recommande ce roman pour des lecteurs curieux et obstiné pour dépassé le début difficile du roman.

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Journal intime d'un dieu omniscient

Bienvenue sur la planète Astria !

Créée par le Dieux du même nom, ce dernier décide d'écrire un journal intime pour présenter son monde et ses habitants. Ysmahel, son bras droit humain est chargé de retranscrire toutes ses pensées sans exception. Mais Astria s'ennuie, il décide alors de se lancer un petit défi personnel : faire croiser les destins de Lanox, Golia, Elix et Gueriand en un même lieux, au même moment.

J'ai beaucoup aimé ce roman, et pourtant au début ce n'était pas gagné ! La première partie (soit environ 100 pages) a été assez difficile à lire, l'univers d'Adrien Mangold étant riche et complexe ; et les personnages étant nombreux. J'ai d'abord eu du mal à m'immerger dans l'histoire et à my retrouver avec toutes les informations fournies. Clairement, il faut s'accrocher mais une fois dedans, on se laisse transporter et c'est super addictif !

J'ai adoré suivre les péripéties de tout ses personnages et j'ai finit par m'attacher à chacun d'eux. L'humour est au rendez-vous, notamment les notes en bas de pages qui sont hilarantes. Il s'agit des réflexions d'Ysmahel, il est franc, limite insolent avec son Dieux, un vrai régal ! J'ai également adoré les petits traités intégrés au roman qui nous apportent des détails supplémentaires sur Astria et son fonctionnement.

En bref, une lecture originale, épique et drôle ! La plume de l'auteur m'a charmée, ainsi que son approche à la nature et aux éléments. Maintenant je compte bien découvrir ses autres romans qui ont l'air géniaux !

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