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Tous les livres de Agnès Michaux

" Tobolsk-Ekaterinbourg, l'ultime voyage du dernier empereur de Russie et de sa famille vers leur destin fatal. Défilent devant nous les moments clefs d'une existence qui s'acheva dans une cave de l'Oural ; l'amour qui unissait Nicolas et Alexandra, leur intimité, leurs quatre filles et Alexeï, le tsarévitch hémophile qui pensait devenir le digne successeur de son père... " Je n'ai pas peur de la mort, mais j'ai si peur de ce qu'ils vont nous faire. " Un homme, un témoin a vécu ce voyage et le massacre de ces innocents. Il était leur garde, mais non leur assassin. Tout le reste de sa vie sera marquée parce qu'il a vécu sur cette sombre route. Un roman poignant et haletant jusqu'au dénouement. " Alexandre Bobrikoff Conservateur du Musée du régiment cosaque de la Garde impériale.

Passionnant, ultra référencé, drôle. Du rock et des films allumés, mes écrivains préférés (de Hugo à K. Dick en passant par Camus, Agatha Christie, Crews, Faulkner, etc.) et des articles passionnants. Une véritable bible. Vraiment, à lire ! A book to die for !!!

Quatrième de couverture :

«Ils se regardèrent. Ils se ressemblaient comme frère et soeur. Même blondeur, même regard bleu. Puis Scott baissa sa vitre et d'un coup, sortit les épaules du taxi et se mit à hurler. Ses cheveux d'or pâle volaient en tous sens. Zelda sourit et l'imita avec enthousiasme. Le chauffeur conduisait, imperturbable. Tout était dans la norme finalement, dans la norme de cet après-guerre bruyant et extravagant, même si l'homme qui tenait le volant ignorait que cette norme, c'étaient ces deux-là qui, tous les jours, l'inventaient.»

Zelda Sayre aima Francis Scott Fitzgerald à la folie. Ce roman est son histoire.

Berlin, 30 mars 1933. Un homme face à son destin.

Prendra-t-il la décision de renoncer à son pays, à sa langue, à ses amis, à sa carrière, à ses amours ? Mais, à Berlin, en 1933, peut-on ne pas se poser la question de l'exil ? Fuir pour vivre ? Si les choses étaient si claires... Il n'a qu'une journée pour passer de l'aveuglement ou de l'indifférence à la clairvoyance. Et quelques heures pour préparer son départ. Mais il n'est pas dit que la fuite se fasse toujours et uniquement pour de "bonnes raisons"...

De Babelsberg aux rues animées du centre de Berlin, du bureau de Goebbels à la dernière rencontre avec sa femme et scénariste Thea von Harbou, ce roman est l'histoire de la dernière journée en Allemagne d'un géant du cinéma, Fritz Lang.

Une journée particulière dont nous ne savons rien si ce n'est ce que le créateur de Mabuse et de Métropolis a bien voulu en dire pour entretenir sa légende personnelle.

Accompagné de reproductions de carnets intimes et de confessions inédites de N. Sirkis, cet ouvrage réunit et commente l'intégrale des textes des chansons d'Indochine, et raconte l'histoire de ce groupe culte qui fête ses trente ans.

Schönbrunn, Mayerling, les valses de Strauss, la légende de Sissi s'est toujours racontée entre fêtes et drames, de la Bavière de son enfance heureuse aux rigueurs et aux fastes de la cour impériale. Mais la vraie vie de Sissi était ailleurs. Loin de la joyeuse apocalypse viennoise, du crépuscule d'un fragile Empire austro-hongrois qui s'accrochait à son passé. Car, à la manière d'un personnage de tragédie, Sissi chercha toute sa vie à échapper à un destin dont elle ne voulait pas.Avec ce roman d'Elisabeth d'Autriche, Agnès Michaux a su retrouver la vraie Sissi en dessinant l'autoportrait émouvant et intime, souvent cruel et drôle, d'une femme trop libre dans un monde qui ne l'était pas encore.

Présentation de l'éditeur (Autrement) :

Bonheur

Sourires

Bienheureux

Éclat de rire

Philtre d'amour Voeux

Plaisirs

Mmm...

Béatitude

Vie en rose septième ciel

Étoile filante

Félicité

Oooh...

Porte-bonheur

Playlist euphorique

Éden

À savourer dans l'ordre ou dans le désordre, à consulter, à méditer, à partager : plus de 300 histoires, recettes, expériences et citations pour atteindre le nirvâna !

Frère Bartolomeo est un homme de foi, au coeur du XIVe siècle. Devenu responsable du monastère bénédictin du Trastevere à Rome après une épidémie de peste dévastatrice, sa soif d’idéal va le conduire à l’irréparable. La peste fait des ravages. Partout la mort noire frappe, laissant quantité de cadavres sur son passage. Même dans la communauté religieuse « le Mal s’immisçait. Dans la ville et dans le cœur des hommes. Dans les corps moribonds et hideux des pestiférés ». Persuadé qu’il faut lancer un message fort à toute la population, il va imaginer un stratagème pour frapper les esprits. Découvrant les catacombes abandonnées, premier cimetière des Chrétiens, il entraînera ses moines dans une falsification historique de grande ampleur. Il va confectionner de toute pièce une nouvelle relique, le suaire du Christ. Pour ce faire il va procéder à la crucifixion d’un innocent, son fils Gentile, jeune muet qu’il est allé chercher à Venise. Ce roman assez mystique vous entraînera dans les dédales du fanatisme. Bartolomeo, rendu totalement aveugle par son but, ne verra pas sa déchéance morale, ni l’amour qui unit Gentile à une religieuse, Arcangela.

« Il était tard quand Sandro traversa la place de la Seigneurie. Ne restaient plus, ça et là, que quelques égarés, comme lui, sur le chemin de leur foyer. Du supplice ne subsistait pas la moindre trace. Ni sur la place ni sur les visages qu'il y croisa. À peine une odeur de fumée qui planait dans l'air et que finissait d'emporter le vent d'ouest. Il entendit rire et bavarder. Ce soir, les maris tâteraient les seins et les culs de leurs épouses, demain, celles-ci iraient palper des tomates et des melons au marché. Les spectateurs de révolutions devenaient-ils immanquablement insensibles ? Où n'était-ce que le flot puissant de la vie ? »

Florence, 1497 – Bûcher des vanités. Ce matin, des bandes d'enfants ont terrorisé la rue pour confisquer tous les objets incarnant la richesse ou le plaisir. Savonarole peut compter sur son " armée des anges ". Le feu qui consumera tout à l'heure le paganisme et l'impiété sera son triomphe. Songeur, Sandro Botticelli observe l'une de ses plus belles œuvres se faire dévorer par les flammes, quand une main se pose sur son épaule. Léonard de Vinci, son vieil ami, son plus grand ami est revenu en terre florentine ! Mais l'artiste apporte une triste nouvelle : sa mère, Caterina, est morte, lui laissant pour tout héritage une étrange lettre indéchiffrable... Alors entraînés dans une incroyable odyssée, Sandro et Léonard se lancent à la recherche d'un manuscrit aussi puissant que dangereux. Un manuscrit qui, encore de nos jours, hante scientifiques et curieux : le Voynich. Avec Codex Botticelli, Agnès Michaux lui offre une histoire et plonge le lecteur dans les secrets de la fin d'une époque, le Quattrocento. Tandis qu'on observe Botticelli converser avec Michel-Ange, Machiavel, Raphaël ou Copernic, on se délecte de ce temps exalté et inspiré qui s'offre à nous, dans la plus belle des langues, et dont on souhaiterait demeurer prisonniers.

Roman de la vie contemporaine, Journée exceptionnelle du déclin de Samuel Cramer est aussi, et peut-être surtout, un roman d'amour, amour des femmes, de la poésie, de la vie dont il faut toujours être ivre.

Un roman d'amour fou.

Lui, c'est Samuel Cramer, l'Amiral, l'homme des grands voyages horizontaux et verticaux, l'écrivain qui aime quand « ça a de la gueule », l'observateur de son époque, de sa ville et de ses contemporains, l'homme difficile et attachant.

Elles, ce sont ses femmes, celles qu'il aime, celles qu'il déteste, celles dont il rêve et qui n'existent pas.

Eux, ce sont ses amis, ses voisins, ses poisons, Michel Houellebecq, Sibelius, Rimbaud, Duras, Melville, Hölderlin, l'alcool, l'ennui, l'espoir et le désespoir, la provocation, la honte, l'ironie, le bavardage et tout ce qu'il ne saura jamais dire.

Ce matin-là, Samuel Cramer commence une journée qu'il espère exceptionnelle. Ce soir, il est invité à la remise d'un célèbre prix littéraire. Il est sur la liste et ne peut s'empêcher d'y croire. Mais la surprise du petit déjeuner, c'est que sa femme, son amour, sa muse, le quitte. Commence alors une drôle de journée catastrophique...

Il y a du Baudelaire dans ce Samuel Cramer (qui porte le nom du héros de La Fanfarlo du même Charles) et, dans cette journée « exceptionnelle », comme un parfum de Fleurs du mal.

(Source : Belfond)

Pour Marisa et Paul Dumézil, le passé est irrémédiable, le présent difficile, quant au futur... Il se présente à eux le jour où l'homme qui avait été condamné pour le meurtre de leur mère Éva sort de prison.

Tandis que l'ancienne tragédie remonte à la surface, les enfants d'Éva se demandent ce qu'ils sont devenus. Et que vont-ils devenir à présent que l'assassin de leur mère a recouvré la liberté ? Paul semble prêt à passer à l'acte. Marisa préfère basculer dans une douce folie.

Dans cette histoire, il y a un frère et une soeur, de l'amour, des fantômes, un détective privé, la France, l'Indochine, l'Éthiopie, la chaleur et la pluie, le Nil, Djibouti, l'aventure. Et dans cette aventure, où le crime et la vengeance forment un couple éternel, il y a les enfants d'Éva et nous tous, qui voulons mener notre vie, malgré le « système » et ses défaillances

On ne se moque bien que de ce que l'on aime : en 1200 citations, d' abaissement à zéro en passant par bobonne, Agnès Michaux nous résume, dans ce dictionnaire aussi drôle qu'érudit, trois mille ans de bêtise masculine. Enfin presque toujours masculine... On sera surpris de rencontrer aussi; dans ces pages, la marquise de Sévigné, Mme de Staël ou Simone de Beauvoir...

Paris, 1899. La bicyclette est reine, l’automobile fascine autant qu’elle incommode, le cinématographe enthousiasme, l’Action française s'invente au Café de Flore et Jules Guérin se barricade au fort Chabrol. Les tensions s’exacerbent, les haines fermentent, la colonisation s’infecte, la République vacille. Quant aux chiens, on les prépare à la guerre.

Dans ce Paris sur l’avant-dernière marche du XIXe siècle, accablé par la canicule, défiguré par les préparatifs de l’Exposition universelle, angoissé par la peste et déchiré par le procès Dreyfus, Louis Daumale, désormais photographe, tire le portrait de ses contemporains.

Histoire et humour noir encore pour ce deuxième volet de la trilogie des aventures de Louis Daumale au pays des chiens et de la République française. Dix ans après, nous le retrouvons, toujours flanqué de son fidèle Mégot, dans le Paris de la Belle Époque, avec ses journalistes, ses artistes, ses femmes plus ou moins légères, ses féministes, ses végétariens, ses anarchistes, ouvriers ou gens de la haute, ses Debussy, Clemenceau, Méliès, Montesquiou, Calmette, Maurras, Huysmans, Proust, Céline, cherchant, à travers le destin des chiens, à lire le destin des hommes. Une aventure littéraire qui fait du passé notre avenir.

Une histoire de chiens, une histoire française.

« Un petit chien noir taché de fauve, au museau exagérément court et écrasé, si écrasé qu’il semblait faire pression sur l’orbite de ses yeux ronds au point de les éjecter, furetait entre les ourlets précieux, attendrissant et ridicule.

Dans le cliquetis des verres, le choc des talons sur le marbre de la salle de bal, dans les notes épuisées de l’orchestre qui cisaillait en rythme depuis des heures entre les exclamations et les rires, cette étrange créature sembla soudain l’axe impérieux décrétant les orbites, l’astre autour duquel ce monde effectuait sa révolution sans s’en apercevoir.

— Tout est là, reprit l’inconnu. Tout est dans la perfection de ce singulier animal. L’espoir d’un monde absolument nouveau. Absolument moderne. »

Paris, 1889. Au crépuscule de l’Exposition universelle, Louis Daumale, jeune apprenti journaliste au Figaro, part à la rencontre de son époque. Mais, très vite, une question l’obsède : d’où viennent ces nouveaux chiens que l’on voit aux bras des Parisiennes ? Dans un Paris célébrant les prodiges de la science comme de l’occultisme, Louis Daumale suit la piste de ces chiens fin de siècle et découvre, derrière la joyeuse célébration du progrès, l’esquisse d’un avenir inquiétant, pour les chiens comme pour les hommes

Le dernier volet de la trilogie La Fabrication des chiens, les aventures de Louis Daumale, témoin d’une époque foisonnante où les chiens deviennent arme de guerre.

1909, c’est là que je vous emmène. Ne vous y trompez pas, ceci n’est pas un livre. C’est la vie qui va, qui caracole, en joyeuse et féconde comédie. 1909. Le monde basculait et quelque chose de l’homme se perdait, dans la vitesse, l’excitation, l’irrationnel. Un monde où je n’en finissais pas de découvrir que ce que l’on faisait aux chiens annonçait ce qui arriverait aux hommes.

Dans ce roman-fresque au cœur de Paris se côtoient gaiement Apollinaire, Picasso, Satie, Proust et bien d’autres personnages attachants. Un feuilleton émouvant et plein d’humour qui ravive un passé étonnamment familier dans ses enthousiasmes et ses inquiétudes, si proche des préoccupations de notre époque.

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