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Commentaires sur ses livres

Alexander Kent

Par ceaime2B le 21 Avril 2021 Editer
ceaime2B
Et voila! le 22ème d'une série qui en compte au moins 23 et que j'ai commencée il y a bientôt 3 ans. Contre toute attente je décide d'en rester là car je crains fort le le prochain tome soit fatal au personnage principal; l'amiral Richard Bolitho, que j'ai connu jeune aspirant de marine.
Alors, forcément je commence à m'attacher.
Sinon, l'aspect répétitif des situations de crise, des épisodes sentimentaux et des nombreuses batailles navales n'a pas réussi à me lasser. Chez Alexander Kent il y a tout ce qui est écrit, plutôt bien écrit, mais il y a aussi tout ce qui ne l'est pas, tout ce qu'il n' a pas besoin d'écrire pour nous faire ressentir les choses.
Ce fut peut-être un peu long parfois mais tant pis.
C'était bien!
A propos du livre :
La Croix de Saint Georges
La Croix de Saint Georges
Par ceaime2B le 3 Février 2021 Editer
ceaime2B
Et voici le 21ème tome de la saga Bolitho!
Les histoires se ressemblent ..... mes commentaires également.
Notre auteur connait bien la marine de guerre de l'époque napoléonienne. Ses talents de conteurs sont authentiques et j'aime surtout me retrouver dans cette ambiance "so british" où le respect du protocole, la discrétion et la pudeur des sentiments, tout en retenu, étaient érigés en mode de vie chez une certaine catégorie sociale.
A part ça nous voyons vieillir notre personnage principal. Nous sommes en 1811; trente huit ans se sont écoulés depuis son premier embarquement. Une vie sur la mer!
quant à moi, ça doit bien faire 3 ans que connais sir Richard!
Forcément ça crée des liens;
A propos du livre :
Au nom de la liberté
Au nom de la liberté
Par Vakx le 2 Janvier 2021 Editer
Vakx
Très déçu par les deux derniers Bolitho que j'ai lu. L'histoire n'a aucun intérêt. De bien mauvais romans harlequin. Les intrigues et les rebondissements sont à mourir de rire. Commentaires ajoutés sur mon téléphone et donc succinct. Regrette O'Brian et CS Forester
A propos du livre :
Toutes voiles dehors
Toutes voiles dehors
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Une fin de cycle. Comme depuis plusieurs épisodes maintenant, les combats qui ont fait le sel de cette série sont réduits à la portion congrue. Les scènes de romance sont légions et ce n'est pas pour cela qu'on va naturellement vers des romans d'aventures maritimes sous section marine de guerre.
Les déboires de Catherine n'ont aucun intérêt

Reste un petit intérêt historique sur la fin de règne de Napoléon.
Reste à espérer qu'avec le passage définitif sur Adam, on retrouve le souffle et la puissance qui avaient fait le succès de la série à ses débuts.

A résumer en une seule phrase :
Richard Bolitho est mort, vive Adam Bolitho.
A propos du livre :
Le Sabre d’honneur
Le Sabre d’honneur
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
On ouvre sur la cours martiale d'Adam Bolitho qui a perdu son Anemone contre l'USS Unity. Puis la fine équipe, Adam, Richard et Val Keen filent sur Halifax. La guerre se déroule désormais contre les USA et c'est là que se passe l'action.

Notre Dick la chance fait presque de la figuration dans ce tome. Une belle présence des personnages secondaires et un retour des fantômes du passé. Bolitho est désormais l'homme à abattre et les Yankees n'auront de cesse de l'avoir. Mais il n'est pas arrivé là par hasard.
Quant à Adam, il doit faire face à ses démons et se retrouve Capitaine de Pavillon de Keen. le spectre de Zenoria hante leur relation.

Comme tous les derniers tomes, je suis désormais en lecture automatique. Un début très lent, un milieu plus puissant, mais il n'y a plus la magie des débuts. Il faut un retour aux sources.
A propos du livre :
La Croix de Saint Georges
La Croix de Saint Georges
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Bolitho va être promu Amiral plein et se voit envoyer au large des USA. Nous sommes fin 1811 et l'action se déroule tout au long de l'année 1812. La guerre entre les USA et l'Angleterre est déclarée.

Après une très longue mise en place de presque un tiers du roman, on embarque enfin sur l'Indomptable. Si Richard reste le personnage principal on parle de plus en plus d'Adam, commandant une frégate. La relève est proche.
Plus nerveux que l'épisode précédent. Un bon cru de fin de cycle.
A propos du livre :
Au nom de la liberté
Au nom de la liberté
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
809-1810, l'histoire tourne autour des préparatifs de la conquête par les anglais de l'île Maurice occupée par les français(dont l'histoire nous dit qu'elle sera réussie).

Mêmes ressorts que le livre précédent. le Vice-Amiral Richard Bolitho et sa charmante Catherine, le capitaine de vaisseau Adam Bolitho et son Anémone (là c'est sa frégate, pour l'histoire d'amour, voir Zénoria, femme de Valentine Keen, donc amour interdit et contrarié. Zut). Un peu plus de bruit et de fureur que dans « Par le fond ». Les Américains s'en mêlent et quelques inimitiés à l'Amirauté rendent la tâche moins aisée. Mais bon, quand Bolitho était un subordonné, c'étaient ses supérieurs qui étaient incompétents, maintenant qu'il est le patron sur la mer, c'est le contraire. Faut bien qu'il continue à gagner malgré les embûches et la mort de plus en plus d'heureux élus (la dream team de Bolitho au fil des ans). Mais ça sent le sapin pour notre héros qui s'affaiblit de tome en tome… (Plus que trois pour les initiés).

Je reste sur ma phrase de conclusion du précédent opus : Instructif ? Non, épique ? Non. Éblouissant, saisissant ? Non. Oui, c'est monotone, mais finalement j'aime bien la monotonie, c'est reposant.
A propos du livre :
Une mer d'encre
Une mer d'encre
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
On ne change pas une équipe qui gagne la monotonie.
Nous sommes en 1808, rien de spécial sur les eaux. L'action se passe au Portugal et en Espagne, et on n'ira pas.

Après la débâcle de Copenhague, Herrick doit passer en cours martiale. Après ce petit intermède sympathique nous voguerons sous de meilleurs cieux avec Bolitho et sa maîtresse, la délicieuse Catherine, direction le cap, et puis finalement non, les péripéties maritimes feront que nous irons aux Antilles.

Adam Bolitho, désormais Capitaine de Vaisseau confirmé prend quelques chapitres. L'auteur introduit doucement son nouvel héros, nous préparant à la disparition du désormais trop haut gradé Richard Bolitho pour qu'il lui arrive moult aventures palpitantes. (Mais encore quatre livres avant la délivrance).
Allez, je suis taquin. Ce nouvel opus est une douce berceuse maritime. le clapotis de l'eau nous emmène langoureusement pour un charmant petit voyage romantique à travers les océans à peine ponctué de quelques cadavres bien sanglants de marins découpés par des boulets assassins.

Instructif ? Non, épique ? Non. Éblouissant, saisissant ? Non. Oui, c'est monotone, mais finalement j'aime bien la monotonie, c'est reposant.
A propos du livre :
Par le fond
Par le fond
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Monotone.

On débute en février 1806. Quatre mois après Trafalgar, bataille à laquelle Bolitho a participé, rendant la victoire (funeste) de Nelson possible.
Nous aurons droit au siège du Cap de Bon espérance suivi d'un retour dans les eaux danoises.

Un épisode avec beaucoup de souvenirs et beaucoup de remplissage. Les amours de Bolitho prennent une place de plus en plus conséquente à mon grand désespoir, pour ne laisser qu'une trop petite part à l'action et au feu de l'ennemi.
Je me suis limite ennuyé en attendant des morceaux plus savoureux et en espérant des jours meilleurs pour notre héros.
A propos du livre :
Un seul vainqueur
Un seul vainqueur
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Une nouvelle histoire de Bolitho suivant son cours, dans un petit train-train habituel sans heurs mais sans trompette et se décomposant en deux parties :

Antigua 1804 : le vice-Amiral Sir Richard Bolitho est envoyé dans les Antilles à bord de son vieil Hypérion. Initialement devant finir sa vie comme ponton, mais ayant repris du service, vu les événements (un vieux avec un vieux bateau, un peu comme Nelson et son HSM Victory). Sa mission, s'emparer d'un trésor, de l'or des Espagnols. Il y retrouvera aussi Catherine "Kate" désormais vice-comtesse Somervell et vu l'état de son mariage avec Belinda...
Gibraltar 1805 : Tous les passionnés savent : octobre 1805 : La bataille de Trafalgar. Notre bon Bolitho n'y participera pas, mais fera malgré tout le coup de main avec son escadre pour empêcher un regroupement qui aurait pu être fatal à Nelson. (Disons qui aurait pu transformer une victoire en défaite vu que le vice-amiral préféré des Anglais n'y survivra pas).

Notre héros n'a désormais plus personne au-dessus de lui en mer. Et que la solitude pèse au sommet de la pyramide. Et malheureusement, elle nous emmène un peu également. Deux petits coups d'éclat, deux petites batailles tant attendues et assez vite expédiées. Encore quelques démêlés conjugaux... La routine quoi. J'ai trouvé que cela manquait un peu de complexité politique à défaut d'un peu d'action.
Malgré tout, un petit épisode qui reste agréable à lire. Bolitho évolue, lentement, mais il évolue. L'auteur continue à nous bercer de sa prose maritime. On va devenir de vrais professionnels de la marine à voile du dix-neuvième siècle.

La suite : un seul vainqueur.
A propos du livre :
À l’honneur ce jour-là
À l’honneur ce jour-là
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Du mou dans les voiles.

Le vice-amiral Richard Bolitho est désormais Sir Richard. Anobli par la reine suite à ses exploits dans le tome précédent.
Nous sommes mi septembre 1803. La paix d'Amiens a fait long feu et la flotte anglaise désormais sous-dimensionnée va avoir fort à faire.
Notre héros est envoyé, aux commandes d'une petite escadre de quatre soixante-quatorze (dont son vaisseau Amiral, l'argonaute, pris aux français), une frégate, un brick et un cotre à hunier, en méditerranée.
Il y retrouvera son nouvel ennemi : le contre-amiral Joubert, un officier général français compétent et désireux de prendre sa revanche.
Mais au passage, avec Val Keen, son capitaine de pavillon, ils vont devoir embarquer une passagère bien spéciale, qui va pimenter cette aventure.

Oui, du mou dans les voiles. Après un épisode tonitruant et haut en couleur, ce nouvel opus est plus intimiste et
fait une grande part aux atermoiements amoureux de nos héros. Bon ce n'est pas la première fois que les femmes font irruption dans la vie de nos marins, et souvent à bord des vaisseaux du roi d'ailleurs, mais à part quelques batailles et coups d'éclats (indispensables et indissociables de cette série), on a l'impression que tout tourne autour des problèmes conjugaux de Bolitho et Belinda (et quand on connaît un peu la vie (fictive) de Sir Richard, on sait ce que cela donnera) et de la « romance » naissante entre Keen et Zénoria (notre passagère spéciale).
L'ensemble reste agréable à lire et le personnage principal est bien obligé d'évoluer tant dans sa carrière que sa vie personnelle, vu que ses aventures sont calquées sur des faits réels, mais on le préfère aux commandes de batailles flamboyantes, plutôt qu'aux commandes d'un épisode tout mollasson...

Tome suivant : A l'honneur ce jour là.
A propos du livre :
Flamme au vent
Flamme au vent
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
La paix ? Pas pour tout le monde dans ce quatorzième tome dans l'ordre d'écriture.

Nous sommes en 1802, la paix d'Amiens vient d'être signée après neuf ans de guerre contre la France et ses alliés. Mais à peine rentré, Bolitho reçoit ses nouveaux ordres : Embarquer pour les Antilles afin de restituer l'île de San felipe aux français tel que le prévoie le traité de paix. Avec en plus une promotion à la clé : Vice-Amiral.
Et voici notre héros embarqué à bord du HMS Achate, deux ponts de 64 canons.
Mais il y a un hic : Si c'était une mission de pure routine, l'amirauté aurait envoyé quelqu'un de plus haut gradé. Mais là, si cela tourne mal, les boucs émissaires seront tout trouvés.
Et en effet, d'autres joueurs s'invitent dans la partie entre Français et Anglais et la mission simple au départ se retrouve vite être un sac de noeud politique avec canonnade à la clé...

J'avais dans ma critique du tome précédent dit qu'un peu plus de sang de fureur, d'orages de mitraille et d'éclisses volantes arrachées par des boulets ravageurs n'auraient pas nui ? Mon voeu est exaucé. Ce tome est mené tambour battant et même quand on croit que c'est fini, il y en a encore.
Action et politique dans un savant mélange détonnant font de ce tome une réussite.

La suite : Flamme au vent.
A propos du livre :
Honneur aux braves
Honneur aux braves
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Treizième tome dans l'ordre d'écriture et quinzième dans l'ordre chronologique (mais est-ce bien utile de le savoir à ce niveau là ? ).

Nous sommes en été 1801, une année riche en événement puisque trois mois seulement après la bataille de Copenhague (voir Cap sur la Baltique) et juste avant les préliminaires de paix entre la France et l'Angleterre le premier octobre (devant conduire à la paix d'Amiens en mars 1802). Huit ans de guerre déjà et pour négocier cette paix provisoire (elle ne durera pas puisque dès mai 1803 la guerre reprendra), il faut marquer des points.
Voilà donc notre Contre-Amiral envoyé commander les forces de blocus de Belle-Ile dans le golfe de Gascogne avec pour objectif la destruction de la flotte de débarquement de Napoléon.
Mais les événements et la politique font que Bolitho n'a pas le droit à l'erreur et s'il échoue, c'est en bouc émissaire qu'il reviendra au port.

Une nouvelle épreuve pour Dick Egalité (l'emprisonnement).
Une vision plus large des faits que dans le tome précédent ( voir le feu de l'action) grâce à la position de pouvoir de Bolitho, mais un tome plus calme, plus cérébral. le plaisir de la lecture reste intact avec quelques beaux morceaux de bravoure, mais un peu plus de sang de fureur, d'orages de mitraille et d'éclisses volantes arrachées par des boulets ravageurs n'aurait pas nui.

La suite : Honneur aux braves, en pleine paix ? Gageons que nous trouverons quelques moyens de mettre à contribution notre héros maritime préféré.
A propos du livre :
Victoire oblige
Victoire oblige
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Onzième tome des aventures de Richard Bolitho (quatorzième dans l'ordre chronologique).

L'histoire se passe entre septembre 1800 et mi 1801.
Trois événements d'importance (pour cette partie de l'histoire) : Les britanniques conquièrent Malte au dépend des français, ce qui semble grandement irriter les russes. L'acte d'Union de l'Irlande au Royaume-Uni est voté, ce qui empêchera les Français d'éventuellement y fomenter des troubles pour affaiblir les anglais et enfin, Nelson défait la flotte danoise-norvégienne au cours de la bataille dite de Copenhague.

La guerre contre les Français dure depuis sept ans. Nelson les a défait à Aboukir grâce à l'action de Bolitho désormais contre-amiral.
Ce dernier se retrouve à la tête d'une escadre de quatre soixante-quatorze, deux frégates et une corvette pour un total de 3.000 hommes et hissera sa marque en haut du mât d'artimon du Benbow, un bâtiment de ligne commandé par son fidèle ami et ancien second Herrick.
Il part pour la Baltique où la Russie, courtisée par les français reconstitue la ligue de neutralité armée (ligue du nord) préjudiciable aux Britanniques avec le résultat que l'on sait.

Bolitho est à nouveau aux commandes. Intéressante cette sensation. Plus notre Dick est haut dans la hiérarchie, plus on a l'impression que le roman est mature, abouti et plus profond que lorsqu'il n'est que simple exécutant à bord d'un navire. En même temps, on a ainsi une vision plus globale, mêlant action et politique et cet opus est particulièrement riche en événements avec un bon équilibre entre action et réflexion.
Une nouvelle épreuve attend notre héros, à nouveau touché dans sa chair. Mais en contrepartie, son coeur va se remettre à battre...

Oui, vraiment, un excellent tome.
A propos du livre :
Cap sur la Baltique
Cap sur la Baltique
Par Fnitter le 14 Février 2020 Editer
Fnitter
Une aventure menée tambour battant.

Septième tome dans l'ordre d'écriture, mais treizième dans l'ordre chronologique, combat rapproché fait suite au tome intitulé Capitaine de pavillon.
L'histoire débute en janvier 1798. Bonaparte tente de contrer la suprématie Anglaise en méditerranée orientale et veut lui couper la route des indes. Ce tome se passe avant la bataille d'Aboukir (premier août 1798), où la flotte française sera défaite par Nelson, comptant plus de 5000 morts contre six fois moins d'Anglais.

On ouvre sur Thomas Herrick, Capitaine de Pavillon du désormais Commodore Bolitho, sur le Lysandre, un deux ponts de 74 canons. Cela débute comme une réunion de famille à Gibraltar où l'on retrouve de nombreux protagonistes des tomes précédents.
Bolitho est désormais à la tête d'une escadre de 5 bâtiments (3 vaisseaux de ligne, une frégate et une corvette) comptabilisant près de 5000 hommes. Un commandement qui aurait pu revenir à Nelson si ce dernier n'avait pas perdu un bras entre temps. C'est dire de la confiance que l'Amirauté porte à Bolitho pour cette mission en méditerranée, pour tenter de découvrir ce qu'y prépare Boney...

C'est le premier tome de la série où Bolitho se retrouve véritable patron, au commande de son escadre, sans supérieur grincheux et incompétent pour venir lui ch... dans les bottes. Les affres du commandement, seul à décider, l'ultime responsabilité des actes entrepris par l'escadre, des décisions qui peuvent faire pencher la balance de tout un pays dans cette mission ô combien importante.
Un tome où les combats et les coups d'éclats s'enchaînent à un train d'enfer, sans répit pour le lecteur balloté d'une bataille à l'autre, mais sans négliger pour autant la construction du roman et la psychologie des personnages.

Bref un excellent tome, mais ils le sont tous jusqu'à présent...
La suite de mes lectures : A rude école, tome écrit un an après celui-ci mais qui reviendra aux tous débuts de Bolitho.
A propos du livre :
Combat rapproché
Combat rapproché
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