Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 566
Membres
1 012 847

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Anatole Le Braz

La Bretagne est incontestablement la terre des pardons. Cette tradition millénaire, comme toutes les traditions bretonnes, a toujours fasciné Anatole Le Braz qui lui a consacré une grande partie de son travail de recherche et de collectage. Dans ce livre, il nous convie à ces fêtes, à la fois religieuses et profanes, du cœur de l’Argoat aux rivages de l’Armor. Il nous fait voyager du pardon de Saint-Yves à celui de Rumengol, du pardon du Feu de Saint-Jean-du-Doigt à celui de la Mer à Sainte-Anne-de-la-Palude. Une promenade au cœur d’une terre ancestrale mais aussi un voyage à travers le temps, là où les mendiants, chanteurs, ceux qui se défient à la lutte ou ceux qui devisent de l’amour n’ont pas changé depuis le Moyen Âge, voire l’époque celtique.

Ce Pays des Pardons, qui est un des textes majeurs d’Anatole Le Braz, est présenté et commenté par Dominique Besançon qui en dirige la publication des œuvres aux éditions Terre de Brume.

Nouvelle série de contes et de légendes glanés par Anatole Le Braz au cours de ses pérégrinations, Pâques d'Islande nous invite au cœur des traditions de la Bretagne d'autrefois. L'auteur nous montre avec quel talent il sait doser les éléments narratifs pour que la magie opère une fois encore, et nous fasse replonger aux sources merveilleuses du monde celtique. De " La Nuit des feux " à " La Nuit des morts ", c'est tout le talent d'Anatole le Braz que l'on retrouve dans cet ouvrage couronné par l'Académie française.

Pâques d'Islande est une promenade des mers glacées et inhospitalières du Septentrion au cœur du doux été breton, pour le plaisir de l'esprit et l'enchantement de l'âme.

Décidément, l'auteur de la Légende de la Mort ne cesse de nous étonner et de nous séduire.

Poète, conteur, folkloriste, c'est dans l'histoire qu'Anatole Le Braz puise cette fois son inspiration. Quatre des cinq longues nouvelles qui composent ce recueil ont en effet pour sujet ou toile de fond des événements d'histoire légendaire. Nous y retrouvons des héros populaires dont certains furent très connus des chanteurs de complaintes, comme "La Charlézenn", cette belle fille rousse, saine et pure comme un chêne, que la convoitise masculine accula au meurtre et à la mort.

C'est encore le cas de Margéot, forban sans scrupule qui, pourtant, ne survécut pas au regard de sa dernière victime ; ou de ce terrible marquis de Guerrande, bâtard de Louis XIV, qui sema la terreur dans le pays de Plégat. Plus littéraire, "Histoire pascale" met en scène un bon prêtre réfractaire pris dans la tourmente de 1793. Sans présupposé historique, le dernier récit, "La Hache", est construit comme une intrigue fantastico-policière.

Publiées pour la première fois en 1897, Vieilles Histoires du Pays breton comprenaient seize nouvelles qui furent scindées, après la mort de l'auteur, en deux volumes : Récits de passants que nous avons déjà publié et Vieilles Histoires du Pays breton.

Rien ne devait rapprocher ces deux êtres: Goulven, le sombre Léonard et Adèle, la belle et insouciante Trégorroise. Et pourtant Goulven se prend d'un amour fou pour la jeune femme. Une passion maladive exacerbée par le cadre étouffant d'un phare, au large d'un Cap-Sizun hostile, qui mènera à l'irréparable...

(édition Ebooks libres et gratuits)

Sur l'île d'Ouessant, un jeune homme rencontre Marie-Ange, surnommée par les habitants la "fleur d'Ouessant". Belle, charmante et toujours joyeuse, elle est irresistible. Mariée à Jean, un pêcheur formidable, elle attend patiemment son mari parti en mer. Seulement tout n'est pas aussi idyllique qu'il n'y parait...

Le jeune homme apprend ainsi par une fillette du village la légende des douze sirènes. Celles-ci vivaient tranquillement le long de l'île, dans une crique, attirant les jeunes hommes à elles lorsque Saint Gildas vint les dénicher de là. Depuis, elles se reposent sur des rochers aux alentours d'Ouessant. Cependant, l'un d'entre elles fut prise dans les filets d'un pêcheur, auquel elle se maria. Jalouses, ses soeurs la maudirent, elle et sa descendance. Dès lors, chaque fille du sang de la sirène maudite serait magnifique, mais verrait son mari périr en mer, sans que jamais celle-ci ne restitue le corps...

Célébré par tous pour son ouvrage La Légende de la Mort en Basse-Bretagne, Anatole Le Braz est devenu le chantre d'une Bretagne du mystère et de la légende.

Il nous offre, dans les Contes du soleil et de la brume, une série d'histoires où est tapie l'ombre de l'Ankou et où rugit le souffle du Kornog. Les Contes du soleil et de la brume illustrent bien la richesse de la tradition orale en Bretagne, richesse à laquelle nul ne peut rester insensible. Les Contes du soleil et de la brume reste un ouvrage indispensable pour tous ceux qui se passionnent pour les récits traditionnels de la Bretagne.

"Anatole Le Braz (1859-1926) reste sans doute, de tous les écrivains bretons sans exception, celui qui a le plus intimement pénétré tous les secrets de l'âme bretonne." Cette citation d'Anatole Rivoallan semble parfaitement définir la finesse d'écriture et de perception dont a fait preuve Anatole Le Braz à travers toute son œuvre. Romancier, poète, conteur, conférencier, il a su laisser la parole aux "grandes voix éternelles du vent, de la mer, de la forêt et de la légende." Dominique Besançon aime à dire qu'elle a rencontré Anatole Le Braz un beau jour de 1976 et que, depuis, elle ne l'a plus quitté.

Elle lui a d'ailleurs consacré plusieurs travaux universitaires et de nombreuses publications depuis cette date.

Dans ce nouveau recueil de contes, Anatole Le Braz plonge le lecteur dans les arcanes de l’âme des peuples de notre extrême Occident, des côtes de Bretagne aux landes mystérieuses d’Irlande. Avec une grande tendresse, il met à nu toute la sensibilité et la naïveté des hommes et femmes qui vivent sur ces terres battues par les vents de l’Océan.

Aussi, laissons-nous aller à écouter l’histoire chargée de rancune et de vengeance de L’Incendie du Vendredi Saint, celle à l’humour tendre et corrosif de La Barrique d’or, celle pleine d’émotion du Roman de Laurik Cosquêr ou encore l’histoire tragique, marquée par le Destin, du Dernier des Nial Mor. Dans ce livre, on découvre une fois encore tout le talent d’Anatole Le Braz : son œil attentif aux moindres manifestations de cette âme celtique qui lui était si chère ainsi que l’expression aiguë et pénétrante de l’écriture avec laquelle il la raconte. Tout ce qui fit de lui un des plus grands écrivains de Bretagne.

"Les Contes du vent et de la nuit, c'est avant tout une atmosphère, une sensation d'étrange, le sentiment angoissant que l'inconcevable va surgir du quotidien, la folie de la sagesse, la mort de la vie. Anatole Le Braz nous a déjà montré à quel point il savait sonder les tréfonds de l'âme bretonne, il nous en dévoile ici l'un des pans les plus obscurs : celui des passions. Il ne s'agit pas de ces passions bruyantes, étalées au grand jour. Non, celles-là sont sourdes, rentrées ; elles sont de celles qui couvent silencieusement mais vont jusqu'au bout : jusqu'à la folie ou la mort. Rien n'est nommé mais tout est dit : l'amour, la vengeance, le remords, le chagrin. Avec les Contes du vent et de la nuit, inédits jusqu'à ce jour en librairie, nous découvrons qu'Anatole Le Braz était aussi un remarquable auteur de nouvelles fantastiques qui nous plonge avec délice dans "les immenses ténèbres hurlantes" du vent et de la nuit..."

Oublié dans une revue depuis longtemps disparue, Un Coin breton retrace l'aventure d'une redécouverte : celle d'un petit village du Trégor côtier qu'Anatole Le Braz avait si bien connu dans sa jeunesse : Port-Blanc.

Lorsqu'en 1891, il décide de s'y installer pour l'été, c'est évidemment dans l'intention d'y recueillir des traditions populaires. Mais le folkloriste est aussi un enfant du pays qui effectue son "retour aux sources", non sans appréhension et nostalgie. Avec une aisance de feuilletoniste confirmé, il nous entraîne à sa suite dans son expérience de collecteur qui ne peut se résoudre à porter sur ces humbles habitants le regard froid du savant. Telle une caméra, son œil nous conduit de l'extérieur à l'intérieur de ce "coin breton"… jusqu'au cœur du conte. Descriptions, portraits, souvenirs personnels,références historiques, chants et contes y alternent pour traduire toute l'âme de la Bretagne profonde… Une technique de "récit subjectif" dont il ne se départira pas et qui fera le bonheur du lecteur.

Au temps où il eut Max Jacob pour élève à Quimper, Anatole Le Braz (1859-1926) était déjà l'enchanteur qui sut réveiller les mythes endormis, les fantômes oubliés qui peuplent les nuits de la Bretagne secrète.

Des plus chatoyants aux plus terrifiants : de la cité d'Ys qui ressurgira un jour de la baie des Trépassés, intacte, avec tous ses clochers, jusqu'aux va-et-vient de l' " Ankou ", ce valet de la mort qui se mêle incognito aux vivants.

On ne passe pas une vie à collecter des contes sans succomber à la tentation d'en écrire soi-même. Les Vieilles Histoires du pays breton, les Récits de passants, Pâques d'Islande, Contes du soleil et de la brume forment un magnifique épilogue à ce recueil, moins réel mais plus littéraire que La Légende de la mort chez les Bretons armoricains.

Il est des moments, dans la vie des Bretons, qui prennent une dimension magique, sacrée.

Noël, la Nuit de la Nativité, rien n'est plus propice que ces quelques heures d'hiver entre la Messe de Minuit et le Réveillon, quand tout devient possible. Le profane et le sacré se confondent et s'unissent alors en une fête de l'âme qui n'est pas sans rappeler les grandes dates qui ponctuaient l'année des anciens Celtes.

Que ce soit dans les mers glacées du Grand Nord ou dans les sables d'Afrique, le Breton emporte avec lui son sens du mer­veilleux. La nuit de Noël y est partout un moment à part

C'est a cet instant privilégié de l'imaginaire celtique que nous invite Anatole le Braz dans ses "Récits de passants".

"Anatole Le Braz (1859-1926) reste sans doute, de tous les écrivains bre­tons sans exception celui qui a le plus intimement pénétré tous les secrets de l'âme bretonne."

Cette citation d'Anatole Rivoallan semble parfaitement définir la finesse d'écriture et de perception dont a fait preuve Anatole Le Braz à travers toute son œuvre. Romancier, poète, conteur, conférencier, il a su laisser la parole aux grandes voix éternelles du vent, de la mer, de la forêt et de la légende."

Oeuvres célèbres et mêmes classiques, Le Gardien du feu, Le Sang de la Sirène, Âmes d'Occident expriment par la nouvelle et le conte l'imaginaire breton. Mais il s'épanouit aussi dans des genres - chansons, théâtre, mystères - voués par l'absence de support imprimé à une survie fragile. Ils auraient disparu si Anatole Le Braz n'en avait pas fixé la mémoire dans Chansons populaires de la Basse-Bretagne, Le Théâtre celtique, Cognomerus et sainte Tréfine. Inaccessibles depuis cinquante ans ces oeuvres monumentales retrouvent ici une seconde existence. Toute culture a pour écrin un décor..., sa poésie rustique se déploie dans Croquis de Bretagne et d'ailleurs, Iles bretonnes, Vieilles Chapelles de Bretagne, La Terre du passé : quatre invitations à la lecture... et au voyage. - Francis Lacassin

D'après une complainte bretonne, Anatole Le Braz nous fait découvrir la Charlézenn et nous livre sa vision du personnage. Sous sa plume, elle devient une femme au destin à la fois merveilleux et tragique. Christophe Rouil, artiste peintre lannionnais, se plonge dans le texte et sa version dessinée amène l'héroïne dans notre époque. Elle devient étrangère au temps. La magie de l'image transcende le texte d'Anatole Le Braz et la fée de la forêt bretonne devient une Colomba, une Carmen… Être intemporel, elle pourrait aussi bien vivre dans la jungle des villes contemporaines que dans les temps les plus reculés.

(Éditions Apogée)

(On appelle « Noces noires », en certains cantons de la montagne bretonne, les secondes noces d’une veuve ou d’un veuf, sans doute parce qu’il en est qui conservent le deuil pour se remarier.)

Après un an de veuvage, la encore jeune Renée-Anne, propriétaire du domaine de Guernaham, pourrait ou devrait même se remarier. Pourquoi cette défiance envers Emmanuel, le charrueur consciencieux qui est de fait devenu régisseur de l'exploitation ? Les prétendants ne manquent pas. Ou disparaît donc Emmanuel les soirs de veillée ?

La Bretagne est probablement l'une des régions où les croyances liées à l'Ankou - la Mort, en breton - sont les plus fortes. Ce recueil de légendes et de contes est la somme d'une multitude de témoignages, confidences et chroniques récoltés, traduits du breton et assemblés par Anatole Le Braz à la fin du XIXe siècle.

"Lorsqu'un mourant trépasse les yeux ouverts, c'est que l'Ankou n'a pas fini sa besogne dans la maison, et il faut s'attendre à le voir revenir à bref délai pour un autre membre de la famille." L'Ankou, ouvrier de la mort, est, dans chaque paroisse, le dernier mort de l'année et le reste jusqu'au dernier mort de l'année suivante. On le dépeint grand, maigre, les cheveux longs et blancs, la figure ombragée d'un large feutre. tenant à la main une faux dont la tranchant est tourné vers l'extérieur. Il se déplace généralement dans une charrette (karriguel ann Ankou), escorté de deux hommes, l'un tient la bride du cheval de tête et l'autre ouvre les barrières et les portes et empile les morts que l'Ankou a fauché.

Les phares fascinent. Surtout ceux qui se dressent à la pointe de Bretagne, jaillis du creux des vagues, comme bâtis sur la houle. Les phares... mais surtout les hommes qui les ont conçus et ceux qui y ont vécu en ermites : les gardiens du feu.

Dès leur construction à la fin du XIXe siècle, les premiers phares en mer ont suscité une littérature extrêmement variée, inspirant des écrivains aux sensibilités aussi différentes que celles d'Alphonse Daudet et de Rachilde, d'Anatole Le Braz et de Jules Verne.

A cette première vague littéraire succédèrent, aux XXe siècle, non seulement des romans, mais aussi des récits, des témoignages, des reportages... C'est la somme de ces écrits si divers qui se trouve réunie dans ce volume.

Subtil mélange entre la plume poétique et les bois finement sculptés de Tony Beltrand, ces Croquis de Bretagne sont construits sur la base d'une défense et illustration des vieilles cités armoricaines.

De Rennes à Douarnenez et de Morlaix à Concarneau, les deux artistes nous proposent une promenade à travers les figures féminines traditionnelles de la Bretagne de la fin du XIXe siècle.

Devenu mythique dès sa parution en 1903 dans un tirage confidentiel d'une centaine d'exemplaires, il nous semblait indispensable d'offrir au lecteur d'aujourd'hui cet ouvrage à la vision quasi ethnologique de ces deux auteurs au talent reconnu.

Ce soir-là, quand les chariots de la tribu s’arrêtèrent pour leur halte accoutumée de la nuit, l’odeur singulière qui, depuis plusieurs jours déjà, accueillait la marche des Kymris migrateurs.

Dans leur exode vers les terres du couchant, se fit tout à coup si forte et si pénétrante que les buffles eux-mêmes, au lieu de se répandre dans les herbages, sitôt dételés, restèrent, les naseaux tendus, à humer l’air avec une sorte d’inquiétude.

Contes, histoires ou légendes... Les textes illustrés ici sont avant tout des témoignages, que l'on retrouvera dans le livre d'Anatole Le Braz, "La légende de la mort chez les Bretons armoricains", auquel ils sont empruntés.

Les histoires de ce recueil sont autant de tableaux vifs, contrastés, teintés d'humour et d'angoisse. On y côtoie pilleurs d'épaves et charbonniers, sonneurs maudits et boit-sans soif, âmes errantes et cloches volantes, dans la brume froide des nuits de Toussaint, ou l'éclat ensoleillé d'un matin de Pâques.

La légende de la Mort est un des grands classiques de la littérature bretonne contemporaine. Malgré son titre, ce n'est pas un recueil de légendes et de contes, mais la somme d'une multitude de témoignages, de confidences et de récits recueillis en breton par Anatole Le Braz (1859-1926). Ce livre est le fruit d'un long collectage auprès de la population rurale de Basse Bretagne. A l'époque brittophone dans sa quasi-totalité.La plupart de ces légendes lui ont donc été contées en breton- L'imaginaire collectif des Bretons se retrouve dans cette Légende de la Mort, oit nul n'est effrayé par l'ombre de l'Ankou (représentation personnifiée de la mort) ou bien le peuple des Anaon (Antes défuntes) et pour qui les kannerezed-noz (lavandières de la nuit) ont gardé leur pouvoir enchanteur.

Ces récits fantastiques et populaires sont un fidèle miroir de la sensibilité des Bretons qui, comme les Celtes d'Outre-Manche et même les Anglo-Saxons sont portés sur les légendes et phénomènes paranormaux les intersignes, l'Ankou, moyen d'appeler la mort sur quelqu'un, les noyés, les villes englouties. les assassines et les pendus, l'Anaon, les revenants, l'enfer, le paradis.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode