Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 640
Membres
1 013 214

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Livres - Bibliographie

Anaïs Nin


Ajouter un livre manquant

Toutes les séries de Anaïs Nin

2 livres
125 lecteurs

Lyrisme et perversion dans ces nouvelles plus pornographiques qu’érotiques. En 1940, traversant de graves problèmes financiers, Anaïs Nin se lance dans l’écriture de nouvelles érotiques à l’instigation d’un collectionneur mystérieux. Un dollar la page. « Vénus Erotica » sera suivi des « Petits oiseaux ». Débordements de plaisir et d’érotisme extrême font de la sexualité un art à la fois tendre et décomplexant.

5 livres
22 lecteurs

Quatrième de couverture

Pour comprendre mes histoires, il faut les replacer dans leur lumière et leur époque. Elles ont été écrites avant la guerre. Le fait que je décrive des contes de fées pour adultes, la fantaisie, ne signifie pas que j'y baigne en permanence. (...) Je veux que les gens considèrent ces histoires en relation avec un monde qui a changé, comme faisant partie de leur histoire et de l'histoire de leurs poètes. (...) Parce que la réalité extérieure était monstrueuse, le poète se tournait vers la construction d'un monde de fantaisie. »

Anaïs Nin, Journal 1931-1934 "Son journal compte parmi les œuvres vraiment grandes et vraiment enrichissantes de la littérature universelle". Henry Miller.

5 livres
6 lecteurs

Anaïs Nin ne pensait pas devoir jamais sa célébrité à son extraordinaire Journal : celui-ci devait simplement l'aider, selon elle, à prendre conscience de ce qu'elle voulait être, de ce qu'elle était et de ce qu'elle souhaitait devenir : un écrivain reconnu avec une oeuvre véritable, entre autres, une série de romans dont le titre serait Les Cités intérieures, celles qui se situent au-delà des apparences, de l'autre côté du miroir.

C'est le premier de ces cinq romans publiés entre 1946 et 1961, que nous offrons ici à la curiosité du lecteur.

On y découvre Lillian, Djuna et Sabina, trois amies inséparables, reflets de l'auteur, et que l'on retrouvera dans les récits suivants, Anaïs tente, dit-elle, de traiter à travers ses héroïnes, des négations, du dédale et de la complexité de la nature féminine.

Elle rejette déjà le mariage et la maternité et s'aventure dans les moindres du désir, de la passion amoureuse, et de la tendresse aussi, sans pour autant être jamais satisfaite

Source : Stock

Tous les livres de Anaïs Nin

Ce Journal de l'amour ne fut pas simplement pour Anaïs Nin (1903-1977) le confident de ses aventures et le témoin de ses rencontres. Elle en fit aussi le complice des " mensonges héroïques " (l'expression est d'elle) destinés à ceux qu'une vérité sans fard eût blessés. C'est pourquoi sans doute il fallut attendre si longtemps la publication de la " version non expurgée ". La période couverte ici est celle des années 1932-1939, la plus riche et la plus intense de son existence. On y trouvera, en grand nombre, les portraits pris sur le vif des artistes et des écrivains célèbres qu'elle croisa, notamment dans ses années parisiennes, de James Joyce à Marcel Duchamp, de Brassaï à Antonin Artaud, d'André Breton à Jean Cocteau, mais on y découvrira également un modèle inégalé d'" autofiction " mêlant avec un art souverain aveux et fantasmes. C'est cette étonnante composition qui fait d'Anaïs Nin l'une des figures les plus singulières de la littérature américaine contemporaine. De toutes les femmes que j'ai connues au cours de ma vie, rares sont celles qui ont approché Anaïs en beauté et en grâce féminine. Elle était à la fois une charmeuse, une aristocrate... et une personne farouchement réservée. Mais elle était aussi un écrivain au génie indéniable. Et toutes ces raisons additionnées font qu'elle appartient désormais au monde entier..

Henry Miller. Le présent volume, version intégrale " non expurgée " du Journal de l'amour pour les années 1932 à 1939, réunit les pages publiées sous les titres Inceste (1932-1934), Le Feu (1934-1937), Comme un arc-en-ciel (1937-1939)

Quatrième de couverture

Depuis sa publication, Venus erotica n'a cessé de figurer sur la liste des best-sellers. Les Petits Oiseaux constitue la suite et fin de ces textes érotiques écrits sur commande en 1940 et qu'Anaïs Nin avait finalement décidé de sortir du purgatoire où ils se trouvaient relégués « parce qu'ils représentent les premiers efforts d'une femme pour parler d'un domaine qui avait été jusqu'alors réservé aux hommes. »

J'ai besoin d'un esprit mûr, d'un père, d'un homme plus fort que moi, d'un amant qui me guiderait en amour, car toute ma vie n'est que trop ma propre création." Octobre 1931. Anaïs Nin vit une passion destructrice avec Hugo, son mari, et trace ces lignes, désir d'un amour autre, avidité d'une expérience qu'elle invoque pudiquement.

Deux mois plus tard, Anaïs rencontre Henry Miller et son épouse, June. Elle est immédiatement subjuguée par la beauté de June, tombe amoureuse de Henry et de sa littérature.

1932 sera l'année capitale, celle de l'éveil de la passion et de la sensualité. Peu à peu, Anaïs Nin ose les actes et les mots. Elle fixe dans son journal les contorsions de son odyssée sexuelle et sentimentale... L'odyssée d'une femme à la découverte d'elle-même. Et qui entrevoit bientôt, dans le cercle de sa solitude, des moments d'amour absolu…

Quatrième de couverture

Cette correspondance passionnée offre une suite et un complément aux Cahiers secrets. Si désormais on connaît, grâce aux Cahiers, la passion littéraire et amoureuse qui a uni Henry Miller et Anaïs Nin, il nous manquait encore de pouvoir suivre l'évolution de cet amour à travers les années. Cette correspondance, commencée en 1932, finit vingt ans après, en Californie, alors qu'ils sont tous les deux devenus célèbres. S'il n'avait tenu qu'à Henry Miner, qui s'était séparé de sa femme, June, en décembre 1932, il aurait épousé Anaïs. Mais les événements, notamment la guerre, aussi bien que le refus d'Anaïs Nin d'abandonner son mari, devaient en décider autrement, peut-être pour le plus grand bien de leur amour. Ces lettres cet échange permanent entre deux grands écrivains qui s'admirent, s'éprouvent, se stimulent et ne cesseront de s'aimer jusqu'à leur mort à travers l'espace et les années - reflètent un amour fou, changé peu à peu en tendresse, en bienveillance réciproque, et cela même quand la vie les fait bifurquer vers d'autres amours.

En fait, c'est l'histoire de deux êtres exceptionnels unis dans une fidélité essentielle, physique, matérielle et littéraire. L'histoire d'un amour, un témoignage sur une époque, un document sans précédent dans l'histoire de la littérature contemporaine. Un texte aussi brûlant que Cahiers secrets.

Voici la version intégrale d'un ouvrage dont Henry Miller, dans son enthousiasme de premier lecteur, affirmait qu'« il prendrait place à côté des révélations de saint Augustin, de Pétrone, d'Abélard, de Rousseau, de Proust... »

Voici surtout Vénus Erotica telle qu'en elle-même, superbement impudique dans la description de ses rapports multiformes avec les hommes : amour passionné avec Miller, amour tendresse avec l'époux, amour rêvé avec Artaud, amour consommé avec le père... la transgression ultime qui va jeter Anaïs, en quête d'une sorte d'absolution, dans les bras d'un nouvel amant-psychanalyste, Otto Rank.

Ce volume, qui couvre les années 1932-1934, s'achève sur la maternité avortée : on y apprend enfin l'identité du père de cette petite fille mort-née que sa mère n'avait jamais désirée, y voyant un obstacle à la seule création qui lui importait : la littérature.

Après la réédition des journaux intimes de Virginia Woolf, La Cosmopolite poursuit son entreprise et réunit ici l’ensemble des journaux de jeunesse d’Anaïs Nin, qui furent historiquement publiés en trois volumes séparés. Cette édition comprendra la partie inédite qui va de 1927 à 1931, pour marquer enfin la continuité de l’enfance à la rencontre avec Henry Miller.

On y découvre une enfant naïve, avide de compliments et d’amour, qui cherche l’attention et la reconnaissance. Puis une jeune fille ravissante et intelligente qui fait la douloureuse expérience de la perte des illusions et de l’amour. Une jeune fille tiraillée entre son individualité et ce que sa famille et la société attendent d’elle. Sa mère, Joaquinito et Thorvald, ses frères, son père, éternelle figure de l’absent, côtoient ainsi dans ses journaux des personnages puissants et évocateurs, peintres et écrivains : D. H. Lawrence, Sinclair Lewis, Botticelli… Réalité et fantasme, quotidien et exceptionnel se croisent et se mélangent, dépeignant pour nous une époque passionnante que constituent les années 1917 à 1931.

Les anecdotes croustillantes, témoignages d’un autre temps, se mêlent aux questions existentielles d’une jeune fille éprise de liberté dans un siècle qui étouffe la femme. Poèmes, chansons et petites pièces de théâtre viennent parfois se glisser entre ses confessions qui forment un récit foisonnant et éclectique. Lire ou relire les journaux de jeunesse d’Anaïs Nin, c’est comprendre l’écrivain qu’elle est devenue et découvrir avec elle la liberté d’être ce que l’on désire, sans fard et sans regrets.

Le Journal d'Enfance d'Anaïs Nin, écrit en français de 1914 à 1920, par une petite fille qui, malgré son exil en Amérique, avait donné son coeur à la France, à la langue française et à la littérature de notre pays, constitue un hommage émouvant, unique, en même temps qu'un document sans précédent et une oeuvre proprement littéraire.

Pas seulement parce que ce journal d'enfance et d'adolescence est indispensable à la compréhension du fameux Journal écrit en anglais, qui devait suivre et dont l'importance n'est plus contestée ; pas seulement parce qu'il a été écrit en français dans des circonstances dramatiques ; mais parce qu'il s'agit d'une oeuvre réelle, de la découverte au jour le jour d'un être qui ne peut pas vivre sans se confier, qui se réfugie dans ce journal et se sauve par là d'une détresse qui eût pu la briser, et qui, dans la dernière année s'épanouit en une jeune fille amoureuse, sensible, exquise, inoubliable.

Un chef-d'œuvre de la littérature érotique féminine ! Écrite en 1940, cette nouvelle érotique, inventive, exotique, raconte les émois d'une sensualité sans tabou, dans ses félicités, ses troubles, ses ambiguïtés, ses extases où le cœur bat à l'unisson du sexe. Une écoute fascinante... À réserver aux adultes.

Anaïs Nin ne pensait pas devoir sa célébrité à ses extraordinaires journaux intimes. Ils devaient simplement l’aider, selon elle, à prendre conscience de ce qu’elle était et de ce qu’elle souhaitait devenir : une écrivaine reconnue avec une œuvre véritable, entre autres, une série de romans dont le titre serait Les Cités intérieures, celles qui se situent au-delà des apparences, de l’autre côté du miroir.

Dans ces Cités intérieures, constituées de cinq romans – Les miroirs dans le jardin, Les enfants de l’albatros, Les chambres du cœur, Une espionne dans la maison de l’amour et La séduction du Minotaure –, elle met en scène trois femmes, trois amies, Lillian, Djuna et Sabina qui sont des reflets fictionnels de l’auteure.

À travers ses héroïnes, Anaïs Nin tente de traiter les négations, le dédale et la complexité de la nature féminine : Djuna et ses amours passionnées, tempétueuses et qui se dégradent avec le temps dans Les enfants de l’albatros et Les chambres du cœur ; Sabina qui se veut libre mais se retrouve rongée par la culpabilité et l’angoisse dans Une espionne dans la maison de l’amour et Lilian qui, dans le dernier roman de ce cycle romanesque, tire le fil d’Ariane pour aller jusqu’au bout du labyrinthe de sa vie et y découvrir peut-être le Minotaure.

Mais ces Cités intérieures sont surtout celles de l’auteure elle-même, dont la vie et les rencontres passionnées et passionnantes, telles qu’on les connaît grâce à ses journaux, constituent la matière première de ce cycle fictionnel.

Traduit de l’anglais par Anne Metzger (Les miroirs dans le jardin et La séduction du Minotaure), Béatrice Commengé (Les enfants de l’albatros), Élisabeth Janvier (Les chambres du cœur) et Anne Laurel (Une espionne dans la maison de l’amour)

« J’ai toujours senti cet élan en moi, comparable à celui des plantes pour grandir. Nous possédons tous cet élan, mais il arrive qu’il se brise. Nous avons tous nos empêchements, nos découragements, nos traumatismes. Il s’agit seulement de savoir à quel point nous désirons nous battre afin de surmonter les obstacles. »

Dans cette série d’entretiens et de lectures prononcées par Anaïs Nin devant des étudiants entre 1966 et 1973, l’écrivaine nous livre, à la fin de sa vie, une réflexion très personnelle sur divers sujets : la recherche de l’identité, la magie de l’art, la femme et le féminisme… Plus qu’un ouvrage thématique, c’est une synthèse de sa pensée que nous offrent ces textes, empreints d’un constant optimiste, et qui constituent une véritable porte d’entrée privilégiée pour découvrir celle qui marqua son époque par des ouvrages incontournables.

NouveAuletris contient deux histoires inédites d'Anaïs Nin, des textes érotiques retrouvés à la faveur d'une vente aux enchères à Baltimore et traduits pour la première fois en français.

Écrits pour un mystérieux collectionneur au début des années 40, ils possèdent toute l'originalité et le charme de l'érotisme selon Anaïs Nin: une vision féminine de la sexualité, libre, inventive et transgressive.

« Jouir n'est possible que si l'on accepte ses désirs. »

Franco-américaine, née en 1903, Anaïs Nin a bien souvent défrayé la chronique littéraire. Maîtresse d’Henry Miller et de nombreux écrivains, elle s’était surtout fait connaître par son Journal. Mais ce sont ses écrits érotiques, publiés après sa mort dans les années 70, qui lui ont valu la consécration.lle Description

Comment raconter le désir – désir sexuel, appétit pour la vie, l’art… – d’une femme mariée, apprentie écrivaine au début du siècle dernier ? C’est à ce projet qu’Anaïs Nin semble s’atteler dans ces seize nouvelles inédites, écrites pour la plupart entre 1929 et 1931. On y croise une jeune femme qui, parée comme pour un grand voyage, largue les amarres d’un bateau attaché à un arbre au fond d’un jardin, une petite fille abandonnant ses poupées pour se consacrer à l’étude du goût de ses larmes, et bien d’autres personnages hantés par la dualité entre l’être et le paraître.

Ce recueil de nouvelles dévoile, grâce à la très belle traduction d’Agnès Desarthe, la genèse de l’oeuvre d’une des auteures les plus modernes et admirées du XXe siècle.

(Source : NiL)

Ce sont des narrations simples et directes, centrées sur le sexe, sans philosophie, ni psychologie, que commandait, dans les années quarante, le magnat du pétrole de l'Oklahoma, Roy M. Johnson, pour son divertissement, à une bande de jeunes auteurs sans le sou dont faisaient partie Anaïs Nin, Henry Miller, Robert de Niro… Alice et autres nouvelles est une de ces commandes.

Les ébats d'Alice dans les champs fleuris, le dépucelage endiablé d'Esmeralda sont de jolis éloges d'amour ludique ou passionné. Les intuitions d'un petit garçon solitaire quant à l'existence d'une réalité sexuelle jusqu'ici insoupçonnée, jusqu'à leurs confirmations dans un pensionnat austère laissent un goût plus amer. Les rivalités masculines que suscite autour d'elle la jeune Florence sont une mise en pratique de l'usage, explicité plus loin, que les jeunes filles doivent faire de leur con : le partager. Vous apprendrez enfin que la séduction de la femme inconnue ou de celle qui se refuse est toujours facilitée par une légère griserie. Sous la femme convoitée couve souvent un feu qui ne demande qu'à être ravivé. Au sexe que commandait le magnat du pétrole, nos auteurs ont mêlé un peu de poésie, un peu de théorie, créant ainsi un agréable mélange érotique. --Fabienne Lesage

« Je ne me souviens pas d'avoir pleuré. Je sentais seulement la caresse du mouvement - du mouvement dans le corps d'une autre - absorbée, sombrée dans la chair d'une autre, bercée par le rythme de l'eau, la lente palpitation des sens, le bruissement de la soie. » A.N.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode