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Livres - Bibliographie

Alan Mets


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Toutes les séries de Alan Mets

8 livres
3 lecteurs

Contrairement aux autres Pozzis, Abel ne sait pas changer de couleur robe quand bon lui semble et bien qu'il ne soit plus très jeune, au lieu de construire des ponts, il est ramasseur d'herbe. Comme tous les Pozzis, Abel mesure environ vingt centimètres, il n'aime que le potage et il n'a qu'une seule crainte, c'est le Lailleurs. De ce pays peuvent surgir de grands dangers. Mais comment le savoir ? Il faudrait un Pozzi qui ait le Don. Heureusement, il y en a un parmi eux que seul Capone, leur chef, peut le reconnaître. Un livre pour les entants qui aiment déjà lire tout seuls.

(source : amazon )

Tous les livres de Alan Mets

Où il est question d'un loup amoureux, d'une belle culotte rouge, d'un gigot sur pattes qu'on enferme à clé avec du thym pour lui donner bon goût, d'un rendez-vous galant et d'un imprévu.

Un gâteau qui refroidit sur le rebord d’une fenêtre, et en bas Jean qui rêve d’en avoir un petit morceau. La scène se répète tous les mercredis.

Et chaque semaine, « l’estomac de Jean reste vide » car le gâteau n’est pas pour lui. Mais pour le fils d’une vieille dame ; un fils qui ne vient jamais.

Un jour, la tentation est trop grande : Jean se hisse jusqu’à la fenêtre, grâce à son copain Pierre, et tombe nez à nez avec la vieille dame, qui l’accueille un peu brutalement en le menaçant de le changer en crapaud.

Evidemment, c’est pour rire. La vieille dame n’est pas une sorcière ! Elle va même offrir une part de gâteau à Jean, tellement elle le trouve mignon et drôle.

Non seulement elle va avoir Jean à table tous les mercredis, mais aussi ses amis.

Cet album brille par son ton léger, ses personnages espiègles et son graphisme énergique qui rappelle un peu l’univers du dessin de presse.

On passe du rire aux larmes et l’on aborde la solitude d’une vielle dame ainsi que la peur des tout-petits avec tellement d’humour que l’album est un régal.

Lucien a les moyens d'acheter tous les bonbons de la boulangerie et moi je réussis juste à me payer un petit chewing-gum. Mais Lucien est victime d'un affreux terroriste : Charles, le racketteur de réglisse. Mon sang ne fait qu'un tour. J'interviens ! C'est la bagarre. Je suis battu. Lucien et moi, nous devenons amis pirates, et dégustateurs de trésor, à la vie à la mort. Il n'a plus d'argent, Lucien, et j'ai encore faim. Que faire ? Retournons au magasin. Un pirate, ça vole. Le problème, c'est que Charles la brute est de retour, lui aussi.

Lapin veut planter une graine de carotte. Il demande l'aide de la taupe. Puis pour l'arroser, il a besoin de l'éléphant. Elle a intérêt à être grosse cette carotte, parce que Lapin va devoir la partager avec beaucoup de monde !

Jules n'a pas très envie de jouer au football avec ses frères. Ni de faire du vélo. Lui, ce qui l'intéresse, ce sont les livres. Surtout les aventures de Supercochon, qui se bat avec fougue et ténacité contre le gros cancrelat rose. Évidemment, ses frères se moquent de lui. Ils pensent que les livres sont ennuyeux et ne servent à rien. Ils se trompent. Car si un loup s'approche avec des intentions malhonnêtes, les astuces de Supercochon peuvent se révler extrêmement précieuses. En effet, cancrelat rose ou loup affamé, un méchant est un méchant. Mieux vaut courir vite et faire preuve de jugeote. Une folle poursuite s'engage. Heureusement que Jules connaît tout Supercochon par coeur. Et pour l'estocade finale, comment fait-on lorsqu'on ne dispose pas d'un «superpoing extractible à propulsion nucléaire» pour mettre le méchant K-O? Ma foi, un bon livre bien lancé peut très bien faire l'affaire. À présent, même les frères de Jules le savent: la vie imite l'art.

- Jules (le cochon) et Julie (la brebis) doivent traverser ensemble les bois pour aller à l’école. Jules est amoureux de Julie qui elle n’a que faire d’un cochon qui la dégoutte. Mais un loup dévoreur d’enfants, rode, et finit par les attraper. Jules va devoir sortir le grand jeu pour sauver sa princesse. Il va retourner la situation par une scène écœurante de dégustation de crotte de nez. Encore un loup mis en déroute et un cochon qui sait faire de ses défauts un atout. -

Gilles est un loup et Jules un cochon. Quand il fait beau, ils vont se baigner. Gilles adore nager, Jules aime plutôt se rouler dans la boue. C'est une bonne raison pour se disputer, et même se bagarrer. Seulement quand ils entendent leurs soeurs arriver, ils se réconcilient très vite pour jouer les horribles monstres couverts de boue et faire peur aux filles. Ce qui est normal pour des garçons. Mais voilà qu'arrivent leurs pères, qui se fâchent aussitôt et les envoient au bain, ce qui est normal pour des parents. Et comme cela fera beaucoup rire les filles, elles seront consolées d'avoir eu peur, ce qui est normal dans une bonne histoire!

"Il était une fois un grand chasseur. Chaque matin, il partait sur son cheval. Il parcourait des distances incroyables. Toujours seul... Ce grand chasseur, c'était mon père. Un jour il me dit: "Fils, le jour est venu pour toi de m'accompagner. Et d'apprendre mon art."

Où il est question d'un Sourizio qui en a assez de sa petite soeur Lulu, d'une sorcière qui transforme en grenouille tout ce qui bouge, d'une baguette magique réversible, d'un coup de pied au derrière...et d'un bisou sincère!

Aujourd'hui, je suis parti...A la tombée de la nuit, j'ai pris un bateau...Mais la tempête a fait rage...et le bateau a coulé...Un gros poisson m'a avalé...Je me suis reposé, bien au chaud dans son ventre...Avec mon couteau, j'ai fait un trou pour voir les étoiles...

Il fait ses crottes dans mes pantoufles. Il prend son bain dans mon petit-déjeuner. Il peint des rayures sur mon pyjama blanc à coups de dentifrice. Non mais quel abruti, ce chat ! Ça suffit !

Je vais le chasser ! Vite, un balai ! Ouf ! Mon chat stupide a disparu. Bon débarras. Mais où est-il ?

Il me manque déjà…

Tim a un problème. Et pas un petit problème : dès qu'il voit une fille, ses oreilles rougissent, rougissent, rougissent à n'en plus finir. Alors quand il voit trois filles à la fois, vous imaginez ! Pauvre Tim, il ne lui reste plus qu'à se fabriquer... une culotte de tête !

Maman, la maîtresse, le médecin, le marchand : ils veulent tous que je porte des lunettes parce que je ne vois pas au tableau ! D’accord, mais je veux au moins les choisir ! Les moins pires sont en forme d’étoiles. Mais Maman me prend les rondes, les plus nulles… Au secours, à l’école, tout le monde va me traiter de serpent à lunettes ! Ça ne rate pas, et c’est la bagarre. Je ne vais pas me laisser faire. Crac ! Boum! Aïe ! Mes lunettes toutes neuves et moches sont cassées… On pourrait peut-être en profiter pour les changer ?

Depuis au moins quatre jours la pluie tombait. Lolotte, l'ourson, tout seul chez lui, s'ennuyait. Il alla chercher son pinceau et sa boîte de couleurs, et fit une baleine. Une baleine magnifique. Il en était si fier, qu'il posa le dessin en face de la baignoire pendant qu'il prenait son bain. C'est alors que la baleine lui dit: " Je peux venir? "

On dit que, la nuit, tous les chats sont gris. Le chat orange, lui, reste orange. Quand il chasse, c'est très ennuyeux, les souris et les oiseaux le voient venir à des kilomètres…

Un jour, Etoile, le petit clown, est chassé de son cirque. Le directeur ne lui laisse même pas le temps d'embrasser ses amis. Etoile part pour la ville, avec sa minitrompette, mais là, personne n'a de travail pour un clown aussi petit. Heureusement, il finit par rencontrer un chien à l'âme artiste, qui s'appelle Nouréyef...

Jean le téméraire était un petit sourizio qui n'avait peur de rien. Il s'amusait à grimper au sommet des plus grands baobabs ou bien le long du cou des girafes pour leur gratter la tête. Il était même capable de chahuter avec les lions.Sa mère était absolument terrifiée. «Tu vas me faire mourir de peur!» lui criait-elle.Un jour, un éléphant furieux surgit de la jungle et fonça droit sur le village. Ce jour-là, Jean le téméraire, qui était le seul à ne pas avoir peur, sauva son village en faisant quelque chose d'exceptionnellement courageux... et sa mère faillit en mourir de peur. En la voyant évanouie, Jean le téméraire eut peur pour la première fois de sa vie. Et cette nuit-là, pour la première fois aussi, il eut peur du noir.Il découvrit alors qu'il n'y a rien de meilleur, quand on a eu très, très peur, que de se blottir dans les bras de sa maman.

Le Capitaine Jambe-de-bois est seul à son bord, tous ses hommes sont à terre lorsqu'il aperçoit sur l'horizon les voiles d'une goélette. Le vieux pirate n'hésite pas, il ira seul comme au bon vieux temps s'emparer du navire inconnu. Il monte dans une chaloupe et rame silencieusement jusqu'à la goélette. Mais plus il approche, plus son courage faiblit. Le grand navire semble désert. IL ressemble à un vaisseau fantôme. Et quel est donc le hurlement qui lui transperce les tympans? Le vieux pirate avance malgré sa peur, décidé à percer le mystère qui l'entoure.

( Quatrième de couverture )

Jimmy-renard aime vivre seul. Il peut lire du matin au soir, il ne se lave jamais, il ne partage pas ses plats de lapin. Sa vie lui semble merveilleuse.

Jusqu'au jour où Jimmy-renard croise un lapin poursuivi par une renarde. Il tombe par terre, les yeux pleins d'étoiles et le coeur battant. Parce qu'il a très envie de manger le lapin et plus encore d'embrasser la renarde. Parce qu'il est tombé malade d'amour. C'est un coup de foudre, un rêve, le début d'une nouvelle vie, pense Jimmy-renard.

Imaginez qu’un jour, sur le chemin de l’école, vous soyez enlevé par une soucoupe volante. Manquer l’école, c’est agréable, mais se retrouver seul au milieu des cornichons de l’espace , ce n’est pas très drôle. Et si le papa cornichon vous offre en cadeau à son fils, c’est encore moins drôle…

Pas facile d'être le plus petit de sa classe et le souffre-douleur de Marcel, l'abruti jaloux.

D'injures en coups de poing, de coquards en vengeance, cette histoire risque de mal se terminer.

Il est temps d'y mettre bon ordre. Chauffe, dragounet !

Tous les jours, maman oblige Adonis à prendre l'air. Puis elle lui dit d'aller jouer avec ses petits amis pendant quelle parle avec les siens. Mais Adonis n'a pas d'amis. Tout ce qu'il a, ce sont ses trésors: des brindilles-soldats et des cailloux en forme de cœur. Et une envie terrible de jouer au ballon avec les autres. Mais les autres ne le voient même pas.

Les Pozzis aiment jouer de la flûte, construire des ponts, danser et changer la couleur de leur robe à volonté.

À les voir si paisibles et joyeux, comment imaginer qu’une terrible menace pèse sur eux ? Car à la frontière de ce pays merveilleux, il y a le Lailleurs. Une forêt grise et froide pleine de cris et de violence, où les Bronght et les Nour se font la guerre depuis toujours.Séparés par une muraille infranchissable, les habitants du Lailleurs et les Pozzis ignorent tout l’un de L’autre. Mais lorsque Adèle est emportée par la Spirale de l’autre côté de la frontière, les Pozzis n’hésitent pas. Ils lancent une expédition pour aller la chercher dans le Lailleurs, ce pays de malheur dont on ne revient pas...

Brigitte Smadja a imaginé le monde des Pozzis après une balade en Corse, dans un petit coin de paradis parsemé de lacs et de prairies. Il lui a fallu cinq ans et dix épisodes pour raconter l’épopée du peuple pozzi, qu’elle considère comme l’une de ses plus belles aventures littéraires.

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