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Tous les livres de Alain Corbellari

Pourquoi les maillots de l'équipe de football des Pays-Bas sont-ils orange ? Pourquoi un fleuve d'Afrique du Sud s'appelle-t-il l'Orange ? Pourquoi les extrémistes protestants d'Ulster sont-ils dits Orangistes ? Toutes ces questions peuvent recevoir une réponse commune, qui se résume dans un nom : celui de Guillaume d'Orange. Il est vrai que le personnage a de qui tenir : son prototype historique, Guillaume de Toulouse, fut l'un des plus valeureux lieutenants de Charlemagne. Retiré du monde, il deviendra même saint Guillaume et donnera son nom au monastère de Gellone (Saint-Guilhem-le-Désert), qu'il avait fondé. La légende l'a rattaché à la ville d'Orange, près de laquelle il aurait livré la mythique bataille des Aliscamps, en compagnie de son neveu Vivien, qui, comme Roland, meurt tragiquement au combat, et de son beau-frère le bon géant Rainouart. Colérique et généreux, brave entre les braves et roi du déguisement, moine et soldat, amoureux passionné de la belle Guibourc et pourfendeur inlassable de Sarrasins, Guillaume, le " marquis au court nez ", que l'on reconnaît à son fameux coup de poing et à son rire tonitruant, reste l'un des héros les plus complexes et les plus attachants du Moyen Age.

Florides helvètes recueille les principaux textes que Cingria a consacrés à la Suisse. Un pays qui l’a vu naître, mais qu’il aime à refaçonner en le dépaysant. Le cosmopolitisme affiché de l’écrivain (il se dit « Constantinopolitain c’est-à-dire Italo-franc-levantin »), l’acuité de sa perception, l’ivresse des impressions qu’il nous fait éprouver devant « simplement ce qui existe », sa drôlerie désarçonnante et son style sidérant, tout chez lui concourt à renouveler notre vision des choses et à nous transporter dans un monde nouveau. A la fois médiéval et ultramoderne, Cingria est l’homme libre par excellence. Il ne nous fait pas seulement visiter la Suisse ; il nous entraîne dans un voyage à travers le temps et nous fait partager l’expérience d’un homme qui réinvente le monde en poète.

Les actes du XIIe colloque de la Société Internationale de littérature courtoise (Lausanne et Genève, 29 juillet-4 août 2007) rassemblent vingt-quatre articles de chercheurs internationaux en langue anglaise, française et allemande. Les contributions sont organisées en quatre parties, alternant imaginaires courtois et mises en scène curiales. Le premier ensemble introduit une réflexion sur le fonctionnement des figures mythiques créées ou véhiculées par la littérature courtoise européenne. On y revient sur la définition de « personnage mythologique » souvent donnée aux héros masculins, de Tristan (J.-D. Müller) à Merlin (A. Berthelot), ou aux héroïnes ambiguës que sont Morgane (V.-M. Sasu) ou Didon (très bel article de M. Bridges sur l’ambiguïté du lit pour les héroïnes féminines). La deuxième partie propose un ensemble de pistes sur les mises en scène curiales qui tendent à se constituer en rituels narratifs dans les textes. Plusieurs articles questionnent la relation qui se construit entre des cours mythiques, arthurienne (A. Faems) ou troyenne (B. Reich), et des cours réelles, comme celle de Rome (A. Paravicini Bagliani). L’offrande du livre au commanditaire n’est-elle pas un mythe réflexif, placé à l’orée de nombreuses œuvres curiales et fondateur d’une légitimité culturelle pour l’écrivain ? C’est ce que démontrent deux études complémentaires menées par C. Thiry et C. Prud’homme. Le troisième ensemble se penche sur les figures exemplaires construites au carrefour des romans courtois et des réalités de la cour. Ce sont les cas de Gérard de Nevers dans le Roman de la Violette (F. Mora), de l’empereur Conrad / Baudouin 1er dans Guillaume de Dole (C. van Coolput-Storms), ou de Charles VII sous la plume de Jean de Bueil (M. Szkilnik). Les frontières de la fiction, dont la définition problématique fait aujourd’hui l’objet de fructueuses recherches dans le champ des littératures modernes et post-modernes, sont ainsi mises en lumière dans leur porosité à l’époque pré-moderne. Enfin, le débat étant l’un des fondements de la culture courtoise / curiale, c’est au geste de relecture et de récriture qui accompagne l’héritage de la courtoisie qu’est consacrée la dernière section du recueil. Elle s’organise autour de l’étude de deux œuvres « mythiques », le Roman de la Rose (A. F. Harris) et La Belle Dame sans Mercy d’Alain Chartier (E. Cayley) et de leurs échos, de Marguerite de Navarre (N. Frelick) à J. Lacan (S. Kay).

Musique a influencé tout le corpus des œuvres littéraires de Romain Rolland. Il a écrit que la musique lui avaient guidé dans les premières étapes de sa vie, était son premier et probablement dernier amour. En tant que fondateur de la musicologie française, Romain Rolland a aidé à redécouvrir l'Opéra Baroque et musique ardemment défendue au début du XXe siècle. Cette étude réévalue l'esthétique combinée singulier de la littérature et la musique à laquelle Rolland a consacré sa vie.

De Kaamelott à Game of Thrones, des jeux de rôles aux fêtes médiévales qui fleurissent dans les moindres bourgs du Vieux (et même du Nouveau) Monde, l’imaginaire médiéval est omniprésent dans l’Occident contemporain. Mais on se doute que cela n’a pas toujours été le cas. Oscillant sans cesse entre sa légende « rose » (les troubadours, l’amour courtois, le preux chevalier) et sa légende « noire » (les guerres féodales, la peste, les culs de basse-fosse), le Moyen Age a connu à travers le temps des éclipses et des renouveaux spectaculaires dont ce livre dresse le tableau, envisageant tout aussi bien la réception érudite que la réception profane d’une période qui s’est elle-même pensée en termes de « renaissances » successives. Berceau d’une part essentielle de notre imaginaire, le Moyen Âge n’a pas fini de féconder notre avenir.

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