Commentaires sur ses livres

Je n'ai pas aimé cette lecture. Je n'ai pas accroché au style de l'auteur, ni aux personnages. J'ai peiné à finir le livre.
Le seul élément que j'ai apprécié c'est le contexte de l'histoire. C'est original et intéressant.
Malheureusement, je ne recommande pas ce livre.

"L'amour a son instinct, il sait trouver le chemin du cœur"

Jace, acteur, mannequin prisé à Hollywood et des femmes part faire sa convalescence à Eureka après avoir été agressé et temporairement perdu la vue.
Leya ne supportant plus sa vie en France

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suite à la perte tragique de ses enfants s'envole elle aussi pour Eureka, là bas elle vit de sa passion au Mamal Rescue Center et continue la photographie.
Habitant à quelques mètres l'un de l'autre, lui entend son désespoir chaque nuit et elle est intriguée par cet homme mystérieux.

On assiste à une première rencontre poétique, ils se devinent l'un l'autre, leurs cœurs se mettent en branle.
En osmose totale, leur goût, leur croyance, leur rituel, leur alchimie sexuelle, ils découvrent en l'autre le reflet de leur âme.

Venez découvrir Leya, ce petit bout de femme meurtrie, fraîche et spontanée et Jace ce bel apollon possessif mais attentif.

Vous finirez ce livre le cœur au bord des lèvres, une séparation déchirante et un être entre la vie et la mort...

Je suis un peu étonnée par toutes les éloges faites à propos de ces deux ouvrages.
On y trouve beaucoup de répétitions et un nombre incalculable de scènes de sexe décrites sans détours avec des mots crus qui me semblent inappropriées, n'apportant selon moi aucun intérêt au récit.
Quant aux personnages, je les trouve immatures, irresponsables et capricieux.

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J'ai été choquée par le peu d'importance accordée par l'héroïne au bébé qu'elle porte et qu'elle perd par imprudence ; quelle idée d'approcher des requins quand on est enceinte et qu'on a déjà perdu deux enfants ! Elle semble d'ailleurs s'en accommoder.

Pour plusieurs raisons, je me suis immédiatement prise d'affection, autant pour les personnages, la plume de l'auteure, que pour les valeurs qu'elle y véhicule dans ce premier volet.
Je ne suis pas une personne superficielle dans la vie et lorsqu'une histoire n'est pas axée sur les biens matériels d'autrui, c'est déjà toujours un plus pour moi en partant. J'ai bien aimé fifty shades, mais j'ai donné!
Alors voilà, Leya doit se reconstruire après la perte de ses enfants. Elle abandonne tout et part vivre aux États-Unis pour recommencer à vivre, pour se retrouver elle et ce bonheur qu'elle a perdu, même si rien ne peut effacer sa perte. Pas la peine de vous dire que la maman en moi a immédiatement été touchée par son histoire.
De l'autre côté, on rencontre Jace, acteur plutôt imbu de sa personne, séduisant et pourtant malheureux dans tout ce monde superflu dans lequel il vit. Pourtant, malgré son tempérament un peu prompt et caractériel, on s'y attache rapidement. Le talent de l'auteure, sans doute, mais ça a bien fonctionné pour moi. Et ce, même s'il appelle la fille bébé, moi qui normalement n'endure pas ce genre de réplique. Je sais pas, chez lui, c'était adorable.
Et même si les deux protagonistes proviennent de mondes totalement différents, leurs âmes semblent liées par l'invisible, par cette force qu'on nomme destin.
La romantique en moi a vraiment apprécié.
Et avec une finale telle que celle que l'auteure nous balance à la fin du tome 1, impossible de ne pas entamer le second immédiatement après avoir fermé la dernière page. À moins d'avoir un fort trouble intellectuel. Oui, je juge celles qui ne se lancent pas rapido presto sur la suite. Alors sur ce, j'arrête de vous en parler et je débute le tome 2 avant d'agoniser.

Vous le savez maintenant, j’apprécie cette maison d’édition, et quand l’annonce a été faite de ce projet un peu fou que les auteurs ont réalisé, 17 plumes pour un même roman, je ne pouvais que me plonger dedans à sa sortie.

Une île de Charente Maritime, une convention de Héros de romance, et une disparition.
L’inspecteur Capello, tout fraîchement débarqué du continent, va devoir démêler le vrai du faux, apprendre à lire entre les lignes, et ne pas se laisser déconcentrer par cette jolie sirène afin de retrouver l’éditrice disparue.

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je n’ai pas été déçue. Les chapitres s’imbriquent avec une facilité, on ne peut que saluer le travail qui est fait.
J’ai aimé retrouver les black boys que je connais mais aussi en découvrir d’autres qui sont venus compléter ma wish list.
L’humour est au rendez-vous, les références musicales et cinématographiques apportent une touche de folie supplémentaire. L’écriture multiple est très addictive.

Ici, chaque personnage a sa place et nous raconte sa version, et franchement je ne sais pas comment a fait l’inspecteur Capello pour ne pas remonter dans le bateau ou même partir à la nage.
J’ai aussi apprécié les interludes qui nous mettent un peu sur la piste. La narration à 18 voix est très fluide, comme si les auteurs avaient fait cela en discutant autour d’un café, en fait non, sûrement quelque chose de plus fort pour en arriver à ces idées rocambolesques.

Que vous connaissiez tous les personnages, une partie comme moi, ou bien aucun, vous ne serez pas perdu, ce livre a une identité propre. J’ai découvert des personnages qui m’ont donné envie d’en apprendre plus sur eux, notamment Alex suite à sa participation aux olympiades une peu spéciales, mais aussi Bradley, Grégoire et Jace. D’autres m’ont fait un autre effet comme Leith mais surtout Madsen, je n’ai pas lu son histoire mais je ne peux plus boire de thé sans penser à lui ( merci les infos de la lecture commune ? )
J’ai trouvé cela vraiment sympa que les personnages féminins soient de vraies personnes, et de les imaginer avec ces mots dans leurs bouches était une vraie rigolade.
Mais le véritable héros de ce roman, c’est l’inspecteur Capello, je ne peux pas vous en parler de trop, cela gâcherait votre plaisir, mais sachez qu’il y a des sondages et des tractations pour qu’il ait lui aussi son propre roman!

Si vous avez envie d’une bonne intrigue, avec des beaux mecs, envie de rire, de chanter, de pleurer ( un peu) et d’avoir des étoiles dans les yeux en refermant ce livre, alors foncez!

Dès que j'ai vu la couverture et le titre de ce roman, j'ai eu envie de le découvrir. Il y avait déjà une bonne dose de mystère ainsi que du suspense. J'avais hâte de le commencer ! Je ne regrette absolument pas de l'avoir lu, car j'ai adoré.
Je dois dire qu'avant de débuter ma lecture, je m'inquiétais un peu, car je n'ai pas lu tous les livres des auteures qui ont participé à cet ouvrage et j'avais peur de ne pas réussir à suivre ou à situer les personnages, mais au final, j'ai été dans mon élément. Je ne me suis pas sentie dépaysée une seule seconde.
Dans cette histoire, nous allons débarquer sur l'île d'Aix et nous allons faire la connaissance avec le lieutenant Capello, « un flic qui ne sort jamais sans son costume de circonstance ».
Alors que dix-sept des personnages masculins et une partie de l'équipe de la maison d'édition Black Ink se retrouvent sur une île pour une convention, la cheffe, Sarah Berziou disparaît.
Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Qui est le coupable ?
Cette disparition soudaine s'avère très « étrange » et promet bien des mystères.
Mademoiselle Diboux, la nounou va faire alors appel au lieutenant Capello pour mener l'enquête sur la disparition de Madame Sarah Berziou.
Alors qu'il débarque dans ce camp de vacances, le lieutenant Capello ne va pas être au bout de ses surprises.
Extrait : N'importe quelle nana qualifierait ces gars-là de BG, voire d'échelon 5.
Je peux vous dire que j'ai vraiment adoré ce personnage. Capello est sexy, ténébreux, mystérieux, touchant... Bref, il a tout pour plaire.
Comment ne pas succomber à cette aura qu'il dégage ?
Tout au long de son enquête, on va découvrir différentes facettes de ce personnage. J'ai aimé chacune d'elles. J'ai été à ses côtés et je suivais de près ses interrogatoires. Moi aussi, j'avais très envie de découvrir « la vérité ».
Pendant les interrogatoires, j'ai pu découvrir des personnages que je ne connaissais pas comme : Nils Fanderson, Raphaël VanPelt ou encore Jefferson Madsen. J'ai pu aussi retrouver quelques-uns que je connaissais déjà comme : Terence Cesare, Léo Montgomery et Antonio Cruz.
Le lieutenant Capello, arrivera-t-il à résoudre l'énigme ?
Pour Capello, cette enquête va être complètement différente des autres. Cette fois-ci, plus rien ne sera comme avant.
Être sur cette île avec tous ces « Black Boys », c'était comme se retrouver devant plusieurs parfums de glace, on a l'embarras du choix, mais on ne sait pas lequel choisir. Je peux vous dire qu'ils donnaient tous envie.
En tout cas dans cette histoire malgré les « différentes personnalités », il ressort une vraie cohésion de groupe, une réelle entité, une vraie famille.
Franchement, c'était très prenant ! Tout était très bien imbriqué comme si cette histoire avait été écrite part une seule et même personne. Une vraie cohésion !
Ici, les auteures nous ont offert un roman hors du commun, avec de l'humour, du répondant, des phrases épiques, des personnages plein de testostérones. Juste un condensé parfait !
Cette histoire est menée d'une main de maître du début à la fin. La tension est à son comble, le suspense est au rendez-vous, les coups de sang sont présents, le mystère est entier et les sentiments sont plus que palpables.
C'est vraiment un roman intense, avec beaucoup d'émotions, une intrigue palpitante qui nous tient en haleine, des rebondissements et surtout avec des personnages qui sont très attachants.
En lisant cette histoire, j'ai passé un très bon moment de lecture. J'ai été conquise !
Je vous recommande vivement ce roman !

J’ai eu un souci avec ce livre dont on m’avait pourtant vanté les mérites.
Première chose, à moins d’avoir lu les 17 livres des 17 auteurs, difficile de replacer les héros, même si c’est la cas pour pas mal d’entre eux, le fait de les mélanger, rend difficile l’identification. Trop de références tuent.
Quant à l’enquête elle même, je reste dubitative, j’ai jeté l'éponge à 50% du livre, pas l'ombre d’un indice, on est loind’Agatha Christie, même si je pressent l’identité de l’auteur de l’interlude...
Dommage, l’idée était pourtant intéressante.

Non mais whattt the fuck!!! Sérieux vous les avez sorti d'où les idées ??? Non parce que vous remportez LA PLUME D'OR de la meilleure histoire jamais écrite !!!
Cette histoire est tarée mais c'est tellement genialissime qu'on adore <3
J'ai pas aimé... J'ai kiffé <3 J'ai passé un super bon moment, les références sont juste top ! J'ai eu des fous rires mais aux larmes quoi ! XD
Merci pour cette histoire de fou !

Ce livre ? est juste Hallucinant. Comment autant de mains ont-elles pu écrire un roman aussi complet sans faux pas et surtout sans que l’on se rende compte du nombre de personnes derrière. Parce que oui ce n’est pas une auteure mais 17 nanas un peu barrées voir complètement folles qui vous embarquent dans une île déserte ? en compagnie de leur héros. Vous retrouverez mon chouchou Nils, le super connard dixit Nils lui même, Terrence mais aussi Jace, Rafael, Leath et surtout le petit nouveau le capitaine Capello à la recherche de la Boss alias Sarah Berziou. On retrouvera également Melle Diboux qui m’a fait mourir de rire, Ma Marie qui m’a presque envie d’être à sa place et Aly à la personnalité si singulière. Cette aventure est juste un doux moment de folie qui apporte de la légère en ces temps si compliqués.
Black ink est une maison d’édition mais avec ce livre , elle nous démontre qu’elle est plus que ça. Réunir autant de mâles alphas qui pour beaucoup ont été de jolis coups de cœur livresque est unique . L’histoire est menée de mains de maître par la baronne Emma Landas et on ne peut que souligner le travail parfait qui a été mené. A aucun moment de ma lecture, je n’ai senti de différence entre les chapitres. Par moment , on reconnaît la patte de tel ou tel auteur mais les écritures se complètent à la perfection.

On s’amuse, on prend du plaisir à retrouver tous ces héros qui nous ont marqué à un moment ou un autre. Jusqu’au bout, j’ai ri, j’ai eu l’impression d’être sur cette île déserte. Les uns et les autres m’ont donné envie de replonger dans leurs histoires.

Ce livre est parfait pour un moment de franche rigolade. C’est frais, drôle, pétillant et pleins d’émotions à l’image de cette maison d’édition qui apporte tant à ses lectrices !!!
Bravo à toutes ses auteures, à la boss, à Emma Landas, à Marie et à Diboux pour cette histoire pas comme les autres.

Difficile de se passionner pourune romance sans envergure, quel dommage, le synopsis semblait prometteur, le lieu et l’histoire aussi, mais que c’est long!
Jah me semblait fort attractif mais il est vite devenu passif et ennuyeux, seul Alya sauve un peu la mise mais on s’ennuie vite malgré le sujet grave assez bien traité.
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Dans ce tome , Leya et Jace evoluent , ils deviennent plus torturés avant d arriver à dompter leurs démons.Leur histoire d amour est magnifique mais ce livre fait également réfléchir sur notre monde.

L'histoire est pas mal, mais il manque un je ne sais quoi, qui aurait pu la rendre bien meilleure.

Avez-vous déjà eu cette sensation, comme une évidence, d'être faits l'un pour l'autre ?
Des âmes sœurs.
Ce concept qui évoque une compatibilité amoureuse qui serait parfaite entre deux individus, qui donne ce sentiment d'intégralité, comme si il ne manquait aucune pièce au puzzle.
« Il arrive que deux âmes se rencontrent pour n'en former plus qu'une.  Elles dépendent alors à jamais l'une de l'autre. Elles sont indissociables et n'auront de cesse de se retrouver, de vie en vie. «
Jace et Leya.
Deux âmes prédestinées à se rencontrer, deux êtres écorchés avec chacun ses propres blessures et ses démons.
Leya est une jeune femme remplie de désespoir, de culpabilité et de souffrance. Elle fuie son passé si douloureux, marqué par une perte inimaginable, en s'exilant de la France pour les USA, afin de d'essayer de reprendre vie, de se reconstruire ou tout simplement de se faire oublier. Emménageant dans une maison au bord de l'océan, elle fera la rencontre de Jace, son voisin.
Jace, lui, c'est le Sex symbol du cinéma américain, avec ses failles et ses travers. Au sommet de son art, blessé accidentellement, il est contraint de mettre entre parenthèse sa carrière. Il se retrouve face à l'obscurité, à la fois physique par une cécité temporaire, mais aussi de sa vie, insipide, souhaitant être n'importe qui sauf lui-même.
Leur rencontre, sur la plage, est un des moments très intenses de ce tome 1, la délicatesse avec laquelle l'auteur nous décrit cette scène donne à chaque mot, à chaque phrase, une intensité telle que nous ressentons la connexion naturelle qui va lier Jace et Leya. Cette rencontre va changer leur existence. Tout va aller très vite entre eux. Lui, homme à femme, habitué des relations sans lendemain, va se découvrir des sentiments pour Leya. De façon paradoxale, doux et brutal, parce qu’il est à la fois pour elle, l'ange qui console et le démon qui pervertit, Jace va insuffler un espoir, une étincelle de vie à la détresse de Leya. Protecteur et attentionné, il va réussir progressivement à combler le vide de son cœur et la délivrer des fantômes de son passé.
Leya acceptera Jace tel qu'il est, entièrement, baissant les barrières qu'il s'était érigées lui-même. Avec elle, il va s’ouvrir à ses sentiments, à cet amour fort, sincère et passionné.
Mais comme toutes les passions, possessives, excessives et dévorantes, on se retrouve à la fin du tome 1 dans un tumulte émotionnel très intense.
Même si l'auteur aborde des thèmes tels que le deuil, la culpabilité, la souffrance et la reconstruction de soi, ce premier tome est pour moi celui de la sensualité, de la poésie et de la sensibilité, peut-être justement parce qu’il est axé sur le ressenti de Leya…
Au contraire, le Tome 2 dans lequel nous retrouvons Jace, hanté par ses démons, est plus affirmé et plus sombre : mensonge, cruauté et inhumanité vont l'inciter à se réconcilier avec son passé pour reconstruire son avenir.
Il va se rendre compte que Leya est en lui, irrévocablement, que c'est viscéral, qu’il l'aime inconditionnellement.
L'auteur nous entraîne dans un véritable combat émotionnel, elle nous montre combien l'amour peux être complexe, fragile et dangereux.
Ils vont se détruire mutuellement, par leurs sentiments trop forts, par leurs colères trop fréquentes et par les non-dits. Ils vont avoir besoin de temps et d'espace mais ce lien invisible, cette connexion intense, les ramènera à chaque fois l'un vers l'autre. Comme un moyen d'exorciser leur démons, ils vont alors nous entraîner chacun dans un voyage initiatique, se confrontant à de nouvelles épreuves, de nouvelles expériences.
J'ai ressenti une explosion de sens en lisant ce tome, j'ai ressenti de l'amour, j'ai ressenti de la douleur, de la colère mais j'ai aussi été très sensible à la détresse des personnages si attachants.
Aidan Adam, je découvre ici ta plume si poétique, tu as réussis à m’emmener dans cette histoire où la paix de l'âme et du cœur a tout son sens. Même si j'aurais peux être préféré un récit plus court sur les voyages de Leya et que je ne suis pas très fan des épilogues, j'ai adoré vivre avec eux cet amour, inconditionnel et fusionnel.
« L'amour est complexe. L'amour est versatile. L'amour est traître. Mais les quelques secondes où cet amour est source de bonheur valent que l'on se brûle les ailes à sa poursuite »

J’avais vraiment hâte de lire cette suite, étant donné l’état dans lequel je me suis trouvée à la fin du premier tome ! Mais ce cliffhanger quoi !!

Leya a-t-elle survécu à l’attaque du requin ? Franchement, en lisant les dernières lignes du premier tome, on pourrait en douter… La peine de Jace découvrant les images de l’attaque est tellement poignante. Je ne dévoile pas un grand secret en disant que Leya survit à cette épreuve (merci à l’auteure d’avoir préservé notre petit cœur d’artichaut !).

Je dirai que la première partie du roman nous montre la peine immense que ressentent Jace et Leya, chacun de son côté. La jeune femme se réfugie dans la photo, assumant complètement son côté « Ocean Adam ». Elle photographie le malheur, la souffrance et le désarroi des opprimés à travers le monde, comme un exutoire. Jace ne sait plus comment vivre sans la femme de sa vie. Il décide d’écrire et réaliser un film racontant leur histoire, espérant certainement susciter un électrochoc chez Leya. Peut-être que quelque part à travers le monde, elle pourra voir ce film…

Aidan Adam a réussi à me toucher véritablement dans cette partie où les personnages sont tellement à fleur de peau, vulnérables et perdus sans leur moitié. On n’attend qu’une seule chose que ces deux là se retrouvent, s’expliquent et s’aiment à nouveau.

Je ne vous décrirai pas les circonstances de leurs retrouvailles, ni si Leya et Jace vont se faire la guerre et lutter ou se laisser aller à l’amour si fort qu’ils ressentent l’un pour l’autre. Tout ce que je peux vous dire c’est que je ne suis pas restée insensible à l’intensité de leurs sentiments et à celle de leur douleur.

Aidan Adam a su trouver le ton juste. Je tiens à saluer son énorme travail de documentation qu’elle a du fournir pour nous décrire des situations si désespérées à travers le monde. Quel travail, chapeau pour cela !!

Ecoute le vent, écoute le silence : un très beau diptyque pour parler d’un amour si profond, si pur qu’il peut résister à tout. Cette fois-ci c’est presque un coup de cœur pour moi. Presque...
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Alors moi j'ai trouvé trop de longueur, les deux personnages bien qu'attachant m'ont un peu beaucoup énervé! J'ai pas réussi à rentrer dedans