Alejandro Jodorowsky
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Note moyenne : 7.21/10Nombre d'évaluations : 866
0 Citations 313 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

La série prend la tournure d'un space-opera de grande ampleur. Les auteurs nous épatent par l'ampleur et l'originalité des mondes créés et il est assez épatant qu'ils parviennent à caser autant de rebondissements en 48 pages ! John Difool est toujours aussi impulsif et lâche mais sa profonde humanité en fait un héros à part entière. Et le cliffhanger final est époustouflant.
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Une fresque épique avec des combats spatiaux et un minutage qui ne sont pas sans rappeler Star Wars. Dommage que Jodorowsky s'engage sur une de ces pentes glissantes dont il a l'habitude tellement tarabiscoté que le lecteur s'y perd. Mais le dessin de Moebius est exceptionnel et compense ces petites faiblesses de scénario.
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Un final particulièrement foutraque qui oscille entre le pire et le meilleur. Confronter John Difool à 78 billions d'autres lui-même donne des résultats amusants, mais les situations conflictuelles sont un peu trop aisément résolue rendant le suspens un brin artificiel. Et puis l'affrontement finale contre la Ténèbre laisse perplexe même si la chute est plutôt bien jouée. Le dessin de Moebius reste top par contre et il n'est jamais simple de bien finir une saga d'une ampleur pareille.
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Rude lecture composée de beaucoup de grossièretés qui n'apportent aucun sel à l'histoire si ce n'est une sensation de pourquoi est-ce que je lis ça, vu les auteurs j'aurais pu m'y attendre. J'ai terminé à grande peine ce scénario assez décousu de cathédrale à rebâtir. Il y avait de bonnes idées comme une représentation d'une société abusive, etc, mais j'ai trouvé l'ensemble sous-exploité et mal amené.
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Du Jodorowski en roue libre, plutôt pour le pire que pour le meilleur. Il y aurait pu avoir de bonnes idées, mais elles sont noyées dans un fatras de personnages outranciers, de situations confuses souvent pas très originales et de délires mystiques, une tendance à laquelle le scénariste cède malheureusement un peu trop facilement. Les dessin pourrait être intéressant, mais il sombre également dans une surabondance d'éléments fantaisistes qui finissent par rendre les cases lourdement indigestes. J'avais un meilleur souvenir mais c'est malheureusement une œuvre qui a très mal vieilli.
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De la fantasy à l'ancienne, où la patte de Jodorowsky est très présente dans la quête intérieure de l'héroïne. On notera quand même que là où les sévices subis par un personnage central masculin aurait probablement confronté sa résistance physique, dans le cas d'une héroïne, ils sont fortement sexuels... En cela, la BD a plutôt vieilli. Le dessin de Gal est quant à lui très réussi.
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Des dessins incroyables et plein de scènes chocs.
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Sans le savoir, j'avais déjà une vague idée de ce que Louis XVII avait en tête pour confronter Napoléon.
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Ce volume a été un peu raides sur la relation entre Louis XVII et Napoléon.
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Spoiler(cliquez pour révéler)Au final, on ignore ce qu'est advenu de Napoléon après avoir rejoint les Chevaliers.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Alejandro Jodorowsky
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
les Humanoïdes Associés : 198 livres
Delcourt : 19 livres
Glénat : 15 livres
Albin Michel : 14 livres
Casterman : 6 livres
Drugstore : 5 livres
Jonas : 3 livres
J'ai lu : 2 livres
Biographie
Alejandro (ou Alexandro) Jodorowsky, dit « Jodo », né en février 1929 à Tocopilla (Chili), est un réalisateur, acteur, auteur d’une poignée de films ésotériques, surréalistes et provocateurs ; il est également auteur de « performances » Panique (groupe actionniste qu’il crée avec Roland Topor et Fernando Arrabal), mime, romancier, essayiste, poète et prolifique scénariste de bande dessinée.
En 1953, il quitte le Chili pour Paris, et travaille avec le mime Marceau ainsi que Maurice Chevalier.
En 1962, il crée le groupe Panique avec Roland Topor et Fernando Arrabal, en réaction au mouvement surréaliste.
En 1965, il fonde au Mexique le théâtre d’avant-garde de Mexico. Il y tourne deux films, El Topo et La Montagne sacrée, ce dernier inspiré du Mont Analogue de René Daumal.
À partir des années 1980, il anime dans divers lieux de Paris (comme une université, un bar ou un dojo) une réunion ouverte hebdomadaire, intitulée « Le Cabaret mystique », où il témoigne — dans l’esprit d’une agora ouverte à ses auditeurs — de thèmes touchant à l’éveil intérieur comme la pratique du zen (qu’il étudia avec Ejo Takata), les arts martiaux, la tradition chilienne, l’héritage spirituel de l’humanité, le massage, la « sagesse des blagues », la psychanalyse, Carlos Castaneda…
Les univers qu’il développe sont en général des univers de science-fiction, voire des mondes fantastiques. Ses histoires se caractérisent par la présence de nombreuses métaphores et symboles, auxquels il mêle souvent une description sociale ; l’on pense par exemple aux révoltes contre la dictature dans L'Incal, la reconstitution de la colonisation du Mexique par les conquistadores (des crapauds dans La Montagne sacrée) ou encore la description des bas-fonds d’une grande ville et des religions populaires dans Santa sangre.
Son parcours singulier est retracé dans deux ouvrages autobiographiques, Le Théâtre de la guérison et La Danse de la réalité (Albin Michel).
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