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Tous les livres de Alexis Jenni

« J’allais mal ; tout va mal ; je me désinstallais, j’attendais la fin. Quand j’ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l’avait faite tout entière la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n’arrive pas à finir, il avait parcouru le monde entier avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu’aux coudes. Mais il m’a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l’armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m’apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire.

Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l’art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l’émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue. »

L’histoire commence avec la première guerre du Golfe : le narrateur, en pleine crise personnelle, fait la connaissance d’un ancien militaire devenu peintre, Victor Salagnon. À travers les souvenirs de Salagnon défilent cinquante ans d’histoire de France revue à travers le fait militaire : la Deuxième guerre mondiale, l’Indochine, l’Algérie… Au-delà du récit d’une amitié entre deux hommes, une interrogation sur la France contemporaine, en dehors de toute idéologie.

Où trouver un sens à l’existence ? En croyant dans la vie éternelle gagnée au prix d’une espérance bien réglée ? En explorant toute la carte des différentes traditions spirituelles ? Alexis Jenni propose plutôt de réaliser que tout est déjà là, sous nos pas, dans la marche fluide d’un corps en mouvement porté par son désir, guidé par son goût.

Dans cet essai vif, nourri par une foi chrétienne redécouverte tard, Alexis Jenni mêle à une réflexion profonde le récit d’expériences où le sens surgit d’un détail. Il traque l’au-delà sur le sol ferme de nos sensations. Car tel est le sens du verbe croire, tel est son effet, lorsqu’il se conjugue avec nos cinq sens. Croire n’est pas savoir, c’est sentir (voir, écouter, sentir, goûter et toucher). C’est aussi ressentir plus intensément chaque instant, c’est encore aimer. Le visage aimé sera ainsi le lieu où il saisira cette présence vive, lorsque le chemin qui mène à soi est celui qui relie à un autre.

Alexis Jenni, prix Goncourt 2011 pour son roman L’Art français de la guerre (Gallimard), est également l’auteur d’Élucidations. 50 anecdotes (Gallimard, 2013). Il publie des chroniques mensuelles dans le magazine La Vie et a dirigé l’ouvrage « Le Monde au XXIIe siècle, utopies pour après-demain » (collection « La vie des idées », PUF, 2014).

A Walenhammes, dans le nord de la France, les mines et le haut-fourneau ont fermé. Le maire, Georges Fenycz, tente de sauver sa ville du désastre. Charles Avril, journaliste, vient y préparer un reportage. Il y rencontre une maître-nageuse, des hommes qui ont foi en la vie et une petite fille qui tente de lire jusqu'au bout«Les démons»de F. Dostoïevski.

L’écrivain cherche les mots pour écrire une lettre d’amour à la femme qui partage sa vie, pour dire le plaisir de toucher sa peau et pour décrire ses émotions, à travers les tableaux et les peintres qui l’inspirent comme les étoffes sensuelles de Poussin, le mouvement fébrile des corps enlacés chez Bacon, etc.

Utopies pour après-demain

"Pourquoi la critique sociale ne parlerait-elle pas avec la voie de l'utopie ? Peut-elle encore emprunter sa radicalité aux proliférations intellectuelles qui suggèrent une autre manière de vivre, de penser, de créer ? Unis par la volonté de s'affranchir du pessimisme et de la résignation qui brident l'imagination politique contemporaine, les textes de ce livre sont de deux ordres : les uns anticipent le monde d'après-demain les autres se présentent comme des récits rétrospectifs, écrits au XXIIe siècle, des mobilisations qui se déploient sous nos yeux. Les utopies d'aujourd'hui feront sans doute les livres d'histoire de demain."

"Ce livre est présenté par Alexis Jenni, écrivain, Prix Goncourt 2011 pour son roman L'art français de la guerre.

Ce livre a été coordonné par Nicolas Delalande, associate professor au centre d'histoire de Sciences Po, et Ivan Jablonka, professeur d'histoire à l'université Paris-13.

Ont contribué à ce livre Jean Bérard, Matthieu Calame, Jean Gadrey, Alexis Jenni, Michel Parent, Jacques Rodriguez, François de Singly et Yves Sintomer"

Dans le Nord de l'Italie, niché dans les contreforts des Alpes, se trouve le monastère de Bose. Fondé dans les années 1970, dans le souffle du Concile de Vatican II, ce qui aurait pu n'être qu'une utopie spirituelle, où la mixité se joint à l'oecuménisme, est devenu un haut-lieu du christianisme, et son fondateur, Enzo Bianchi, une personnalité médiatique de premier plan en Italie.

Alexis Jenni et Nathalie Sarthou-Lajus n'avaient ni l'un ni l'autre pensé que cette figure spirituelle allait les amener à découvrir une voie pour penser un christianisme pour notre temps et à revisiter les fondements d'une religion de l'amour, de l'hospitalité, et à goûter de nouveau la saveur d'une Parole qui irrigue toute une vie. De cette rencontre avec la communauté de Bose, inspirée par le désir de vivre radicalement l'Évangile, ils ont retenu cette phrase emblématique : « toute vie chrétienne est une vie humaine », une phrase que l'abbé Pierre avait adressée dans les années 1970 au jeune Enzo Bianchi... Depuis, cette communauté incarne ce chemin d'humanisation.

« J’ai vu tout ça. Nous l’avons fait, et on l’oubliera si je ne le raconte pas, personne ne le croira quand il le lira, mais nous l’avons fait. Traverser la mer inconnue, vaincre des armées, détruire nos navires, entrer dans cette ville, nous emparer du grand Montezuma, faire périr ses capitaines pendant qu’il est aux fers, et survivre. Ces grands faits incroyables, nous en sommes les acteurs, mais Dieu seul les préparait sur notre route. Car quels hommes oseraient imaginer tout ça ? Et quels hommes oseraient l’accomplir ? "Nous, Innocent, nous. Dieu si tu veux, mais Il ne m’a rien dit, j’ai tout osé seul, et nous tous l’avons fait." » Avec cinq cents types de hasard rassemblés à Cuba, Hernán Cortés découvre et conquiert le grand empire des Mexicas, dans une suite de prouesses que l’on croirait tirées d’un roman de chevalerie qui tourne mal. Jamais il n’y eut plus grande aventure que celle-ci, et jamais il n’y en aura d’autre, car désormais le monde est clos, connu, fini : il n’y aura plus jamais de Nouveau Monde. Pour qu’on garde cette aventure en mémoire, j’en ai fait le récit.

Élucidations n'est pas un ample roman comme L'art français de la guerre, mais au contraire un recueil de textes très brefs. Cinquante "anecdotes", écrites à la première personne du singulier, qui dessinent peu à peu un paysage mental. Ces textes nous font penser d'abord à un glaneur de souvenirs à la recherche d'impressions fugaces. Mais Alexis Jenni ne cultive pas des sensations universelles, au contraire, il veut révéler ce qu'a de totalement particulier notre expérience individuelle du monde. Tantôt mélancoliques, tantôt absurdes, tantôt amusées, mais jamais monotones. Méditations simples et accessibles, elles témoignent d'un regard étonnamment modeste de l'auteur sur soi. L'enjeu n'est pas ici la connaissance, le savoir. C'est le familier qu'explore Alexis Jenni, qu'il ne quitte jamais - comme Lyon et la Saône où ses pas finissent toujours par le ramener. Une excursion originale et autobiographique hors du roman par l'auteur du prix Goncourt 2011.

"Jean-Paul Aerbi est mon père. Il a eu vingt ans en 1960, et il est parti en Algérie, envoyé à la guerre comme tous les garçons de son âge. Aujourd'hui, je pousse son fauteuil roulant, et je n'aimerais pas qu'il atteigne quatre-vingts ans.

Les gens croient que je m'occupe d'un vieux monsieur, ils ne savent pas quelle bombe je promène parmi eux, ils ne savent pas quelle violence est enfermée dans cet homme-là.

Je vis avec lui dans une des cités qu'il a construites, mon ami Rachid habite sur le même palier, nous en parlons souvent, de la guerre et de l'oubli.

C'est son fils Nasser qui nous inquiète : il veut ne rien savoir, et ne rien oublier. Nous n'arrivons pas à en sortir, de cette histoire."

Né en Écosse en 1838, débarqué à 10 ans dans la région des Grands Lacs, aux États-Unis, le jeune Muir s’échine chaque jour dans les champs et lève parfois la tête pour regarder la nature environnante qui l’émerveille. Le soir, il imagine et crée des objets mécaniques qu’il présente ensuite en ville comme, par exemple, cet appareil pour le sortir automatiquement du lit à l’heure du lever. Très vite, John Muir s’interroge sur le sens de cette vie de labeur, alors qu’il pourrait vivre en autonomie dans la nature. Il quitte le Wisconsin, sillonne le pays à pied du nord au sud et d’est en ouest, participe aux transhumances de bergers isolés, vit en ermite dans les bois, fasciné et nourri par la vie qui l’entoure. Dans la Californie de la ruée vers l’or, on fait fortune en creusant une dette écologique abyssale, que personne ne voit encore. Sauf Muir, qui la pressent grâce à son attention aux hommes et son amour du paysage. Figure mythique aux États-Unis, fondateur des parcs nationaux, sauveur du Yosemite, John Muir posa clairement la question du sens de la vie dans la nouvelle société industrielle et industrieuse et il y a répondu, par son mode de vie, en termes tout aussi clairs. Ancêtre du concept d’écologie, il fut, selon Roosevelt, « l’homme le plus libre que j’ai jamais rencontré ».

Peut-on voyager tout en restant chez soi ? Pour répondre à cette question, Anne Bécel, géographe et auteur de guides de voyage côté pile, aventurière côté face, part à la rencontre d’écrivains de renom, grands voyageurs, poètes, artistes, anthropologues et sociologues. Elle a souhaité, à travers ce livre, prendre le contrepied des guides de voyage classiques et écrire le guide dont elle rêvait. Celui qui sera véritablement utile aux voyageurs en partance.

Un anti manuel composé d’écrits inédits de personnalités appréciées du grand public — Sylvain Tesson, Gilles Lapouge, Bernard Ollivier, Isabelle Autissier, Pierre Rabhi, Christian Bobin, Alexis Jenni, Marie-Édith Laval, Olivier Bleys, Kenneth White, Paolo Rumiz, Cédric Gras, David Le Breton, Tristan Savin, Bernard Hermann, Bruno Doucey, Blaise Hofmann, Gaële de La Brosse —, écrit d’une plume alerte et enjouée.

De ces récits naît la certitude que, d’un voyage à l’autre, certaines situations se retrouvent : la confiance au monde, la disponibilité au hasard, la curiosité des autres habitent les voyageurs, en dépit de leurs peurs, de leurs désillusions et des bifurcations incertaines. Il apparaît également qu’il n’est pas nécessaire d’avoir vécu de grands voyages pour se sentir pleinement en « état de voyage » : il est tout à fait possible d’incarner cet état dans notre vie quotidienne.

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"Dans cette ville de cyniques, où personne ne croit en rien de peur de se faire avoir, je voudrais parler de Felice et Noé qui sont les seules personnes de plus de vingt-cinq ans à croire à ce qu'ils vivent. Je voudrais parler de ça, de l'amour d'un homme et d'une femme, parler de l'impossible qui a lieu, parler de ceci qui n'a aucun témoin, de ceci tellement intime qu'il est invisible à ceux qui ne le vivent pas, je voudrais parler de ceci dont on ne peut qu'interpréter les signes ou inventer les scènes. Je voudrais savoir pourquoi deux personnes peuvent rester côte à côte, se frotter longuement l'une à l'autre, et y prendre plaisir ; et continuer pendant des années". Lors d'un été de canicule, secoué par la crise des Gilets jaunes, un romancier désabusé veut croire qu'on peut encore écrire sur le grand amour. Et le vivre. Felice et Noé, une avocate et un dessinateur que tout semble séparer, l'entraînent alors dans le secret de leur couple : le goût du risque, la soif de désir et de beauté. Avec ce roman d'enquête intime, Alexis Jenni choisit la ligne claire et dessine l'amour dans toutes ses dimensions, sensuelle et spirituelle.

Pour la première fois, Alexis Jenni dit avec une sincérité émouvante ce que la vie signifie pour lui : oser apprivoiser la parole lui, qui enfant, " fut muet, puis bègue, puis embarrassé ".

Récit d'un apprentissage, d'un dépassement de soi ou hymne aux mots, et donc à la littérature ? Évidemment, le tout ensemble, intimement et magnifiquement lié. Pour la première fois, Alexis Jenni dit avec une sincérité émouvante ce que la vie signifie pour lui : oser apprivoiser la parole lui, qui enfant, " fut muet, puis bègue, puis embarrassé ". Le romancier et essayiste se donne tout entier à un jeu de cache-cache avec lui-même, dans une recherche non pas de la vérité mais de sa vérité.

Dans une belle énergie, avec l'art de mettre en littérature les émotions les plus infimes, il fouille, creuse, se remémore, s'interroge, appelle d'autres à la rescousse, Camille Desmoulins, Sebastião Salgado, Alain Cuny ; aussi quelques écrivains, Denis Diderot, Valère Novarina, Marcel Proust.

Il raconte la solitude, la honte, la douleur physique, le rouge aux joues et le souffle trop court jusqu'à l'étouffement. Il raconte l'inquiétude sinon l'angoisse de prendre la parole, de prendre place dans le monde des humains. Alexis Jenni lutte contre le silence et s'arme de désir : " L'écriture est la revanche des muets, des bègues et des maladroits ". L'écriture, pour lui synonyme de patience et de labeur, nait de la parole vivante. Elle est une vie commune, un partage.

Un mot de l'auteur

Alexis Jenni est né en 1963 à Lyon, où il a enseigné les sciences de la vie et de la terre. Son premier roman, L'Art français de la guerre (Gallimard), a été couronné par le prix Goncourt en 2011. Romancier et essayiste, il poursuit une œuvre dans laquelle imaginaire et pensée se nourrissent l'un de l'autre.

J’ai aimé la littérature, j’ai aimé les sciences, j’ai aimé les arbres, mais pendant des années, je n’ai pas su allier les trois, chacun de ces amours allait son chemin, sans qu’ils ne parviennent à se croiser. Et puis un été dans les Pyrénées, marchant dans la forêt, c’est venu. J’ai eu envie de parler des arbres, parler à la fois de ce qu’ils sont et de comment nous vivons avec eux. J’ai commencé à écrire sur mon téléphone, en marchant, les gens que je croisais sur le sentier devaient me voir en citadin incapable de regarder autour de lui, alors que j’avais enfin trouvé la façon de raconter ce qui était là.

Je veux parler de ces êtres extraordinaires avec qui nous partageons la Terre, qui sont vivants comme nous mais d’une autre façon, et avec qui nous avons une relation continue à laquelle nous ne pensons pas assez souvent, tant elle nous imprègne, tant elle est profonde. Nous sommes arboricoles au fond, nous vivons avec les arbres depuis toujours. Alors plutôt que d’en faire des êtres anthropomorphes, j’ai voulu dire leur étrangeté, connue par les sciences, mais aussi notre proximité par des anecdotes qui racontent cette place familière, eux auprès de nous, nous auprès d’eux. En prenant ces deux points de vue que la littérature peut mêler, je veux rendre hommage à ces compagnons de vie, à nos colocataires de la Terre, sans qui nous ne pourrions l’habiter.

« Ce livre parle de science, c'est certain ; mais ce n'est pas exactement un livre de science, c'est un livre d'émerveillement devant la science, un livre du bonheur de penser en faisant feu de tout bois, histoire, littérature, et donc aussi avec la science qui donne le bonheur de chercher, découvrir, comprendre, et par là de voir le monde s'enrichir sous nos yeux. »

Alexis Jenni est romancier, alors il raconte les cinq extinctions majeures que notre Terre a connues au cours des cinq cents derniers millions d'années, dont celle des dinosaures, qui est la plus célèbre mais pas la seule. Et il s'interroge sur la sixième, celle d'aujourd'hui, due aux dégâts infligés au vivant par l'activité humaine, dont on peut s'inquiéter qu'elle nous emporte à notre tour. C'est passionnant, ça se lit comme un roman, mais tout y est vrai ; ce qui est encore mieux !

Découvrez sous la plume d'Alexis Jenni le destin hors du commun de l'explorateur polaire qui sauva des milliers de vies.

Comment passe-t-on de champion de ski à Prix Nobel de la paix ? De héros polaire à créateur d'un statut pour les réfugiés ?

Alexis Jenni raconte à la façon d'un roman la vie extraordinaire de Fridtjof Nansen, homme doué en tout, qui fut champion du monde de patinage, consacra ses travaux scientifiques au système nerveux, dessinait fort bien et écrivait d'une plume remarquable. L'histoire d'un homme qui traversa le Groenland à ski puis tenta d'atteindre le pôle Nord et devint héros national norvégien. Un homme qui œuvra pour le rapatriement des prisonniers de guerre, puis créa un passeport destiné aux centaines de milliers d'apatrides laissés pour compte par l'effondrement des empires en 1918. Un homme qui sauva des milliers de vies et qui se demandait avec mélancolie s'il n'avait pas raté la sienne.

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