Amandine Clemente

Voici 5e roman que j’ai lu d' Amandine Clémente, et une fois de plus j’ai beaucoup aimée.

Ce n’est pas par hasard si j’ai lu autant de romans de cette autrice , à chaque fois c'est un vrai moment de plaisir ! Sa plume est, comme toujours addictive, et l’histoire est prenante. Si j’ai adoré ses réécritures de contes et mythe, je me régale de découvrir ses romances .

Nous faisons la connaissance ici de James et Marilou. Si James est un personnage avec un passé complexe qui a du mal à s’attacher et qui fuit l’engagement, Marilou est quant à elle une jeune femme pétillante, pleine de vie et passionnée.

La rencontre de ces deux-là aurait pu donner quelque chose d’extraordinaire, sauf que nous débutons le roman sur une rupture.

Marilou quitte James . Cependant elle laisse derrière elle une boite. Elle ne demande qu’une chose à James, c’est, de chaque jour, pendant 10 jours, ouvrir un des papier qu’elle y a laisser. Il y a 10 papiers et chaque papier contient un mot qui fais référence à un souvenir de leur histoire.

À travers ces mots nous allons en même temps que James, revivre leur relation à travers de flash back, aussi bien le bon que le mauvais… Nous allons , dans le même temps, avoir à faire face aux événements présent dans la vie de James, car c'est lui que nous suivrons tout au long de cette histoire.

Cette aventure ma tenue en haleine jusqu’au bout, je ne cherchais rien d'exceptionnel , j'avais juste besoin de suivre le cours de l'histoire pour comprendre quels sont les événements qui les ont mené à tout cela.

Si la fin n’a absolument pas été ce à quoi je m’attendais elle m’a en revanche vraiment plu . Ce côté réel et mature était très appréciable.

J’ai aimé les faiblesses de James, la force de Marilou et c’est avec tristesse que je les laisse.

Encore une fois Amandine ne m’auras pas déçue, et j’ai hâte de pouvoir encore et encore découvrir d’autres de ses écrits car j’ai toute confiance en son talent de pouvoir m’amener dans son univers en me donnant ce moment hors du temps pendant quelques heures.

Calliandra, dans la société moderne qu'est la notre, serait un bébé comme les autres, mais dans l'antiquité romaine, ses cheveux rouge et ses yeux émeraude lui ont valu le titre de Fille de Pluton, connu pour être le Dieu de l'Enfer. Dès sa naissance elle est rejetée par sa famille biologique, qui souhaite qu'elle disparaisse à jamais pensant qu'elle apportera malheur sur leur maison. Mais c'est sans compter la pureté et le bon-sens de son grand-père, Martial, qui va la sauver et tout faire pour qu'elle recouvre la liberté. Calliandra, c'est alors l'histoire d'une jeune fille devenue esclave, surnommée le Rubis de Rome par un sénateur avide de pouvoir et de perversité, qui se bat pour survivre dans un environnement peuplé de "vipères" et qui va, malgré elle, découvrir les travers de Rome.

Entre trahison, vengeance, amour et faits historiques, l'auteure nous amène avec une plaisir certain dans les méandres de la vie des Gladiateurs.J'ai découvert ce premier tome de la série Calliandra lors d'une séance de dédicace de l'auteur, Amandine Clémente. J'ai tout d'abord été attirée par la couverture et par le titre ... Calliandra, La Gladiatrice ! Un titre qui résonne en moi, et qui m'a tout de suite fait penser que ce roman serait empli de combativité et de persévérance. J'ai pu constater avec plaisir que je ne m'étais pas trompée. A la lecture des premières pages, on découvre qui est Calliandra, son histoire, son enfance, la raison de son entrée dans le cercle des Gladiateurs, elle qui est pourtant née dans une "bonne" famille. Au fil du récit, on partage la vie de Calliandra, ses doutes, sa combativité, son désarroi et sa colère, son envie indéniable et justifiée de rendre justice, de se battre pour survivre.

J'ai été très touchée par la relation entre Calliandra et sa mère adoptive Photélée, qui est aussi l'esclave de la femme de Martial, Tullia, une femme de la haute société Romaine et qui ne porte pas Calliandra dans son cœur. Il y a un lien particulièrement fusionnel entre ces deux premiers personnages, un lien qui est beaucoup plus fort que le lien du sang et qui est superbement retranscris par l'auteure. On aime avec Calliandra, on souffre avec elle, on crit avec elle, on s'entraîne avec elle. Le personnage est à mes yeux rempli d'une belle humanité et d'une étrange réalité, qui passe un message très fort aux lecteurs : ne jamais cesser de se battre, d'affirmer qui on est, peu importe les embûches.

Le récit a pour fond les arènes de Rome, notamment le Colisée. J'ai beaucoup apprécié les références historiques faites par l'auteur, même si je trouve qu'elles méritaient d'être davantage développées, davantage expliquées. Cela aurait donné plus de profondeur au récit. J'ai malgré tout appris de nombreuses choses sur les gladiateurs, leur environnement, on s'imagine bien Rome dans notre esprit, la Grande Rome et ses vices.

Si vous souhaitez (re)découvrir Rome et ses gladiateurs, si vous souhaitez savoir qui est Calliandra, partager l'amour dont elle s entoure, si le sang et la vengeance ne vous font pas peur, alors n'hésitez plus, procurez-vous ce roman qui est le premier d'une trilogie ,).Il mérite vraiment le détour

Encore une fois aucune déception en ce qui concerne ce deuxième tome de la saga Calliandra alias le Rubis de Rome, par Amandine Clemente.

Le premier opus nous faisait découvrir les  premiers pas de la gladiatrice, au cœur des vices de la Rome Antique et au cœur du quotidien des gladiateurs, ces esclaves dont leur vie se jouent uniquement aux joutes. On y découvrait le ludus et ses règles, son environnement, ses batailles et ses entraînements. Dans ce deuxième tome, l auteur a mis l accent sur la combativité de Calliandra, sur son rôle, son importance dans la destinée de la Rome Antique. Les combats sont plus rudes, les alliances trompeuses, les trahisons plus présentes encore.  J ai également trouvé que les personnages étaient plus profonds. L amour qui unie Tibalte et Calliandra se renforce, et le rôle de Martial, le grand-père de la gladiatrice, occupe une place plus importante encore dans ce deuxième volet, son caractère s affirme enfin. Il ose s opposer à son épouse Tullia, surnommée la Vipère, et va permettre à Calliandra de découvrir ses origines. Cette dernière développe son caractère, prend confiance en elle et ne craint plus de s ériger contre les plus grands. Mais cette fougue, cette forme de désinvolture ne va-t-elle pas se retourner contre elle ? Ne va-t-elle pas s attirer les foudres de la "cour" ? A trop jouer avec le feu, qui va se brûler : Calliandra ou les âmes perfides qui l entourent ? On retrouve par ailleurs et avec plaisir cette part de l histoire de Rome, avec ses codes et ses travers, part qui mériterait cependant d être davantage approfondie. L auteure mêle également la mythologie à son récit ce qui ajoute du relief et donne une dimension « surhumaine » à Calliandra. Phytisis, Némée, Vulcain, autant de personnages qui vont changer le cours des évènements.

Si vous aimez les combats, l histoire de Rome, les intrigues et la passion, vous ne serez pas déçu. Cette saga est une ode à la liberté, au respect et mérite le détour.

On voyait bien un mélange entre la version originale et celle de Disney. J'aime bien le côté érotique, mais j'aurais préféré que le prince soit une bête au sens propre et non figuré.

Je n'ai pas accroché à l'histoire relaté dans ce livre, alors j'ai abandonné...

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire à cause du choix narratif qui a été fait. Quand je me plonge dans un livre, j'aime que l'histoire le surprenne mais pas la façon dont le livre est écrit. Ici, on jongle entre différents styles narratifs (écriture à la troisième personne du singulier puis, écriture à la première personne du singulier, changement de point de vue, de personnages central) et aussi différents points de vue. J'ai souvent trouvé ça brouillon et j'ai parfois été perdue.

Dans ce livre, on jongle entre plusieurs personnages, même si le principal, celui qui est au coeur de tout est une jeune femme du nom de Séléné. Celle-ci n'est pas heureuse dans sa vie et décide d'y mettre un terme. Cependant, pour les Moires, les sorcières du Destin, la jeune femme a encore de nombreuses choses à faire. Elles bravent l'interdit et renforcent le fil de sa vie condamnant Séléné à errer entre le royaume des morts et celui des vivants, dans le royaume des Trépassés.

C'est Uriel, le prince du royaume des morts, qui va tenter de la sauver pour maintenir l'équilibre entre les royaumes.

La trame de l'histoire est bonne. L'univers est intéressant et j'ai aimé cette vision de “la vie après la mort”. Ici, pas d’enfer ou de paradis mais des quartiers définis dans un seul et même royaume. En fonction de qui tu étais avant ta mort mais aussi de comment tu es mort, tu es placé dans un quartier défini que tu ne peux pas quitter.

L'univers m’a plu, tout comme les personnages. Même si j'ai eu du mal avec le style d'écriture, j'ai dévoré le livre, avide de savoir ce qui allait arriver à Séléné, Uriel, Sélétis et Atropos.

uÀn moment du livre, je me suis mise à douter, tout comme Séléné, et j'avoue que même une fois le livre achevé, je n'arrive pas à savoir si tout est réel ou non… C'est intrigant et je serai ravie d'en discuter pour partager mes ressentis 😁

La fin du livre m’a complètement frustrée tant elle ne m’a pas plu (ce n'est pas le dénouement que je voulais pour le personnages 😕 ; je crois que je me suis trop attachée à eux 😁).

Nous allons suivre Séléne une jeune femme peintre qui n'arrive pas à supporter le monde dans lequel nous vivons, l'individualisme, la méchanceté et l'injustice.

Elle n'y trouve pas sa place et depuis bien longtemps elle est en dépression...

Un jour elle décide de mettre fin à ses jours mais rien ne se passera comme prévu, les moires, tisseuse de chaques vie, vont s'emmêler et vont commetre une horrible erreur. Séléne ne mourra pas mais ne vivera pas non plus.

Elle va se retrouver dans le coma ce qui va l'emmener dans le monde des morts mais pas n'importe quelle partie de ce monde, le monde des damnés condamnés à souffrir pour l'éternité du mal qu'ils ont causés durant leur vivant.

Elle fera la rencontrer du maître des lieux (Cavalero) qui anime un bar, le fameux bar des trépassés.

Cependant l'âme de Séléne doit en principe revenir au prince des ténèbres Uriel, il va alors prendre des risques et tenter de retrouver Séléne dans le monde des trépassés.

J'ai beaucoup aimé l'histoire qui je trouve est originale, la plume de l'autrice est très poétique et l'univers possède une ambiance un peu "décalé" type l'étrange Noël de monsieur Jack de Tim Burton. (Attention je ne compare pas mais j'ai légèrement lu ce livre avec ce ressenti surtout avec Cavalero)

Je dois avouer qu’il ne me fallut pas énormément de réflexion pour me lancer dans cette histoire qui me promettait une aventure palpitante dans un univers empreint du souffle de la mort, du murmure de la perdition mais aussi de la douce caresse de l’espoir et de l’amour…

Dans cet ouvrage, nous suivons les pas de Séléné, une jeune artiste rongée par la solitude, la tristesse et écrasée par le poids d’une réalité qu’elle ne parvient nullement à s’approprier malgré ses efforts. En proie au désespoir et à la résignation, elle va commettre l’irréparable… ou tout du moins, c’est ce qu’elle pensait. En effet, par un petit caprice du destin (nous ne pouvons pas appeler cela autrement), Séléné se voit infliger le pire des châtiments : l’errance. Perdue dans les méandres d’un royaume obscur situé entre les deux frontières distinctes de la vie et de la mort, elle trouve refuge dans un bar étrange peuplé de créatures dont elle fait désormais partie: les trépassés. Comment se libérer d’une damnation qui ne devrait pas lui être réservée ? Heureusement, sa situation n’est pas passée inaperçue auprès du prince du royaume des morts qui se lance à la recherche de cette âme égarée pour la ramener sur le droit chemin. Mais peut-elle réellement retrouver le fil d’une existence qui a été altérée à tout jamais ?

À l’image des Moires qui s’invitent dans son histoire, l’auteure nous tisse une toile aussi sombre que captivante où les destinées s’entremêlent avec les divers aspects de la vie et de la mort, et où les fils du passé flirtent avec ceux du présent pour former un futur inévitable. Ainsi, plusieurs histoires nous sont dévoilées, nous arrimant toujours plus fermement aux protagonistes afin de nous faire ressentir toute la puissance de leurs émotions et de leurs souffrances. Je suis d’ailleurs toujours aussi profondément émue par la détresse initiale de Séléné que j’ai trouvée poignante dans son intensité et son authenticité. En tout cas, notre attention est constamment sollicitée sur tous les plans, autant dans l’espace que dans le temps, et si cela nous garantit une meilleure compréhension du récit et des personnages, je crains également que cela ne nous éparpille un peu trop [...].

Je vous invite à lire la suite sur mon site ^^ : https://lesoupirduroman.wordpress.com/2023/12/30/le-bar-des-trepasses-amandine-clemente/

Ici, nous allons suivre l'histoire de Sélené, une jeune artiste peintre qui n'est pas faite pour notre monde qui lui semble trop sombre. Tout se bouscule dans sa tête et pour faire taire cette souffrance qui s'est enchaînéé à elle depuis des années, la jeune femme décide d'y mettre un terme.

C'est à cet instant que les moires entrent en scène. Savez-vous qui elles sont ?

Dans la mythologie grecques, ce sont les filles de Zeus. Nous avons Clotho, la fileuse. Lachésis, la répartitrice. Atropos, l'inflexible. Elles décident de la vie ou de la mort de chaque mortel.

En sautant du haut de ce pont, Séléné devait mourir, il ne devait pas en être autrement sauf que les moires ont pensé que sa vie sur Terre n'était pas terminé, changeant ainsi le destin de la jeune femme.

Seulement, Séléné se retrouve dans un royaume où elle n'est ni morte ni vivante mais entre les deux. Un lieu que l'on nomme le Royaume des trépassés. Un Royaume qui abrite hommes, femmes ayant commis de leur vivant des atrocités. Uriel, prince du royaume des morts est déterminé à retrouver cette âme égaré bien qu'il n'apprécie guère ce royaume et ce lieu qui recueille sont qui se sont perdus : Le bar des trépassés.

Je découvre avec plaisir à travers de cette histoire la plume de l'auteur que je ne connaissais pas du tout. Une plume à la fois fluide et poétique qui nous emmène tout droit dans le royaume des morts pour une quête afin de rétablir l'ordre naturelle des choses

Le choix narratif de l'auteur m'a quelque peu déstabilisé lors de ma lecture sur les premiers chapitres mais pour l'auteur il s'agissait de montrer la complexité de l'entremelement des trois mondes.

Pour ce qui est des personnages, nous suivons tout au long du livre les états d'âmes de plusieurs protagonistes, principaux ou secondaires, qui jouent un rôle important dans l'histoire bien que Séléné reste l'acteur principal. J'aime lire un livre qui comprend plusieurs point de vu, cela permet d'en savoir un peu plus sur l'avancé des personnages au fil des pages. Nous sommes également spectateurs de l'évolution de la jeune femme du début à la fin, qui aurait cru que son passage dans le royaume des trépassés lui ferait voir les choses différemment ? Les personnages ont tous un rôle important, voire primordial dans l'histoire! Que ce soit les moires, Sélétis, David, Uriel et j'en passe, je vous laisse venir les découvrir.

C'est une histoire incroyable que j'aurai peut-être aimé un peu plus longue, parfois plus détaillé pour mon plus grand plaisir mais qui s'est montré à la hauteur tout au long des pages. Si bien que je ne voulais pas achever ma lecture sans parler de la fin que je voulais tout autre, un choix devait être fait et il l'a été.

C'est une lecture que j'ai beaucoup aimé découvrir tout comme la plume de l'auteure d'ailleurs qui est très belle. Si vous cherchez un livre comprenant quelques références à la mythologie, celui-ci peut vous plaire.

Merci à l'auteure pour sa confiance, cette couverture incroyable est à l'image de l'histoire mais attention ceci n'est pas une romance, pas vraiment.

Très bon livre, très belle plume on est absorbé par l'histoire

Personnages attachants

Livre à lire