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Toutes les séries de Alexis De Tocqueville

2 livres
76 lecteurs

Tout dans l'oeuvre de Tocqueville se rattache plus ou moins directement à un problème unique : dans les sociétés occidentales entraînées par un processus providentiel de démocratisation, la liberté de chaque homme pourra-t-elle subsister ? Si l'idée centrale est une, les périls dénoncés sont multiples, et depuis 1930 les commentateurs ont mis l'accent sur tel aspect ou tel autre. D'abord, au temps des fascismes occidentaux, ils ont valorisé le refus du totalitarisme, sacrifice de la liberté à un égalitarisme brutal. Depuis la chute de ces régimes, ils ont paraphrasé la vision de Tocqueville des périls insidieux d'une société de consommation qui invite chaque citoyen à se retirer dans le confort d'une vie privée dépourvue de toute solidarité ; et ils ont mis en valeur les pages où Tocqueville montre le danger corrélatif de la substitution aux décisions librement discutées, d'un bureaucratisme tout-puissant et stérile. Tocqueville, observant l'enfance des démocraties modernes, y avait diagnostiqué les germes de maux qui se sont développés avec leur croissance.

3 livres

Tous les livres de Alexis De Tocqueville

Voyageant en Irlande avec son ami et complice Gustave de Beaumont, Alexis de Tocqueville (1805-1859) enquête sur la réalité sociale d'un pays en proie à des luttes qui relèvent de clivages religieux entre les protestants, fidèles à l'Angleterre, et les catholiques, qui veulent voir leurs droits élémentaires reconnus. C'est l'occasion pour lui de poursuivre son oeuvre d'analyste scrupuleux des sociétés contemporaines en pleine mutation. La modernité de son propos est saisissante !

Ce livre porte exclusivement sur la société française à la veille de la Révolution. Il apporte un nouveau regard sur cette période en voyant la Révolution non pas comme une rupture mais comme l’aboutissement d’un processus engagé depuis des siècles et dont l’achèvement est la centralisation de l’État. Pour lui, le phénomène anti-religieux n’a été en France que pour des raisons spécifiques car comme le démontre De la démocratie en Amérique, rien n’oppose la religion et la démocratie et si lutte contre l’Église il y eut, ce fut avant tout lutte contre l’entité politique. Ainsi, la lutte contre les prêtres fut contre les propriétaires, les seigneurs et les administrateurs. La Révolution française n’est donc absolument pas un événement fortuit même si elle prit le monde à l’improviste. « Si elle n’avait pas eu lieu, le vieil édifice social n’en serait pas moins tombé partout, ici plus tôt, là plus tard ; seulement il aurait continué à tomber pièce à pièce au lieu de s’effondrer tout à coup. » La Révolution n’est donc pas un accident, elle est conséquence de ce qui lui précède. L’analyse des cahiers de doléances démontre que l’ensemble des requêtes mis en commun demande en réalité la destruction du régime. Il n’y a pas d’unité des demandes. Cette étude montre bien le stade de contradiction interne auquel la société féodale était arrivée en France.

" Nous nous demandions par quelle singulière loi de la destinée, nous, qui avions pu marcher dans des déserts de fabrique humaine, nous, enfants d'un vieux peuples, nous étions conduits à assister à l'une des scènes du monde primitif, et à voir le berceau encore vide d'une grande nation. Dans peu d'années ces forêts impénétrables seront tombées, le bruit de la civilisations et de l'industrie rompra le silence de la Saginaw. Son écho se taira. Des quais emprisonneront ses rives? Cinquante lieues séparent encore cette solitude des grands établissements européens ; et nous sommes peut-être les derniers voyageurs auxquels il ait été donné de la contempler dans sa primitive splendeur. Tant est grande l'impulsion qui entraîne la race blanche vers la conquête entière du Nouveau Monde ". Alexis de Tocqueville

Dans ce mémoire présenté en 1835 à la Société académique de Cherbourg, de Tocqueville analyse la gestion de la pauvreté dans la société modrene divisée en plusieurs 'classes sociales' .

Pour ce faire, il remonte jusqu'au XIIème siècle où seules deux catégories existaient : ceux qui possédaient la terre et ceux qui la travaillaient... Alexis de Tocqueville est l'une des plus grandes références de la philosophie politique libérale.

Dans la première moitié du XIXe siècle, alors que la plupart des pays du Nouveau Monde renoncent à l'esclavage et que l'Angleterre l'abolit à son tour, la France ne semble pas pressée de mettre fin à une pratique profondément ancrée dans les colonies, mais qui paraît bien abstraite vue de Paris. Après avoir été le témoin attentif de la démocratie en Amérique, Tocqueville devient député, rapporteur parlementaire sur les questions de l'esclavage et des colonies.

Les textes rassemblés ici permettent d'éclairer un aspect méconnu de sa pensée : ils relèvent davantage du réalisme politique que du libéralisme qu'il est d'usage de prêter à leur auteur. Où l'on verra également que l'abolitionnisme français est varié, qu'il est loin d'être toujours guidé par une pure philanthropie et que ses ardents défenseurs s'intéressent beaucoup plus aux idées qu'aux hommes - surtout quand ceux-ci ne sont pas européens.

Cet ouvrage se prolonge par un commentaire original et passionnant de Seloua Luste Boulbina, agrégée de philosophie et docteur en sciences politiques, responsable de séminaire au Collège international de philosophie et à l'Institut d'études politiques de Paris. Après avoir édité les écrits de Tocqueville Sur l'Algérie (Garnier-Flammarion, 2003), Seloua Luste Boulbina a notamment publié Le Singe de Kafka et autres propos sur la colonie (Parangon, 2008).

En 1841, lorsque Tocqueville se rend pour la première fois en Algérie, l'occupation française dure depuis onze ans. Cette guerre coûteuse mobilise des effectifs militaires importants et divise le camp politique: certains exigent le retrait des troupes françaises, d'autres préconisent une occupation limitée, d'autres enfin sont en faveur de l'extension de la domination et de la colonisation des territoires occupés. Tocqueville, qui a déjà constitué une abondante documentation sur l'Algérie, est nommé membre d'une commission extraordinaire: il part enquêter sur place, en 1841 et 1846, parcourt le pays, visite les villages, et rencontre les principaux acteurs français sur le terrain. Dans les textes relatifs à ces voyages présentés ici, Tocqueville se prononce pour la colonisation, quel que soit son prix: razzias et tribunaux d'exception lui paraissent en effet relever du droit de la guerre. Longtemps ignorés, ces textes sont un outil précieux pour comprendre l'histoire de la colonisation française en Algérie.

"J'avoue que dans l'Amérique j'ai vu plus que l'Amérique; j'y ai cherché une image de la démocratie elle-même, de ses penchants, de son caractère, de ses préjugés, de ses passions." La gloire de Tocqueville n'est pas seulement celle d'un analyste politique exceptionnel; c'est aussi depuis la récente redécouverte de son œuvre, celle d'un philosophe politique qui serait en même temps un classique de la sociologie, et qui pourrait aider à comprendre les problèmes qui se posent constamment dans les démocraties modernes.

L'égalité des conditions, l'individualisme, le "despotisme" démocratique, les relations entre maîtres et serviteurs, l'esprit de liberté et l'esprit de religion, autant de notions qui dessinent aujourd'hui encore les contours d'une philosophie de la démocratie.

4e de couverture

Du voyage en Amérique qu'il effectue au début des années 1830, Tocqueville tire ce qui deviendra, dans la riche littérature politique du XIXe siècle, l'une des oeuvres les plus lues et les plus commentées. Car l'étude des institutions de la jeune république américaine lui inspire une véritable philosophie de la démocratie, toujours nuancée et souvent visionnaire. Comment accorder l'égalité et la liberté, exigence centrale pour un régime démocratique ? Quels sont les effets pervers de ce système politique et les moyens de s'en prémunir ? Les réponses de Tocqueville à ces questions essentielles n'ont cessé de nourrir les réflexions des générations ultérieures, jusqu'à trouver leurs prolongements dans les débats citoyens d'aujourd'hui.

Dossier :

1. Sur les valeurs d'égalité, de fraternité et de souveraineté

2. Les perversions de la société démocratique : entre désordre et uniformisation

3. L'exercice du pouvoir démocratique : tyrannie de la majorité et despotisme pastoral

4. Les remèdes à la centralisation.

(Source : Flammarion)

Alexis de Tocqueville, qui était entré dans la vie politique en 1839, se trouvait au moment de la révolution de Février dans la force de l’âge et dans toute la maturité de son talent. Résolu à se consacrer à la défense des intérêts de la société et du pays, il s’engagea dans la lutte et fut l’un des premiers, parmi ces hommes de grand cœur et de bonne foi, qui tentèrent alors de maintenir la république dans des voies sages et modérées, en évitant pour elle le double écueil du césarisme d’un côté et de la révolution de l’autre : périlleuse et ingrate entreprise, dont un esprit aussi clairvoyant que le sien ne pouvait se dissimuler les difficultés et dont il présageait de bonne heure l’éphémère durée.

Envoyés en 1831 aux États-Unis pour y étudier le système pénitentiaire américain, Alexis de Tocqueville et Gustave de Beaumont tireront de ce voyage un rapport intitulé Du système pénitentiaire aux États-Unis et de son application, qui paraît en 1833, dans lequel ils portent un jugement global sur la capacité des pénitenciers à réformer les criminels qui y sont enfermés.

La première édition historico-critique d'un des textes fondateurs de la philosophie politique libérale, accompagnée d'un appareil critique inédit.

Écrits datant de 1831 à 1859 datant de son voyage en Amérique et après son retour en Europe

Droits de l'homme, peine de mort, indépendance des juges, redistribution des richesses, inégalités sociales: la justice est au coeur du débat politique contemporain. Institution chargée de réguler la vie des individus en société, elle est aussi une vertu, voire la vertu par excellence, et un idéal, qui nourrit les révolutions et donne sens à la démocratie. Mais quels sont ses fondements et ses fins ultimes? Et comment remédier aux difficultés inhérentes à sa mise en oeuvre? La justice humaine, on le sait, est imparfaite et relative - ses lois sont changeantes et peuvent être injustes; elle commet des erreurs; parfois, elle n'est rien d'autre que le masque des plus forts. Et pourtant elle demeure, ainsi que l'écrit Camus, une priorité absolue: "Qu'est-ce que sauver l'homme? Je vous le crie de tout moi-même, c'est donner ses chances à la justice, qu'il est le seul à concevoir."

Cette anthologie rassemble les plus grands textes sur la justice, de Platon à Ronald Dworkin, en passant par saint Augustin, Hobbes, Pascal, Rousseau, Marx, Hannah Arendt, Michel Foucault ou encore John Rawls.

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