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Livres - Bibliographie

Alain Soral


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Toutes les séries de Alain Soral

2 livres
3 lecteurs

Emblème de notre monde de vulgarité, de luxe, de misère et de struggle généralisé, "Yacht People" - huis clos ultra-violent où s’affrontent deux groupes humains que tout sépare - est un thriller d’action à grand spectacle non dénué d’humour noir !

C’est aussi le constat, sans fard, de notre Occident décadent, voguant vers sa fin sur un océan de dollars, de sexe, de mensonges et de sang…

Tous les livres de Alain Soral

Dédiés au peuple de France des petites gens, des braves gens, ces deux abécédaires, réunis en un seul volume, connurent à leur sortie un formidable succès populaire. Constitués de 370 textes polémiques et brefs, ils analysent le lent écroulement de notre Etat-Nation sous les coups conjugués du marché et des communautarismes.

Exemples : Délinquance, des banlieues rouges aux banlieues beurs ; Ecologie, l'arnaque des pistes cyclables ; Féminisme, le phénomène Bridget Jones ; Gauchisme, comment passe-t-on de Mai 68 au Cac 40 ? ; Libéralisme, de l'intérêt d'avoir toujours une lutte antifasciste de retard ; Minorités, pourquoi pas une Beauf Pride ? Et aussi : Amérique, Intellectuel communautaire, Israël, Le Pen, Manipulation médiatique, Néo-matriarcat, Ultra-libéralisme...

Une destruction de la fraternité française sous l'impulsion des trotsko-libéraux, ces libéraux-libertaires devenus libéraux sécuritaires depuis l'élection de Sarkozy : libéraux avec les nantis et les délinquants, mais sécuritaires envers les classes moyennes et populaires, qui supportent de moins en moins une politique toujours menée à leurs dépends...

Il paraît difficile d'écrire un livre sérieux sur une pratique jugée immorale, minable et très éloignée de la pensée : la drague. Pourtant l'auteur n'hésite pas à analyser ce sujet à risques ; à étudier l'amour et la femme à travers les yeux du dragueur. Pourquoi, quand, où et comment drague-t-on ? Tous ces aspects de la drague sont abordés dans ce livre.

Refusant l'apologie de la femme des discours officiels et la misogynie, Alain Soral mêle pensée et concret, désir et technique pour pénétrer le mystère de la femme réelle ; cette inconnue que le " serial lover " traque sans relâche dans la rue.

Dans un style clair et concis maniant intelligence, subversion et humour, il porte un regard lucide sur une pratique sociale qui, à travers la femme, embrasse la société tout entière. D'où une critique acerbe du féminisme quand il veut ériger la femme en mouvement politique.

Critique qui vaut aussi pour la social-démocratie qui nous harcèle d'images de femmes, et feint d'encenser la féminité pour nous pousser à la consommation.

Mais Sociologie du dragueur c'est d'abord la réponse à deux questions essentielles : l'Amour, et comment faire pour l'obtenir ?

Sociologie du dragueur est l'ouvrage qui a fait connaître Alain Soral au grand public. Il a depuis publié Vers la féminisation ?, La Vie d'un vaurien, jusqu'où va-t-on descendre ?, Socrate à Saint-Tropez et Misères du désir...

Misères du désir, c'est un beau titre. Quand on pense à tout les emmerdes que vous attire l'entreprise de conquête sexuelle : humiliation du "non", frais de table, maladies vénériennes, mariage, divorce et pension, prison pour pédophilie, voire pire... on se dit, comme Bertrand Cantat, que s'abstenir eût été préférable. Qu'on se contente seulement d'écrire sur le plaisir, comme certain puceau lettré chauve aux yeux verts, c'est alors l'art lui-même qui vous rappelle à sa hiérarchie : si Dante avait baisé Béatrice, point de Divine Comédie. Misères du désir donc, on me demande d'en faire un livre... ça me va. Mais d'abord pourquoi moi ? Sans doute parce que j'avais par le passé, dans un autre livre, avant mon mariage à l'Eglise, revendiqué sept cents conquêtes. Sur ces fameuses sept cents conquêtes dûment pénétrées et homologuées, je dois au lecteur qui m'aime, comme aux féministes qui me haïssent, une petite explication. Moi je ne voulais pas écrire "conquêtes", je trouvais le terme précieux et prétentieux, je voulais écrire "sondées". Sondées c'est le terme exact du point de vue sociologique, mais mon éditeur trouvait "sondées" trop gynécologique, fort de l'autorité du payeur il opta pour "conquêtes" qui lui semblait plus romantique. Du coup ce qui était dans mon esprit pure volonté de rigueur scientifique, humilité, passa pour de la forfanterie, et le panel représentatif de celui qui s'adonne à la pratique avant d'écrire, par soucis de réalité, pour de la prétention et de l'abattage, voire du mépris. Quelle gloire peut-on tirer des filles quand on sait qu'elles sont physiquement, psychologiquement et socialement programmées pour ça ? Assez sur ce sujet, on l'aura compris, faire écrire un éloge de la retenue par un ex-baiseur est un paradoxe plus attractif que de commander le titre à Christopher Reeves ou au père de La Morandais...

"La femme est l'avenir de l'homme..." Cette citation devenue célèbre résume à elle seule le credo de l'époque, son idéologie. Que le poète qui a écrit cette sentence ait vécu en stalinien et fini pédé devrait pourtant inciter à la prudence, voire à la réflexion. Publié en 1999, Vers la féminisation ? était un livre prémonitoire, notamment avec la possible élection d'une femme à la présidence de la République, autre signe fort d'une société qui change. Mais change-t-elle en mieux ? Alain Soral nous démontre que c'est au contraire parce que la femme est plutôt l'être du désintérêt politique (littéralement un homme sans vision collective d'avenir) que l'oligarchie a choisi d'en faire le relais privilégié de son pouvoir (au commentaire journalistique comme à l'exécution de gestion). La féminisation des esprits complétant en quelque sorte la "maastrichtisation" des institutions afin de réduire, jusque dans les consciences, l'aspiration du peuple au pouvoir citoyen. En proférant cette thèse radicale (médiatiquement marginale mais ressentie par une part grandissante de la population), Vers la féminisation ? veut poser les bases d'un débat sérieux à propos d'une manipulation anti-démocratique (notamment la parité) dont la majorité des femmes (ouvrières et employées) sont aussi le jouet; mais aussi aider l'honnête homme à se défendre contre l'arrogance et la bêtise des élites dirigeantes dans les dîners en ville !

• Une terrasse de café du quartier Saint-Germain, pas au Flore ni aux Deux Magots, plus bas sur le boulevard.

• Comme tous les jeunes désoeuvrés qui attendent de voir avant de se jeter, Louis regarde la rue, il fait bon mais c'est déjà l'automne.

• Soudain son regard vagabond tombe sur le cul très beau d'une jeune femme en jupe rouge comme l'auto qui passe à cet instant juste derrière elle, l'automobile est belle, la fille de dos l'est sans doute aussi.

• Dans la fumée du café à cinq francs que refroidit la table de marbre, Louis rêveur roule en italienne, la fille est à ses côtés, le soleil d'automne devient soleil d'été.

• La voiture tourne au coin, la créature la suit, le soleil décline lentement sur la rue.

• À la tombée du soir, une blonde beaucoup plus moche suit un homme en noir dans une GTI, Louis boit son café froid, se lève et s'en va.

• Le souvenir de la belle inconnue au cul rouge lui sera très utile avant de s'endormir, cette nuit.

Ainsi commence le premier roman d'Alain Soral. Écrit dans un style vif et concis, sans trop de descriptions ni circonvolutions psychologiques, ce court texte retrace le parcours initiatique d'un jeune paumé solitaire lâché dans Paris. Amour, amitié, savoir, déboires jalonnent sa quête de communion pour échapper à sa misère, avec au coeur et en tête un seul but : pénétrer l'inconnu(e).

Dédié aux petites gens, Jusqu'où va-t-on descendre ? analyse, à travers 170 textes polémiques et brefs, la lente dérive de l'universalisme républicain issu de la Révolution de 1789, vers cet agglomérat de communautarismes revendicatifs et de narcissismes hostiles qui constitue aujourd'hui la société française.

Exemples : Délinquance, des banlieues rouges aux banlieues beurs ; Écologie, l'arnaque des pistes cyclables ; Féminisme, le phénomène Bridget Jones ; Gauchisme, comment passe-t-on de Mai 68 au Cac 40 ? ; Libéralisme, de l'intérêt d'avoir toujours une lutte antifasciste de retard ; Minorités, pourquoi pas une Beauf Pride ?... Société française peu à peu réduite à une grande surface de marchandises et de consommateurs, sous l'impulsion des " li-li-bo-bo " (libéraux-libertaires bourgeois bohèmes), cette nouvelle classe dominante d'animateurs de la transgression standardisée, unis par leur mépris du citoyen français et du monde du travail.

Après le succès de Sociologie du dragueur et de Vers la féminisation ? qui suscitèrent de nombreuses polémiques, Alain Soral revient à la charge sur le sujet aujourd'hui au cœur de tous les clivages politiques : la destruction de notre État-nation sous les coups conjugués du Marché et des communautés.

Fort du succès populaire de son précédent livre, Jusqu'où va-t-on descendre ? qui lui a valu un formidable courrier d'encouragements, Alain Soral prolonge son Abécédaire de la bêtise ambiante : Amérique, Art contemporain, Ben Laden, Chirac, Dandysme, Djihad, Droits de l'homme, Ecologie, Ecrivaine, Europe, France d'en bas, Gauche plus rien, Homophobie, Houellebecq, Intellectuel communautaire, Israël, Jeunisme, Le Pen, Manipulation médiatique, Multiculturalisme, Néo-matriarcat, Pape, Papon, Pédophilie, Peuple élu, Racisme, Révolution, SDF, Sida, Sport de glisse, Totalitarisme, Travailleuse du sexe, Ultra-libéralisme...

Soit 200 nouveaux textes tout aussi corrosifs, par lesquels l'auteur continue à nous démontrer - entre autres critiques du temps - qu'avec la montée Lies obscurantismes, c'est la raison universaliste qui est désormais en danger. Une raison universaliste laïque et égalitaire qui est le principal pilier de la démocratie.

C'est l'une des raisons qui explique le succès populaire de ses deux abécédaires où il analyse avec pertinence, humour et humeur la lente dérive de l'universalisme républicain issu de la Révolution de 1789, vers cet agglomérat de communautarismes revendicatifs et de narcissismes hostiles qui constituent aujourd'hui la société française. Avec Comprendre l'empire, Alain Soral continue à pourfendre les forces qui luttent pour le déclin des Nations et l'avènement de la gouvernance globale. Alain Soral est apprécié d'un public jeune, révolté et anticonformiste qui se retrouve dans sa critique sans concession de cette société qui se délite dans une pensée molle et abêtissante.

Ecrivains, intellectuels... dans cette France du déclin où tout semble à nouveau concourir au chaos, ils ne sont pas nombreux ceux dont on pourra dire, dans vingt ans, qu'ils ont tenté de résister, sauvé l'honneur de leur génération. Gageons qu'Alain Soral sera de ceux-là .

« Quand on est jeune et novice dans le débat d’idées, on croit qu’en politique c’est comme en sport, qu’il y a deux équipes : la vôtre et celle d’en face, les bons et les méchants, le pouvoir et l’opposition. Puis avec la pratique, pour ceux qui passent à la pratique – les autres n’y comprennent jamais rien –, on découvre que dans la vraie vie, comme dans 1984 de George Orwell, c’est plus compliqué que ça. Il y a le pouvoir, l’opposition au pouvoir et… Goldstein.

Soit l’opposant créé par le pouvoir, ou plutôt favorisé par le pouvoir – ne soyons pas complotistes – pour dévier les énergies contestataires vers la stérilité, l’inutile…

Gauchisme à la Prévert ou gauchisme à la Baader, qu’on soit dans les nuages ou qu’on fonce droit dans le mur, sur le plan de l’inefficacité politique – les années de prison mises à part – ça revient au même... »

Chroniques d’Avant-guerre, compilation des articles publiés dans l’éphémère revue Flash entre octobre 2008 et mars 2011, est le 11e livre d’Alain Soral. Reprenant, sur le mode chronologique plutôt qu’orthographique, le principe des textes courts de ses Abécédaires (Jusqu’où va-t-on descendre ?, Socrate à Saint-Tropez), il est aussi un complément utile à son essai majeur écrit au même moment : Comprendre l’Empire.

Réunir deux esprits libres, cultivés et batailleurs comme Éric Naulleau et Alain Soral pour débattre du « pourquoi vote-t-on Front national ? » relevait de la gageure.

Car comment cantonner deux hommes aussi impliqués dans leur époque à cette simple question, alors que la réponse englobe de multiples facteurs et renvoie à deux visions du monde antagonistes ?

Chacun étayant ses propos d’une solide culture qui donne à ses Dialogues désaccordés – ce Combat de Blancs dans un tunnel – des accents de match de boxe de légende où chacun se rend coup pour coup avec intelligence et noblesse.

Avec ces échanges virils mais corrects, Naulleau et Soral redonnent un vrai sens au débat public.

Chacun d’entre nous se voit amené à affronter ses contradictions et ni l’un, ni l’autre ne laisse la place à une quelconque mollesse.

Le 11 septembre 2001 fut une journée historique : voilà un point sur lequel tout le monde s accorde. Mais quant au sens de cette journée et à la nature réelle de l évènement qui eut lieu aux USA ce jour-là, il n existe plus aujourd hui de consensus. Il n en est pas toujours allé ainsi. Sur le coup, la retransmission télévisuelle imposa le fait avec une telle puissance d impact que nos esprits furent en quelque sorte sidérés. Personne, au fond, ou disons presque personne, ne pensa immédiatement le 11 Septembre comme un simulacre. Il fallut attendre quelques semaines, et la publication en France du livre de Thierry Meyssan, « L Effroyable Imposture », pour que l idée surmonte la fausse évidence de l image. Dix ans plus tard, l image a perdu son pouvoir de fascination. La place existe, à nouveau, pour l idée. Pour notre part, nous n en déduisons pas nécessairement que l on puisse aujourd hui savoir précisément ce qui s est passé ce jour-là. Mais une chose nous paraît claire : à tout prendre, les versions alternatives évoquées par les détracteurs de la version officielle ne sont pas plus délirantes que cette dernière. A vrai dire, elles ne peuvent pas être plus délirantes, car avec ses avions de ligne capables d accomplir des man uvres physiquement impossibles, ses passeports ignifugés et ses immeubles s effondrant sans raison architecturalement valables, la version officielle implique un scénario que même Hollywood rejetterait comme ridicule. Dans ce contexte, il nous a paru intéressant de proposer au public une sorte de photographie des points de vue dissidents, en France, à l heure actuelle. Que disent, au juste, les détracteurs de la version officielle ? Comment appréhendent-ils la question ? Quels enjeux posent-ils ? Quelles réponses croient-ils pouvoir apporter, et dans quelle mesure osent-ils avouer leur ignorance ? Il ne s agit pas pour nous de prendre parti. C est pourquoi nous avons approché des intervenants représentant un éventail aussi large que possible, de la gauche internationaliste à la droite nationaliste, chrétiens, musulmans, religieux ou irréligieux. Si certaines plumes fameuses sont absentes de cet ouvrage, ce n est pas parce que nous les avons oubliées, mais parce qu elles n ont pas trouvé le temps de contribuer à notre démarche. A l exception des questions légales et du classique travail éditorial sur la forme, nous n avons rien censuré. Il en résulte que des formulations abruptes subsistent ici ou là, au fil des pages. Tant mieux : nos lecteurs doivent s attendre à être choqués. Au moins cet ouvrage aura-t-il ainsi le mérite de permettre aux dissidents, issus de courants très divers, de se découvrir mutuellement. C est en tout cas l ambition que nous lui avons assigné.

La création découle d'une analyse et d'un découpage de l'histoire de la mode, intuitifs mais communs à l'ensemble des créateurs. C'est pourquoi, avant d'étudier la création en elle-même, nous devons commencer par distinguer les différentes parties de l'histoire sur lesquelles elle s'appuie.

Pour la création, l'histoire de la mode s'articule en trois temps : avant, pendant et après le prêt-à-porter.

Faut-il encore présenter Alain Soral ? Sociologue, pamphlétaire, écrivain, il a séduit par sa verve les téléspectateurs d’Ardisson ou de Taddeï jusqu’à ce qu’en 2004, un « dérapage » – mot ô combien consensuel pour désigner tout ce qui pourrait donner prétexte à chasser de la vitrine médiatique tout critique, humoriste, homme politique suffisamment sincère et courageux pour aller au-delà du rôle que la farce démocratique lui aura assigné, et grâce auquel il pourra bien se nourrir et briller – un dérapage, donc, le chasse de tous les médias mainstream pour le cantonner sur Internet où, à la grande fureur de ceux qui voulaient le faire taire, il tient avec le site de son association Égalité et Réconciliation la première place des blogs politiques...

C’est donc en grande partie sur Internet qu’à l’origine les entretiens qui sont rassemblés dans cette Anthologie ont été publiés : Novopress, InfoSyrie, Mécanopolis, l’Organe ou encore Scriptoblog ; mais aussi dans quelques revues et magazines : Paris Graffiti, VSD, Éléments, Technikart, le journal italien Rinascita et même Le Monde, dont la copie tronquée comparée à l’original nous permettra de mesurer l’honnêteté... La variété des questions reflète la variété des supports, et ce sont ainsi des sujets très divers qui sont abordés tout au long de ces entretiens, de la question du foulard islamique à celle des radars routiers, de Marine Le Pen à l’art contemporain, des « printemps arabes » aux différentes « fiertés », légitimes... ou pas. Et bien sûr les sujets centraux autour desquels tourne la pensée de Soral : le féminisme, le communautarisme, le sionisme, le mondialisme et le délitement de notre société.

Complétée par différents textes, allocutions ou préfaces, cette Anthologie rassemble tout ce qui – hormis ses livres – a fait depuis dix ans d’Alain Soral le chef de file d’une résistance qui met aujourd’hui son nom dans la bouche d’un ministre de l’Intérieur ou sur les convocations du Tribunal de la pensée...

Je m'appelle... Robert, c'est mieux, plus personne ne s'appelle Robert aujourd'hui, ça fait français. Je m'appelle Robert et je suis au bout du rouleau... Ainsi commence Chute !, le deuxième roman d'Alain Soral. Un roman où son double, Robert Gros, se heurte de tout son poids de lucidité morale et de désespoir social au mensonge, à la lâcheté et à la brutalité de notre pseudo-démocratie contemporaine. Chute ! nous entraîne dans les affres d'un homme de 45 ans et sa lente et inexorable descente aux enfers, lui qui a cru qu'il pourrait changer le monde ou, tout au moins, le rendre moins cruel. Livre amer et désabusé sur notre société, Chute ! n'épargne personne, à commencer par l'auteur lui-même. Dans ce grand roman, nous sommes saisis par la minutie et la subtilité avec laquelle Soral restitue le désenchantement d'un homme, assortie d'une critique sans faille de notre société qui privilégie l'envie et la consommation sur l'Etre...

Auteur d'essais polémiques à succès de Sociologie du dragueur, Vers la féminisation ? Jusqu'où va-t-on descendre ?, Socrate à Saint-Tropez et le prémonitoire Comprendre l'empire, Alain Soral confirme avec Chute !son grand talent d'écrivain.

Voici pour la première fois le panorama complet des modes de jeunes depuis vingt ans : des Hippies aux New-Waves, des Babas aux Punks, des B.C.B.G. aux Minets, bref, de la « popitude »des années 60 à la « branchitude » d'aujourd'hui.

- Quels sont les goûts en matière de cinéma, de musique, d'ameublement, des B.C.B.G. et des Babas?

- Quelle est la vie amoureuse et sexuelle du Punk ?

- Y a-t-il une idéologie rasta ou disco ?

- Que signifient les mots assurer, craindre, clean, cool, liard, skin, trie, gay ou - flip (employés à longueur de,~ journée par tous les moins de vingt-cinq ans) ?

Voilà ce que ce livre, à la fois guide pratique, essai historique et satire sociale, tente d'expliquer aux «parents», souvent désemparés par cette récente explosion des modes, mail aussi à tous ceux qui y voient le phénomène culturel le plus original de notre époque.

Source : Le Livre de Poche, LGF

« Dix ans que je me creuse la tête, malgré les menaces, les persécutions et les risques pour écrire une suite à Comprendre l’Empire, une suite qui ne soit pas une redite.

Dix ans que j’accumule les faits, les idées et que je cherche un plan. […] Dans Comprendre l’Empire, je partais de la Révolution française, de la succession Ancien Régime, République, de l’opposition Religion et Raison, y démontrant notamment tout ce que ce régime théocratique avait de raisonnable sur le plan pratique et tout ce que cette raison politique avait de fanatique et de déraisonnable dans les actes et les faits. J’y montrais aussi comment s’y déployait une logique, une logique politique de pouvoir et de domination…

Mais de domination au nom de quoi ?

C’est tellement évident, tellement devant nous et en nous, qu’on finit par ne plus le voir.

Cette nouvelle domination des uns sur les autres, de la démocratie républicaine sur la monarchie théocratique, puis même de la république démocratique sur la démocratie républicaine s’est faite au nom d’un nom magique, d’une idée parfaitement séductrice : l’égalité !

L’épopée moderniste, la grande idée, le concept au coeur de la dynamique du cycle c’est ça : le pouvoir au nom de l’égalité.

Et une égalité de plus en plus totale, soit, en bonne logique, de plus en plus formelle et abstraite, ce qui se traduit le plus souvent dans la pratique en absurdité, voire en son contraire !

Énorme paradoxe !

Le voilà le coup de génie qui embrasse toute l’époque, la suprême arnaque comme sortie de la tête même du diable : l’inégalité au nom de l’égalité ! »

Ainsi commence Comprendre l’Époque : pourquoi l’Égalité ? qui de la Tradition à Marx, de la logique formelle à la complexité du réel, de la parole du Christ à la loi du nombre et du Marché, nous fait cheminer jusqu’à ce futur qui se déploie sous nos yeux, entre surveillance de masse, censure et dictature à venir du grand reset.

Essayiste, polémiste, cinéaste et romancier, Alain Soral, dans ce treizième livre, pose une fois de plus son regard acéré sur le monde actuel, sa genèse et les causes profondes de ses transformations. Né en 1958 en Savoie, il est reçu en 1978 aux Beaux-Arts, puis à l’EHESS, s’intéresse aux phénomènes de mode, à l’art et à la philosophie. Après un passage au Parti communiste puis au Front national, il appelle depuis 2007 à une alliance de la « gauche du travail » et de la « droite des valeurs » à travers l’association Égalité & Réconciliation.

Qui ne connaît Zemmour, journaliste, écrivain, polémiste et débatteur de talent qui écume les émissions radio et les plateaux de télévision ? Amoureux de la France, de son histoire et de sa langue, il défend l’assimilation, pourfend le communautarisme musulman, le féminisme outrancier et l’insécurité grandissante. Son discours enflammé, souvent juste, en a conquis plus d’un, heureux d’entendre enfin tout haut ce que tant de Français pensent tout bas depuis si longtemps… Mais derrière Zemmour, qui défend l’identité et la culture françaises, qui défend même les racines chrétiennes de la France, derrière Éric qui a donné à ses enfants des prénoms français, il y a l’Autre Zemmour…

Un autre Zemmour que celui mis en avant par une oligarchie politique, médiatique et idéologique, qui « veille à ce qu’on ne lui oppose aucun contradicteur sérieux, capable de le désarmer », et qui en a fait ainsi le champion de son opposition contrôlée. C’est cet autre Zemmour dont l’auteur nous dévoile ici les contradictions et les impostures.

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