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Alysia Abbott

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Biographie

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Note moyenne : 7.62/10
Nombre d'évaluations : 21

0 Citations 7 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Alysia Abbott

Sortie France/Français : 2015-03-12

Sortie Poche France/Français : 2016-04-07

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par gowithlurk 2016-05-07T21:50:26+02:00
Fairyland

Alysia Abbott nous livre, à travers Fairyland, un récit très poignant qui n'est autre que sa vie et celle de son père, le poète. Nous suivons cette vie, de la mort de sa mère, de son entrée à l'université, de ses voyages à Paris, jusqu'à la maladie de son père Spoiler(cliquez pour révéler)et sa mort qui s'en suit. Le roman autobiographique est accompagné de poèmes, de bds et de photos qui nous permettent de nous imprégner un peu plus de l'histoire et de cette vie des années 70 à 90 où l'homosexualité était alors montrée du doigts, le sida tout nouveau et la vie en générale bien différente de celle d'aujourd'hui.

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Commentaire ajouté par Nausicaa_Npa 2016-11-27T22:07:35+01:00
Fairyland

Ce livre est magnifique.

J'ai beaucoup aimé la manière de raconter d'Alysia Abbott, cette poésie et cette univers particulier qu'elle décrit.

J'ai apprécié qu'elle ne cache pas ses sentiments d’exaspération. Car oui soutenir un proche dans sa maladie, ce n'est pas juste sourire et lui tenir la main. C'est extrêmement difficile, encore plus quand on est seul et aussi jeune.

J'ai apprécié qu'elle reprenne toute sa vie et celle de son père, ça permet de ne pas voir que "la personne malade" dans ce livre.

L'ouvrage nous plonge dans les années 70/80 en Amérique, un tableau dans lequel j'ai aimé me retrouver et que j'ai apprécié de découvrir. On y découvre la liberté d'expression, la liberté sexuelle mais aussi les réfractaires à l'ouverture au monde et l'arrivée du virus du sida...

Un livre magnifique que je conseille vraiment.

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Commentaire ajouté par Battle_Boubou 2018-07-08T18:32:09+02:00
Fairyland

En finissant cette lecture, j'ai regardé la 4ème de couverture et lu: "Une belle leçon d'histoire, de tolérance et d'affection entre une fille et un père - Marie Claire".

Grincements de dents...

Mais non, ce livre, ce n'est pas la petite maison dans la prairie ! C'est bien plus que ce qui est décrit par cette citation de "Marie Claire" !

C'est l'histoire singulière d'une petite fille, déjà.

L'histoire d'une petite fille élevée par un père seul, ensuite.

Puis celle d'un père seul et en plus, homo.

Dans le San Francisco des années 70 et 80 (on revoit Sean Penn dans le film "Harvey Milk" en tournant les pages).

Puis le SF en pleine crise du SIDA.

Et aussi, dans le milieu artistique, bohème et poétique.

C'est aussi un peu New-York, et Paris.

En fait, c'est une histoire qui aurait pu être singulière, mais qui, au final, ne l'est plus du tout, tant elle est aussi l'histoire d'une époque, d'un mouvement, d'une ville, d'un pays, et une histoire universelle car elle touche les sentiments humains.

Tout cela est transcendé par le talent narratif de Alysia Abbott, qui sait donner du rythme à son récit et de la substance aux scènes qu'elle décrit, avec ses impressions, la description des lieux, des gens, de son point de vue, à tout âge.

C'est une histoire très émouvante (son histoire), qui n'est pas sans rappeler le film "120 battements par minutes", et d'une réalité ainsi que d'une force incroyables.

Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce livre !

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Commentaire ajouté par solisnotdead 2019-03-10T10:43:37+01:00
Fairyland

[ je m'excuse d'avance pour la possible virulence de mes propos. cette review a été écrite dans un but scolaire, aussi étais-je exténué en l'écrivant.]

Je n’ai pas aimé Fairyland de Alysia Abbott pour des raisons stylistiques mais aussi à cause de certains des propos émis m’ayant dérangée.

Premièrement, je m’attaquerai à la prose de l’auteure que j’ai trouvée dénuée de toute particularité digne de retenir l’attention d’un lecteur. Dans son énonciation des faits, on ressent toute la neutralité d’une journaliste aux ambitions d’écrivaine. Elle est finalement à la littérature ce que les photographes étaient à la peinture selon Baudelaire : fade, l’esquisse manquée d’un artiste médiocre.

En effet, la plume d’Abbott semble vide de toute figure de style au point où l’on se demande si l’insipidité du texte n’est pas réellement voulue. Chaque mot se mue en un fardeau à la capacité de faire de la rayonnante langue de Shakespeare la plus misérable des gueuses.

Si j’ai bel et bien essayé de déceler en cette façon de rédiger une autobiographie la métaphore d’une vie d’ennui et de déception, j’ai fini par conclure qu’aucune infamie sur Terre ne pouvait justifier un tel massacre de la splendeur inhérente aux lettres. Finalement, je ne peux saluer ici que la faculté d’une « auteure » à faire s’ériger en ses lecteurs les plus vigoureux sentiments de désespoir à la perspective de 400 pages de lente agonie. S’il ne s’agit guère de l’effet désiré, j’imagine que nul ne se trouve en position de nier une telle prouesse.

Toutefois, je ne peux entièrement blâmer la longueur du roman sur le style de son auteure. Afin de me montrer honnête dans ma critique, force m’est reconnaître qu’une partie du marasme m’ayant étreinte tout au long de ma lecture était due au contenu lui-même.

En effet, dès lors que j’eus compris qu’il s’agissait plus d’une autobiographie que d’un manifeste à proprement dit en faveur de l’éducation homoparentale, mon désintérêt pour le bouquin ne grandit plus qu’exponentiellement. Il m’avait toujours paru évident que la condition à l’écriture d’un ouvrage sur soi était soit une vie extraordinaire, soit une existence assez tragique que pour plaire. Cependant, j’ai découvert avec Fairyland la capacité d’une femme à déblatérer pendant quelques centaines de pages sur une vie dépourvue de toute particularité romanesque sinon pour l’homosexualité d’un père.

Enfin, mon troisième argument concerne, lui aussi, le contenu-même du livre. Néanmoins, il n’a cette fois-ci pas pour but d’attester de la longueur excessive de l’essai. Je me pencherai plutôt sur la façon dont l’auteure aborde sa thèse.

En effet, si la promesse d’une recherche assidue de sa part et la présence de sources citées à la fin du roman semblaient les présages d’un sujet correctement traité, j’ai été, une fois encore, déçue par le résultat.

Un exemple frappant est la tendance d’Abbott à désigner tout personne transgenre par la désignation péjorative de « travesti ». Elle fait pour la première fois cette erreur lorsqu’elle évoque les femmes transgenres ayant initié les émeutes de Stonewall, ce qui est d’autant plus choquant puisqu’on sait qu’elles se battaient alors pour leur propre droit à exister et à être reconnues. De plus, l’auteure nous décrit plus loin le penchant de son père pour le fait de s’habiller en femme, et se moque de celui-ci. Il s’agit alors d’un véritable travestissement cette fois, lequel n’a aucun rapport avec la transidentité.

Finalement, Abbott finit par invalider cette lutte de la communauté LGBT+ à travers ses erreurs de langage plus qu’elle ne la défend. On se demande alors dans quelle mesure ses recherches ont eu lieu et la thèse qu’elles visaient réellement à soutenir.

En conclusion, les raisons pour lesquelles je n’ai su apprécier l’essai d’Alysia Abbott concernent à la fois la forme et le contenu du texte. Si je ne doute pas des nobles intentions de l’auteure, je déplore son manque d’habilité à traiter le sujet et la prose elle-même.

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Commentaire ajouté par mavie95 2020-04-25T19:20:11+02:00
Fairyland

Beaucoup d'émotions à parler de cet ouvrage qui m'a touchée : la lecture a même été assez difficile à certaines endroits. J'en garde un excellent souvenir et une magnifique relation entre un père et sa fille.

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Commentaire ajouté par Henrxy 2023-01-13T18:31:07+01:00
Fairyland

Je m'étais dit que je finirais 2022 et commencerais 2023 avec ce livre. C'est réussi :

"Alisya Abott" : "Fairyland" : 8/10.

A la mort de son père Steve en 1992, Alysia Abbott trie les affaires de celui-ci, et trouve ses journaux intimes, illustrés de dessins. En les parcourant, elle se remémore son enfance et son adolescence particulières à San Francisco auprès d’un père homosexuel qui l’a élevée seule, une histoire qu’elle raconte dans son récit autobiographique « Fairyland », dans lequel elle intègre des textes de son père

Fairyland est donc un livre de mémoires d'Alysia Abbott qu'elle-même décrit comme un récit doux-amer de son enfance et de son adolescence.

Abbott qui est une journaliste bien connue aux États-Unis, explique qu'elle a eu besoin d'une longue période de temps pour "s'éloigner suffisamment" de ce passé pour devenir "la fille à qui c'est arrivé". Alysia a eu une enfance particulière et excentrique, mais toujours pleine d'amour et de littérature, avec son père et ses amis excentriques, qui appelaient la ville californienne Fairyland, ou "Le Pays des Fées". ". .

1974. Après la mort de sa femme, Steve Abbott,poète et militant homosexuel, déménage à San Francisco. Avec sa fille de deux ans, Alysia, il s’installe dans le quartier de Haight-Ashbury, le centre névralgique de la culture hippie, une ville qui grouillait à l'époque d'homosexuels en quête de libérationl, c'estl Là où "Joan Baez" avait pris le micro dix ans plus tôt pour appeler à lutter contre la censure et en faveur de la liberté d'expression, Là où les représentants officiels de la Beat Generation - "William Burroughs", "Jack Kerouac", "Allen Ginsberg"...- annoncèrent l'avènement de la révolution psychédélique. Steve Abbott découvre une ville en pleine effervescence dans laquelle la communauté gay se bat pour ses droits. Il rejoint la scène littéraire de l'époque et fréquente cette génération de jeunes gens bien décidés à tout vivre, tout expérimenter : Steve Abbott fut un poète très dynamique qui contribua à de nombreux magazines, publia divers recueils de poèmes et fut en contact avec de grands noms des lettres de l'époque comme Allen Ginsberg et des personnalités comme Harvey Milk. Commence pour le duo père-fille une vie de bohème, ponctuée de déménagements, de fêtes et de lectures de poésie a` l'arrière des librairies. Alysia et son père mènent une vie nomade, se déplaçant d'appartement en appartement, entourés d'une floppée de colocataires (souvents amants du père) en constante évolution. Si, enfant, la vie d'Alysia ressemblait à un conte de fées, lorsqu'elle atteint l'adolescence, quelque chose commence à ne plus lui convenir : Le monde, apprend-elle bientôt, est hostile à la différence. Et Alysia nous explique comment elle a eu du mal à s'accepter en tant que fille de gay. Et personne n'aurait pu imaginer l'arrivée du virus du sida, alors inconnu et considéré par les secteurs les plus réactionnaires comme un « fléau homosexuel ».Steve Abbott finit par contracter le virus et, conscient de sa mort prochaine, il commença à préparer sa fille à cette perte qui signifierait entrer dans l'âge adulte sans parents.

Alysia estime que :" ces "années sida" ont été "oubliées" pendant deux ou trois décennies, en partie à cause d'une attitude de rejet d'une maladie qui "semble n'avoir touché que les 'autres personnes' ou les personnes "transgressives". Mais le sida, martèle-t-elle a touché beaucoup de monde – ça aurait pu être un frère, un cousin, un petit-fils… – et beaucoup de ceux qui l'ont vécu ont dû ensuite porter son poids en cachette à cause de la stigmatisation". L'autrice est une lectrice régulière de mémoires et, de fait, tout en écrivant les siennes, elle a également abordé de nombreux ouvrages autobiographiques. "Parfois, j'ai envie de lire des livres qui me montrent comment gérer certains problèmes auxquels je dois faire face, comme écrire sur la vie de vos parents alors que vous n'étiez pas encore né", a-t-elle déclaré. "Just kids", de Patti Smith, est l'un des livres qui l'a le plus inspiré.

Sofia Coppola avait acheté les droits cinématographiques de Fairyland …

Le récit, parsemé de photos d’Alysia et Steve, est vraiment beau et touchant, il est plein d’amour, de culpabilité aussi. Fairyland est le témoignage sincère, pudique et émouvant d’une relation père-fille hors-norme, sans manichéisme aucun. Un récit plein de sentiments mêlés et la chronique d’une époque révolue.

Une œuvre forte tragique et singulière sur la tolérance, la différence et la difficulté à s'accepter et le deuil.

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