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Passionné par l’écriture, il décide après sa thèse de se consacrer à la rédaction de Partir, c’est mourir un peu, son premier roman abouti. Nourri d’une documentation pléthorique et sérieuse et de l’intérêt de l’auteur pour la Russie impériale, cet ouvrage se veut un hommage assumé à l’empereur Nicolas II et à sa famille.
Lecteur assidu, il puise notamment son inspiration parmi les grands et petits maîtres de la littérature du XIXe siècle, et doit beaucoup de sa vision de l’écriture à un quatuor d’écrivains et d’ouvrages découverts très jeune : Tess d’Urberville de Thomas Hardy, pour la beauté des descriptions rustiques et le sens du drame ; Fabiola du cardinal Nicholas Wiseman, pour le remarquable mélange entre la fiction et la non-fiction ; Tarass Boulba de Nikolaï Gogol, pour la truculence de la plume et la verve des personnages ; Aventures de terre et de mer de Benedict-Henry Révoil pour le goût du pittoresque et de l’évasion.
Pour lui, un bon roman échappe à l’immédiateté de la mode. Il doit pouvoir se lire à n’importe quelle époque avec le même plaisir et réunir trois qualités primordiales : divertir, émouvoir et enrichir le lecteur.
Site internet de l'auteur:
http://alexandre-page.mozello.fr/