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Livres - Bibliographie

Agnès Fine


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Cette synthèse des faits démographiques français depuis la Première Guerre mondiale s'appuie sur des indicateurs simples et précis et les dernières publications de l' INED . Elle y ajoute une dimension historique des phénomènes démographiques contemporains.

Depuis son plus jeune âge, Daniel Cunningham a vécu enfermé, avec pour seule compagnie les livres et sa mère – qui l’a gardé reclus, à l’écart du monde extérieur, et qui n’a cessé de lui répéter qu’il était malade. Un jour, des coups frappés à la porte vont tout changer. Des voisins ont découvert son existence, et résolu de libérer Daniel de l’emprise de sa mère. Pris en charge par le Dr Marlow et sa famille, il va découvrir peu à peu que tout ce qu’il tenait pour vrai jusque-là n’était qu’un tissu d’histoires racontées pour le protéger. Mais le protéger de quoi ? De sa vie d’avant, Daniel n’a gardé qu’une maison de poupée. Et pas n’importe quelle maison de poupée : c’est la réplique exacte de la maison natale de sa mère, une maison qui recèle de nombreux et sombres secrets. Jusqu’à quels vertiges ces secrets conduiront-ils Daniel ?

Les débats publics mouvementés et les manifestations qui ont précédé en mai 2013 le vote en France de la loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe révèlent le trouble ressenti par une partie de la population face à ces changements familiaux. Les résistances tiennent surtout au fait que la loi devrait logiquement conduire à une légalisation de la procréation médicalement assistée pour ces couples. Ces changements législatifs seraient-ils la manifestation d’une véritable révolution dans notre système de parenté ?

Pour répondre à cette question, hors du champ des polémiques idéologiques et politiques, ce livre réunit les contributions d’anthropologues et de sociologues qui ont mené depuis plusieurs années des enquêtes sur les relations des gays et des lesbiennes avec les divers membres de leur famille d’origine ainsi qu’au sein des familles homoparentales qu’ils ont créées, cela en France, en Belgique, en Espagne, en Suisse, ainsi qu’aux États-Unis et au Brésil.

Le double objectif des auteurs est, d’une part, de contribuer à approfondir les débats à partir d’une analyse des situations concrètes de ces familles et, d’autre part, d’analyser en anthropologues de la parenté les effets de l’homosexualité sur les relations de parenté dans nos sociétés contemporaines.

Comment échapper à l’alternative entre étudier l’individu (universel mais asexué) ou les rapports hommes-femmes (sexués mais séparés) ? En apercevant que la distinction masculin/féminin n’est pas une simple différence : elle ne désigne aucune propriété substantielle, aucun attribut identitaire de l’individu. C’est pourquoi de plus en plus d’études en sciences sociales tiennent à définir le « genre » non pas comme un attribut des personnes, mais comme une modalité des relations. Les auteurs de ce livre ne se revendiquent pas d’une théorie commune. Mais tous questionnent les conceptions du genre trop dépendantes des représentations occidentales modernes. Il ne va pas de soi de considérer l’individu comme un être composé de deux entités, «un moi» et «un corps». En nous incitant à renouer avec les ambitions d’une véritable anthropologie comparative, ils montrent qu’étudier le genre c’est revenir aux fondamentaux de nos disciplines. Toujours et partout, ce qui est en jeu à travers le genre n’est jamais simplement ni «l’esprit», ni «le corps», mais cet être vivant capable d’agir et de pâtir à la manière des humains, dont chaque société construit sa propre représentation: la personne. Comment échapper à l’alternative entre étudier l’individu (universel mais asexué) ou les rapports hommes-femmes (sexués mais séparés) ? En apercevant que la distinction masculin/féminin n’est pas une simple différence : elle ne désigne aucune propriété substantielle, aucun attribut identitaire de l’individu. C’est pourquoi de plus en plus d’études en sciences sociales tiennent à définir le « genre » non pas comme un attribut des personnes, mais comme une modalité des relations. Les auteurs de ce livre ne se revendiquent pas d’une théorie commune. Mais tous questionnent les conceptions du genre trop dépendantes des représentations occidentales modernes. Il ne va pas de soi de considérer l’individu comme un être composé de deux entités, « un moi » et « un corps ». En nous incitant à renouer avec les ambitions d’une véritable anthropologie comparative, ils montrent qu’étudier le genre c’est revenir aux fondamentaux de nos disciplines. Toujours et partout, ce qui est en jeu à travers le genre n’est jamais simplement ni « l’esprit », ni « le corps », mais cet être vivant capable d’agir et de pâtir à la manière des humains, dont chaque société construit sa propre représentation : la personne.

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