Alex Ross

Ce récit est une somme qui, dès sa parution, par son ambition et la qualité de ses artistes, est venue directement se placer aux côtés des chefs-d'oeuvre d'Alan Moore au panthéon des comics. Ambitieux, bien qu'inégal dans son développement, moins complexe que les Watchmen tout en surfant sur les mêmes principes, aussi respectueux des personnages que le monumental Crisis on Infinite Earths qui avait en son temps redéfini l'univers DC, Kingdom Come est la chronique d'un échec annoncé et baigne ainsi, à l'instar des référents suscités, dans un pessimisme de bon aloi, se plaçant en porte-à-faux avec les idéaux personnifiés par ces héros créés il y a plus de 50 ans. Aujourd'hui, un personnage aux caractéristiques de Superman n'a de valeur que lorsqu'une faille est décelée : il est sinon trop lisse, trop prévisible pour conférer de l'intérêt aux histoires dont il est le protagoniste. Lors, à partir du moment où vous acceptez de le voir descendu de son piédestal, brisé dans sa fierté et son assurance non pas par l'entremise d'un engin de mort, d'un piège à kryptonite ou encore de la magie, mais bien par l'incapacité d'assumer les choix qu'il a dû faire, le scénario devient d'un seul coup plus riche en possibilités.

Cette série est faite pour les fans Marvels qui ont une certaine culture et beaucoup de connaissance sur les univers des personnages. Ne l'ayant pas je n'ai pas tout compris et c'est bien dommage ! On sent pourtant une dynamique qui semble différente des autres comics du genre :)

Je dois avouer avoir eu un immense coup de cœur pour ce comics. En effet, l’œuvre nous plonge en plein. Cœur de la seconde guerre mondiale et présente l’image d’un Captain loin de l’image net et lisse que propose son interprète Chris Evans dans Avengers, mais qui n’est non plus pour déplaire.

Je suis simplement fier d’être allé jusqu’au bout. Ce bouquin est un peu comme le yaourt au fruits des bois: on mélange tout et on secoue. Au final on ne distingue pas de goût particulier et ce n’est pas bon. Mais comme disait ma mère: faut pas gâcher et on finit son assiette!

Une bonne histoire de Justice League dépassé par des supers vilains Spoiler(cliquez pour révéler)qui ce trahissent les uns les autresAvec un finale très intéréssant.

Bien

l'humour était un peu absent, ( venant d'un dc assez logique), mais j'y ai apprécié les rares moments d'humour.

les dessins sont magnifiques, probablement tous fait mains, donc la texture de la couleur est assez perturbante au début.

l'histoire était intéressante, nous découvrons pas mal de nouveaux personnages, nous revoyons tous les plus connus.

Bordel !

C'est une œuvre d'art cette BD, ce n'est pas dessiner, c'est carrément peint (c'est écrit dans le tome intégrale), même le dessinateur était énervé pour faire un truc qui irait au-delà !!!

C'est magnifique !! Et tout est logique et construit. Leur pouvoir leur a monter à la tête, enfin pas vraiment. Avec l'âge, la notoriété et la puissance pour certain, qu'est ce qu'ils sont devenue prétentieux ! C'est tellement logique, tellement naturelle.

Ils essaient d'éduquer la nouvelle génération qui fou le bordel ! Ça marche pas très bien, du coup c'est encore plus le bordel.

Fan de DC, achetez le bordel ! (ça fait beaucoup de bordel dans mon commentaire dans ce bordel.... bordel !)

Je n’avais lu ce comics et je suis contente d’avoir découvert ce nouvel univers regroupant ce groupe de héros

Les dessins sont beaux et le scénario est top.