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Toutes les séries de André Castelot

59 livres
30 lecteurs
2 livres
30 lecteurs

Napoléon en deux volumes d'André Castelot est l'un des plus grands succès de l'édition française dans le domaine de l'Histoire. C'est par centaines de milliers que se comptent les lecteurs de chacun d'eux. D'Ajaccio à Sainte-Hélène, en passant par le Grand-Saint-Bernard, Austerlitz, Moscou, Waterloo, l'île d'Elbe, André Castelot a mis ses pas dans ceux de Napoléon Bonaparte pour respirer et restituer le décor de son prodigieux destin. Exploitant et mettant en valeur, avec son art célèbre du récit qui visualise les événements, les lieux et les personnages, une immense masse d'archives, de mémoires et de correspondance parfois inédits ou oubliés, il a écrit cette monumentale biographie si vivante, si colorée, si passionnante que depuis trente ans, son public se renouvelle sans cesse.

Le premier tome - Bonaparte - nous conduit de la naissance de Napoléon, le 15 août 1769, dans une Corse devenue française quinze mois auparavant, à ce 2 décembre 1804 qui le vit à Notre-Dame de Paris tourner le dos au pape, saisir la couronne impériale et se la poser lui-même sur la tête.

3 livres
4 lecteurs

Les histoires extraordinaires de la vie des hommes

14 récits inédits

- La maison assassinée (Pierre Bellemare)

- Une reine en péril (Jeanne Bourin)

- Testament zéro (Pierre Dumayet)

- La dragonnade (Frédérique Hebrard)

- Des coups de couteau dans la plume d'oie (Patrick Pesnot)

- Le lancement (Marie-Thérèse Cuny)

- Le deuxième homme (Marie-Thérèse Cuny)

- Du plomb dans la cervelle (Joseph Laghet)

-La grotte de l'horreur (Jean-François Nahmias)

- La dernière absinthe de Toulouse-Lautrec (Claude Olivier)

- Un plat qui se mange froid (Claude Olivier)

- Le bouillu vif de Tours (Jean-Paul Rouland)

- Rue des Marmousets (Jean-Paul Rouland)

- Fusée vole (Marie Suchet)

Et les curieuses histoires de Jean-Marc Epinoux

39 livres
5 lecteurs

Au sommaire de ce numéro:

_ Echos de l'Histoire: Cléopâtre

_ Un 350e anniversaire: La Rochefoucauld amoureux de Mme de Longueville

_ Les dernières heures de Dien Bien Phu

_ Comment Louis XIV administrait la France

_ Les villages lacustres

_ Un beau ratage des "services spéciaux" en 1945

_ Les guerres de Vendée

_ Une célèbre actrice anglaise: Margaret Woffington

_ Les dangereuses "Vacances romaines" d'un espion

_ Au coeur du problème des Noirs: le Mississippi

_ Madame Clovis Hugues a tué Morin!

_ Les joyeux réveillons du Premier Empire

4 livres
1 lecteurs

Au sommaire de ce numéro:

_ Talleyrand ou le diable boiteux; d'Edouard Herriot

_ L'affaire Boisé-Lucas; de G. Lenôtre

_ La véritable histoire des trois mousquetaires; de Bernard Boringe

_ Le roman de la duchesse d'Abrantès; de Henri Malo

_ Quand l'auto entrait dans l'histoire; de Pierre Rousseau

_ Le mystère de la Grande-Duchesse Anastasia; de Félix Dassel

_ Une maîtresse femme: L'impératrice de Chine Tseu-Hi; de Suzanne Blatin

_ Carnet d'un captif: Au château d'Itter; d'André François-Poncet

_ La langue de tous les jours; de Jean Fayard

_ Un centenaire. L'orpheline du Temple: Madame Royale; d'André Castelot

_ Tiepolo; d'Henri de Régnier

2 livres
1 lecteurs

Neveu de Napoléon, fils de la reine de Hollande, enfant du sérail impérial, collégien bavarois, prince en exil faisant le coup de feu avec les libéraux italiens contre les troupes du Pape, aventurier deux fois prisonnier en France, député de la république puis président, enfin empereur des Français pendant dix-huit ans, prisonnier de guerre en Allemagne et souverain exilé en Angleterre : on rêve du roman vrai qu'aurait composé Alexandre Dumas a partir de la vie de Louis-Napoléon Bonaparte, devenu Napoléon III. Ce conspirateur-né a foi en son étoile, si bien qu'il n'hésite pas à affirmer : " Je crois que, de temps en temps, des hommes sont créés, que j'appellerais providentiels. " Auteur en 1973 d'un magistral Napoléon III en deux tomes (1650 pages), qui connut un immense succès, André Castelot reprend ici en un seul volume l'essentiel de son oeuvre, et retrace, avec sa verve coutumière, les aventures de cet homme, séducteur impénitent, mais aussi préoccupé de la transformation économique et sociale de son pays, afin de le hisser au premier rang des puissances mondiales. Un homme obsédé par le progrès, au point de piétiner allègrement la démocratie, hanté par le bonheur des peuples jusqu'à libérer les pulsions nationalistes qui entraîneront sa chute et la défaite de son pays, passionné de cette nouvelle Europe en gestation - de Rome à Berlin - dont il s'efforce de dessiner la carte. Héritier des chimères de son oncle et avocat d'une France moderne, Napoléon III se veut héros de la légende nationale et peu importe qu'elle soit noire ou rose.

Tous les livres de André Castelot

" Ma naissance et ma mort, voilà toute mon histoire s'était écrié quelques mois avant le terme de son existence mélancolique François Charles Joseph Napoléon Bonaparte. Pourtant, avec le nom qu'il portait, le fils de Napoléon le r et de Marie-Louise était dépositaire de trop de gloire et d'espérances pour que l'histoire de sa vie se résumât à sa naissance aux Tuileries en 1811 et à sa mort à Schönbrunn en 1832. Le 22 juin 1815, Napoléon Ier avait abdiqué en sa faveur et les Chambres des Cent-Jours avaient reconnu le roi de Rome " - comme on l'avait proclamé dès sa naissance - sous le nom de Napoléon Il. Tous cherchèrent à en faire un pur Autrichien : sa mère qui l'emmena en Autriche à l'âge de trois ans, son grand-père l'empereur François II qui lui donna le titre de duc de Reichstadt, et même son mentor Metternich, chargé d'occulter le plus possible le souvenir de son père. C'était sans compter sur l'intelligence et la sensibilité de l'Aiglon. Porté par les bonapartistes français, il connut une popularité grandissante en Europe et apprit peu à peu la gloire de son père. Et sans doute Napoléon II commençait-il à percer sous le duc de Reichstadt quand la tuberculose l'enleva à vingt et un ans. En révélant de nombreux et bouleversants documents inédits, André Castelot a renouvelé la connaissance et la perception que l'on avait de l'Aiglon tout en l'inscrivant dans la légende napoléonienne.

Née en 1778 sous les ors de Versailles, Marie-Thérèse Charlotte meurt en 1851 dans la solitude de l'exil, à Frohsdorf.

Cette petite-fille d'empereur, fille, sœur, femme et belle-fille de rois, présente la particularité historique sans équivalent d'avoir connu trois règnes, deux républiques et deux empires. Elle est à la fois le trait d'union entre la France d'Ancien Régime et la démocratie qui s'esquisse ; le témoin privilégié d'une France en ruine, celle de la Cour, des familles décimées par la Terreur ; la chroniqueuse du malheur de l'exil et des espoirs déçus de royauté lorsqu'en 1830, son mari, le fils de Charles X, devient roi l'espace de quelques heures après l'abdication de son père. Madame Royale, c'est une destinée effroyable et grandiose, digne d'inspirer la plume des plus grands écrivains romantiques, qui en firent l'ange funèbre de ces temps aventureux. Mais, par son inlassable activité politique, par sa volonté de rétablir les Bourbons contre les vents et les marées de l'histoire, elle constitue aussi l'un des acteurs majeurs du long drame qui bouleversa l'Europe pendant soixante ans.

C'est tout le talent d'André Castelot d'avoir fait revivre cette femme dans sa réalité et sa légende.

Joseph Fouché, duc d'Otrante (1759-1820), servit et trahit beaucoup d'hommes, de régimes et de partis.

Mais comme il en est pour Talleyrand, avec qui il est souvent mis en parallèle, son prodigieux opportunisme, son génie de l'intrigue, sa duplicité, font parfois oublier qu'il avait l'étoffe d'un homme d'Etat. Fouché - le " crime " pour Chateaubriand, alors que Talleyrand était le " vice "-, ancien élève des Oratoriens, avait enseigné à Niort et Arras, où il s'était lié avec Robespierre, et à Nantes dont il devient député à la Convetnion.

Il vota la mort du roi avant d'orchestrer les mitraillages de Lyon. Arrêté en 1795, amnistié, ministre de la Police en 1799, il forgea rapidement un formidable réseau d'agents et d'espions. Doué d'une extraordinaire habileté et d'une intelligence politique aiguë, il sut se rendre indispensable à Barras et surtout à Napoléon qui, sauf pendant une courte période, le maintint à son poste jusqu'en 1809.

Devenu au lendemain de Waterloo le chef du gouvernement provisoire, bien qu'il ait été de nouveau ministre de la Police pendant les Cent-jours, il contribua grandement au retour de Louis XVIII, et le frère de Louis XVI ne pourra faire autrement que de prendre ce régicide pour ministre de la Police avant de le contraindre à l'exil en 1816. Comme l'est André Castelot et comme le furent les contemporains de Fouché, le lecteur est constamment partagé entre le mépris et la fascination devant cet homme aux sincérités successives, qui, trahissant ses amis, savait transformer ses ennemis en débiteurs. Utilisant une documentation en partie inédite et aussi les Mémoires de Fouché que l'on avait longtemps crus apocryphes, André Castelot restitue les différents visages de ce grand cynique.

Napoléon s'étonnant un jour qu'il ait voté la mort de Louis XVI. Fouché répliqua froidement : " C'est le premier service que j'ai rendu à votre majesté. " Un trait qui résume le personnage.

Juillet 1815 : Napoléon Bonaparte, empereur des Français, n'est plus rien. Il a abdiqué le 22 juin précédent et, après avoir hésité à forcer le passage au milieu des navires anglais, décide de remettre son sort aux mains de son principal vainqueur. Le 15 juillet, il embarque à bord du Béllérophon à destination de Sainte-Hélène. " L'idée seule m'en fait l'horreur ; c'est pire que la cage de fer de Tamerlan, je préfèrerais qu'on me livrât aux Bourbons ". Napoléon part pourtant écrire le dernier acte de sa légende.

1531, Diane de Poitiers est veuve à l'âge de 32 ans. Cinq ans plus tard elle devient la maîtresse du dauphin Henri, fils de François Ier qui succèdera à son père en 1547. Elle le restera jusqu'à la mort de Henri II lors du fameux tournoi de 1559. Catherine de Médicis, épouse d'Henri II, devra donc supporter cet état de fait pendant vingt-trois ans. Histoire royale de ce ménage à trois où le roi vouera une longue fidélité à sa maîtresse, allant même, sous sa pression, jusqu'à honorer sa femme par devoir pour assurer sa succession. A la mort du roi, la reine ne manquera de faire payer à Diane une si longue humiliation

Voici donc le deuxième volet de Belles et tragiques amours de l'Histoire que nous livre André Castelot vingt-huit passions superbes ou fatales, secrètes ou célèbres, louées ou blâmées. Mais toutes tragiques et belles.

Belles comme l'amour qui unit jusqu'à la mort Philippe et Annie Pétain. Tragiques comme la liaison passionnée qu'entretint avec le beau Victor de Lahorie Sophie Trébuchet, la mère de Victor Hugo. Mais aussi scandaleuses (la reine Margot), saisissantes (Landru) ou sublimes (Louise Labé).

description

André castelot a suivi pas à pas la vie d'un prince de charme qui devint roi en 1824, à soixante-sept ans, et gâcha des atouts parce que, pensant trop à Dieu et à Versailles, il admit mal que la Révolution et l'Empire aient changé la France.

N " en 1757, le comte d'Artois, frère de Louis XVI et du Comte de Provence, fut un jeune homme désinvolte, libertin, dépensier, mais il plaisait et, dans les années précédant la Révolution, il rallia sous le signe de l'absolutisme une coterie dont l'agitation était dirigée à la fois contre le roi et le comte de Provence. S'il fut incontestablement léger et dépourvu de sens politique, il supporta ses éxils avec une certaine grandeur, encore que ses projets visant à secourir la Vendée n'aboutirent qu'à un vain séjour de six semaines à l'île d'yeu.

Converti à la piété la plus ardente par son édifiante amie Mme de Polastron, l'ancien libertin retrouvera la France avec sa nostalgie de l'Ancien Régime et devint, sous le règne de son frère, l'espoir des ultra-royalistes hostiles au " libéralisme " de Louis XVIII. J'ai mes " vieilles idées, disait-il, et je veux mourir avec elles ". Mais ces " vieilles idées " devaient conduire à une catastrophe. Fort populaire lors de son avènement -il avait l'air jeune, il avait de la grâce et voulait sincèrement le bonheur de son peuple-, il fut victime de ses maladresses et de celles de son administration.

Ni la bonne gestion de la France, qui fut heureuse sous son règne injustement décrié, ni le débarquement en Algérie, ne vinrent compenser un dénigrement systématique orchestré par la presse " libérale ". Et, parmi les ordonnances de juillet 1830, ce fut celle qui supprimait la liberté de la presse qui déclencha la révolution. C'est à la cour trop aimable de Trianon que tout avait commencé, c'est à Rambouillet que tout s'acheva.

L'abdication fut suivie d'un dernier et douloureux exil, terminé par la mort en 1836, à Goritz, d'où le corps du dernier roi de France sera peut-être un jour rapatrié pour être inhumé à Saint-Denis.

Dans la nuit du 28 au 29 mai 1418, commende le massacre des Armagnacs par les Bourguignons. Pour sauver le petit dauphin, fils de Charles VI le Simple et d'Isabeau de Bavière, son maître d'hôtel le fait sortir du Louvre en secret et gagne la campagne. Devenu Charles VII, le roi de France ne rentrera dans Paris que vingt ans plus tard, avant de retourner à la région qui l'a abrité et qu'il préfère entre toutes : la val de Loire. Pendant plus d'un siècle, ses successeurs l'imiteront, puis les Valois-Angoulême en feront leur résidence favorite jusqu'à la fin de XVIe siècle.

Fille naturelle d'une couturière et d'un moine, belle, gaie et intelligente, jeanne Bécu passa de la prostitution sous la protection d'un "maquereau du beau monde" au rang de favorite royale d'un Louis XV sexagénaire. Étonnant destin que celui de Madame du Barry, reine de la main gauche, qui exerça une grande influence politique avant d'être une des dernières victimes de la Révolution. Un extraordinaire parcours que André castelot retrace de façon alerte, vivante et passionnante.

Talleyrand n'a cessé de subjuguer, intriguer, révolter ses contemporains et tous ceux qui, depuis lors, ont voulu savoir qui était ce diplomate hors pair, ce cynique absolu qui fit et défit les régimes avec une prodigieuse habileté et sans scrupules.

De lui, Victor Hugo dira : "Il était noble comme Machiavel, prêtre comme Gondi, défroqué comme Fouché, spirituel comme Voltaire et boiteux comme le diable."

Edition illustrée de "La Révolution Française" d'André Castelot. Exécutée par les Services Techniques de "La Librairie Académique Perrin".

Texte revu et corrigé par Louis Perrier.

André Castelot, Grand Prix d'histoire de l'Académie Française pour l'ensemble de son oeuvre.

De château en château célèbre, de site en site illustre, en France et à l'étranger, André Castelot vous fait revivre quelques passionnants moments de l'Histoire avec toute sa séduction de conteur-né.

Parmi ces récits :

- Le massacre de la Saint-Barthélémy.

- Une journée de Marie-Antoinette à Versailles.

- Napoléon et l'amour.

- De l'assassinat de Raspoutine à la tragédie d'Ekaterinbourg.

- La "Triste Pepa", mère des trois derniers rois de France.

- Le roi Farouk, dernier "Pharaon" d'Egypte, abdique.

- De l'assassinat de Raspoutine à la tragédie d'Ekaterinbourg.

Quel destin extraordinaire que celui de Françoise d'Aubigné qui, née à Niort en 1635, dans la prison ou était incarcéré son mauvais sujet de père, mariée à 17 ans au poète Scarron, quadragénaire contrefait et paralytique mais spirituel, épousa secrètement Louis XIV en 1683.

À défaut de plaisir et de bonheur, le mariage incongru avec Scarron lui valut d'attirer l'attention de personnages importants qui fréquentaient son salon.

Belle, intelligente, fine et vertueuse, elle s'y fit des relations qui l'introduisirent à la Cour...

André Castelot raconte la vie amoureuse de Napoléon et, plus généralement, son comportement avec les femmes, de sa sortie de l'Ecole militaire à Sainte-Hélène.

Autrement dit, on passe de son premier amour, Désirée Clary, la " fiancée marseillaise ", à sa dernière tentation (vaine), Fanny Bertrand, l'épouse du Grand Maréchal.

Entre les deux, son unique véritable amour, l' " incomparable Joséphine " ; puis Marie Walewska, l' " épouse polonaise ", et Marie-Louise, qu'il a un peu aimées parce qu'il a eu un fils de chacune d'elles.

Il y a aussi les maîtresses prises et abandonnées au gré des circonstances : Pauline Fourès, la " sultane d'Egypte ", Eléonore Denuelle, Mademoiselle Georges, la tragédienne, Grassini, la cantatrice. Le sujet paraîtrait frivole si les relations avec les femmes d'un homme aussi puissant que Napoléon n'avaient influé sur la condition féminine.

On peut se demander en effet si la muflerie de l'Empereur à l'égard des dames de la Cour, ses permanentes réflexions amères sur la gent féminine et surtout la misogynie dont il imprégna le code civil ne furent pas le prix payé par toutes les femmes pour les infidélités d'une seule, cette Joséphine qu'il aimait comme un fou.

Les 4 et 5 avril 2012 s'est tenu à Paris, sous l'égide de la fondation Napoléon, un colloque international présentant le dernier état de la recherche sur ce qui s'est passé, sur le terrain, dans les esprits et dans la mémoire collective, dans la deuxième moitié de 1812. Des spécialistes français –parmi lesquels Patrice Gueniffey, Antoine d'Arjuzon, Jean-Joël Brégeon-, russes, anglais, polonais, italiens ont conjugué leurs points de vue et leurs talents en une trentaine de contributions, réunies par deux de nos meilleurs historiens (Thierry Lentz et Marie-Pierre Rey) et introduites par Jean Tulard. Ils ont ainsi fait parler de la campagne de Russie à la fois à travers les statistiques, les acteurs, les écrivains, les peintres et le cinéma. Cet éclairage multiple fait surgir une autre histoire, plus riche et plus complexe qu'on ne le croit, de cet événement extraordinaire dont la dimension tragique, incarnée par Napoléon lui-même, n'a pas cessé d'habiter et d'agiter les esprits.

Joséphine d'André Castelot reste la plus vivante des biographies qui aient été consacrées à la première impératrice des Français. Marie-Rose Tascher de...› Lire la suite la Pagerie, née à la Martinique en 1763, fut d'abord la malheureuse épouse du vicomte de Beauharnais avant de devenir en 1796 la générale Bonaparte et une égérie du Directoire. La délicieuse, aimable et insouciante créole cessa d'être infidèle à son mari quand celui-ci revint d'Egypte. Elle devint alors une auxiliaire efficace de sa marche au pouvoir, encore qu'elle eût aimé qu'il se contentât d'un consulat. " Bonaparte, je t'en prie, ne te fais pas roi ", osa-t-elle lui dire. Elle devinait sans doute que, si elle devenait impératrice, son incapacité de donner un héritier à Napoléon la condamnait à terme. Elle n'évitera pas le divorce (1809) mais Napoléon était sincère quand il disait : " Incomparable Joséphine... C'est la femme que j'ai le plus aimée. "

L'ardente Marguerite de Valois, puis de Navarre, petite-fille de François Ier, fille de Henri II, soeur de François II, Charles IX et de Henri III, première épouse de Henri IV, connut une existence romanesque. Certes, "elle avait la tête près du bonnet, a dit Ronsard, et le bonnet volontiers de travers", et l'on peut critiquer bien de ses intrigues politiques, mais celle que l'on appelait la "déesse de son siècle", par son intelligence, son érudition, son goût pour le latin et la poésie, a ébloui tous ceux qui l'on vue vivre et aimer. Brantôme fut amoureux de la belle Margot, "si belle que rien n'existe, disait-il, de si beau au monde". Et ses nombreux amants furent bien de cet avis. Des amants dont plusieurs furent assassinés et exécutés ou même, pour deux d'entre eux, tués jusque dans ses bras... Ayant mené la guerre contre son frère Henri III et son mari Henri IV, emprisonné durant dix-neuf années à Usson, sinistre nid d'aigle auvergnat, ce personnage d'amour, de cape et d'épée, fut assurément la plus extraordinaire princesse de l'histoire de France.

Quand elle était petite, Eugénie de Montijo rencontra une vieille femme qui lui prédit ceci : « Tu iras très haut, tu vivras cent ans et tu finiras dans la nuit. » Ce destin fabuleux se réalisa, en effet, pour la petite espagnole devenue impératrice auprès de Napoléon III.

Destin extraordinaire aussi, celui de Madame du Barry, si belle, qui « sut vivre intensément, mais ne sut point mourir ». Destin tragique, celui de Mozart, génie de la musique enterré dans la fosse commune…

De Cyrus, le roi des rois de qui nous avons hérité l’usage du pantalon, à l’ange meurtrier que fut Charlotte Corday, ou à Cicéron, l’espion auquel Hitler ne croyait pas, André Castelot nous raconte trente-cinq vies, trente-cinq destins éblouissants, surprenants, captivants – et avant tout exceptionnels.

Une biographie du monarque français par un historien qui a donné le goût de l'histoire à des millions de français et a publié des ouvrages sur Marie-Antoinette, Napoléon et Talleyrand.

Constamment rééditée depuis plus de quarante ans, la Marie-Antoinette d'André Castelot est non seulement le plus grand de ses innombrables succès, mais reste sans doute le best-seller des biographies, toutes époques et tous personnages confondus. Près d'un million d'exemplaires vendus en librairie, auxquels s'ajoute le succès stupéfiant de sa traduction américaine (450 000 exemplaires). On s'accorde pour estimer, malgré le temps qui passe et les nombreuses biographies parues depuis, que celle de Castelot " n'a pas pris une ride ".

Prince allemand, pensant allemand, parlant allemand, tel fut le fils de l'empereur jusqu'à l'âge de seize ans. Et puis, soudain, l'Aiglon prit conscience de l'Aigle, et un retournement complet s'opéra dans sa vie.

La découverte, toute récente, des archives privées de l'impératrice Marie-Louise - plusieurs milliers de lettres - a permis à André Castelot de jeter sur cette destinée tragique de l'Aiglon des lumières inattendues.

Auteur d'un monumental Napoléon III en deux volumes , André Castelot s'était naturellement penché sur la funeste guerre du Mexique, qui devait être « la plus grande guerre du règne ». C'est ainsi qu'il fut conduit à nous conter l'histoire de Maximilien (1832-1867), archiduc d'Autriche, empereur du Mexique en 1862, par la grâce de Napoléon III et de notables mexicains, et de son épouse Charlotte (1840-1927), fille du roi des Bulgares Léopold Ier. Il y a dans cette histoire de l'amour, du rêve, des intrigues, de la trahison. Celle de la France qui abandonna celui qu'elle avait plongé dans ce guêpier, et la fin dramatique que l'on connaît : l'empereur Maximilien est fusillé par les Mexicains en juin 1867, l'impératrice Charlotte, désespérée, sombre dans la folie dès 1866, mais vivra encore 60 ans dans cet état.

Toute l'histoire de France des origines à nos jours rassemblée selon un classement alphabétique. 4000 articles, des développements encyclopédiques sur certains sujets particulièrement importants, 3000 illustrations en noir et blanc et en couleur, des cartes, des plans, des croquis et des tableaux généalogiques. un instrument de culture unique, un indispensable ouvrage de référence, très attrayant et facile à consulter.

A comme Alfred de Musset, B comme Benjamin Constant, C comme Christine de Suède, D comme Diane de Poitiers...

Cet alphabet est celui des amours célèbres que nous conte André Castelot.

Passant allègrement d'un siècle à l'autre, franchissant les frontières, nous jetons un regard indiscret au fond des alcôves et des tiroirs secrets nous écoutons aux portes, nous feuilletons les journaux intimes.

Amours légitimes ou clandestines, amants maudits, époux fidèles, mariages princiers qui font et défont l'Europe, disgrâces et intrigues derrière ces cinquante et un récits cocasses ou tragiques, nous découvrons que l'Amour est le nerf de la guerre et la trame de l'Histoire.

Source : J'ai Lu

En 1856, au couvent versaillais de Grand-Champs, une petite fille, aux cheveux châtains ébouriffés, âgée de douze ans-matricule 32- regarde avec envie ses camarades répéter une pièce écrite par la sœur Sainte-Thérèse, en l'honneur de la visite- le lendemain-de Mgr Sibour, archevêque de Paris.

André Storms, dit André Castelot, né le 23 janvier 1911 à Anvers et mort le 18 juillet 2004 à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain, journaliste, biographe et scénariste français d'origine belge. Auteur de nombreux livres consacrés à l'Histoire, il n'hésitait pas à se transformer en reporter. Se rendre sur le terrain, affirmait-il, était le seul vrai moyen de « s'approcher au plus près de la vérité historique ».

Lorsque naquit, en 1778, la fille de Marie-Antoinette et de Louis XVI, Madame Royale, qui, par son mariage, deviendra la duchesse d'Angoulême et, durant quelques minutes, le 2 août 1830, la reine Marie-Thérèse de France, aucune fée Carabosse ne s'approcha fort heureusement de son berceau pour lui prédire son effrayante destinée...

L'échafaud fauchera son père, sa mère, sa tante, ses amis et ses serviteurs. La Révolution fera disparaître son frère et la gardera elle-même trois années et demie en prison. Comme plus tard l'Aiglon, autre otage français de la politique autrichienne, elle connaîtra la claustration dans le jour glauque de la Hofburg. Petite-fille d'empereur, fille, sœur, femme, nièce et belle-fille de roi, elle assistera à trois révolutions, s'expatriera à trois reprises et subira quarante années d'exil.

L'histoire du monde ne renferme peut-être pas un seul exemple de pareils renversements.

Source : Pocket

Louis XVII est-il mort au temple ? Lui a-t-on substitué un enfant ? S'est-il évadé ? Naundorff est-il le vrai dauphin ? ou Hervagault ou Charles de Navarre ? Depuis plus de 150 ans, ces interrogations sont posées et restent sans réponse. Revenant définitivement sur une affaire qu'il a souvent étudiée depuis de longues années A. Castelot l'a déblayée de toutes les surcharges, de tous les commentaires dont on l'a obscurcie la plupart du temps. Il a voulu s'en tenir aux stricts documents et apporte enfin toute la clarté possible à ce jour, à une des plus étranges énigmes du passé.

Les grands faits de l'Histoire, classés par saisons.

Quatrième volume, Hiver.

C'est une revue à travers les siècles que vous allez trouver ici, un vagabondage d'anniversaire en anniversaire - et en vous laissant conduire par notre seule fantaisie. Existe-t-il plus délicieuse maîtresse?

Laissons donc la place aux ombres qui, dans ce pèle-mêle de l'Histoire au jour le jour, vont revivre, le temps d'une journée de printemps ou d'été, le temps d'une soirée d'automne ou d'hiver.

"Le long du coteau courbe et des nobles vallées

Les châteaux sont semés comme des reposoirs,

Et dans la majesté des matins et des soirs

La Loire et ses vassaux s'en vont par ces allées.

Cent vingt châteaux lui font une suite courtoise,"

Ainsi Charles Péguy célèbre ce merveilleux Val de Loire au ciel tendre et clair, aux paysages équilibrés, qui a engendré à son image l'art le plus raffiné et le plus aristocratique de la douce France.

« Aujourd'hui vingt-sept juillet 1763, j'ay Baptisé une fille âgée de cinq semaines, née du Légitime mariage de Messire Joseph Gaspard de Tachers, Chevalier Seigneur de la Pagerie, Lieutenant d'Artillerie Réformé, et de Madame MarieRose des Vergers de Sanoix, ses père et mère. Elle a été nommée Marie Josèphe Rose... »

Cette petite fille qui venait de naître aux Trois Ilets, à la Martinique, sera baptisée Joséphine par son mari.., un mari nommé Napoléon.

Un jour « Rose » s'en alla voir une devineresse caraïbe. Celle-ci regarda, éblouie, la petite créole et lui dit :

- Toi, tu seras plus que reine !...

Et la prédiction se réalisera ! Après un premier mariage malheureux, Joséphine deviendra reine d'Italie et impératrice d'un empire s'étendant de Brest à Varsovie et de Hambourg à Rome. Rois, reines et empereurs se bousculeront pour obtenir d'elle l'un de ses radieux sourires. Et puis... Et puis un jour tout s'écroulera. L'héroïne de l'épopée sera contrainte de laisser sa place à la féconde Marie-Louise. Joséphine ne sera plus rien, mais sa fille était reine de Hollande, son fils vice-roi d'Italie... L'un de ses petitsenfants deviendra l'empereur Napoléon III et aujourd'hui le sang de Joséphine coule dans les veines de presque toutes les familles royales et princières d'Europe.

Amoureuse Joséphine ! Une vraie femme avec tout ce que cela comporte de merveilleux... et d'insupportable !

Source : Pocket

André Castelot qui a écrit un Henri IV, puis une Reine Margot, s'est attaché tout naturellement à Marie de Médicis (1573-1642), la seconde épouse du Vert Galant. IL est vrai que la vie pleine de rebondissement de cette femme belle, entêtée, passionnée, vindicative et pieuse, se prête à l'histoire vivante et colorée, telle qu'André Castelot aime à la raconter. Mariée à vingt(-sept ans à Henri IV, la fille du Grand-Duc de Toscane supporta mal à la fois la liaison du roi avedc Henriette d'Entragues et ses faiblessespour les huguenots, au point que certains estimèrent, à tort sans doute, qu'elle n'était pas étrangère à l'assassinat de son mari par Ravaillac. Régente sans contrôle et sans partage, elle suscita d'autant plus d'oppositoons que, sous influence de ses favoris, les COncini, elle écarta les conseillers du fu roi, ainsi que les Grands du Royaume. L'assassinat de Concini en 161, à l'instigation du jeune Louis XIII, marqua la fin de sa régence et le début de quinze années d'affrontements opposant le fils et la mère, car Marie ne se résignera jamais à abandonner les affaires. Une histoire tissée d'intrigues et de complots qui se dénouera par la fameurse "journée des dupes" au cours de laquelle la reine mère tenta d'écarter Richelieu qu'elle avait jadis promu et dont elle ne supportait pas l'ascendant sur son fils. Alors, assignée à résidence à Moulins puis à Compiègne, par un Louis XIII axcédé, elle s'enfuit et gagna l'étranger d'où elle ne cessa de comploter dans le plus grand désordre. Douze années d'errance jusqu'à sa mort à Cologne en, dix mois avant son fils. (4ème de couverture)

Histoire de la france et des francais au jour le jour la monarchie et la feodalite entre 1137 et 1213.

Cinquième tome de la série sur l'Histoire de la france et des français.

Après la chute de Charles X, Louis-Philippe fut proclamé roi des Français en 1830. Intelligent, secret, souverain-citoyen par raison, peu de rois furent plus vilipendés et menacés (sept attentats en dix-huit ans de règne).

Fille de François II, empereur germanique, Marie-Louise épousa en 1810 Napoléon Ier et donna naissance au roi de Rome en 1811. Régente en 1813, elle quitta Paris en avril 1814, pour l'Autriche. Le destin de cette femme sacrifiée aux intérêts politiques.

À sa naissance, six princes de sang avaient plus de droits que lui à la couronne de France. La religion protestante qu'il avait embrassée semblait l'éloigner encore plus d'une telle destinée. Adversaire du roi Henri III durant les guerres de religion, il devient pourtant son unique successeur, épouse Marguerite de Navarre et accède finalement au trône royal. Son oeuvre est éclatante : il réussit à apaiser les querelles religieuses et, par l'édit de Nantes, à donner la liberté de culte aux protestants. Aidé de Sully, il entreprend avec succès le redressement économique du pays.

Admirablement photographiés par Jérôme Cunha, spécialement pour cet album, voici les lieux et les objets imprégnés du souvenir de Joséphine Tascher de la Pagerie, vicomtesse de Beauharnais, puis générale Bonaparte et enfin impératrice des Français... titre qu'elle conservera jusqu'à son divorce de 1809, bien qu'elle n'y ait jamais aspiré. N'avait-elle pas lancé au Premier Consul : "Bonaparte, je t'en supplie, ne te fais pas roi !"

La Martinique, Paris, Milan, Compiègne, Fontainebleau et, surtout, Malmaison, jalonnent ce parcours de charme dont André Castelot, déjà auteur d'une grande biographie de l'"Incomparable Joséphine", comme l'appelait Napoléon, rappelle les principales étapes avec ce sens du récit vivant que tout le monde lui reconnaît.

André Castelot a su choisir et faire vivre les étapes les plus marquantes du prodigieux parcours de Napoléon qui entraîna ses armées au Caire, à Rome, à Vienne, à Madrid, à Berlin, à Moscou, occupa une grande partie de l'Europe, distribua les couronnes, fit passer (provisoirement) la France de 83 à 130 départements, et trouva le temps, entre quarante batailles, non seulement, de réformer profondément l'administration, le Droit, les Finances, l'Université, le Commerce, mais d'intervenir, personnellement dans une multitude de domaines aussi secondaires que le statut de la Comédie-Française ou la tenue des demoiselles de la Légion d'Honneur. Illustration et cartes à l'appui, André Castelot a atteint son objectif qui était de donner à ses jeunes lecteurs (et souvent à leurs parents) l'envie d'approfondir l'histoire de la Révolution, du Consulat et de l'Empire.

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