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Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant, Tome 1 : Initiation
Chroniques des vampires, Tome 1 : Entretien avec un vampire
Au final, un livre dévoré, un livre que, malgré la connaissance de l'histoire, j'avais bien du mal à lâcher une fois arriver à la fac... combien de cours n'ai je pas suivi pour finir ce livre?
bref une merveille, je dirais: l'origine des vampires dans notre littérature actuelle
Chroniques des vampires, Tome 1 : Entretien avec un vampire
Chroniques des vampires, Tome 3 : La Reine des damnés
J'ai beaucoup de choses à vous dire sur ce livre mais je ne sais pas vraiment par quoi commencer.
Dans un premier temps, l'histoire. Pratiquement aucun rapport avec le conte de notre enfance et franchement heureusement. Les ressemblances sont le fait que la jeune fille et toute sa cour dormait suite à un maléfice jusqu'à l'arrivée d'un Prince ainsi que le fait la jeune fille s'appelle Belle. De plus, il n'y a pas vraiment d'histoire. Ce n'est qu'une suite de descriptions de torture, d'humiliation... Sans que je n'ai vraiment compris le but recherché par l'auteure.
La Belle est une jeune fille qui ne connaît rien à la vie et pour cause passer cent ans à dormir ça ne vous permet pas de faire grand chose... Dans ce premier tome, elle est constamment humiliée, battue, j'ai même envie de dire torturée. Elle semble n'avoir aucune personnalité mais en même temps, elle n'a pas vraiment la place de l'exprimer. Malgré tout, elle est dotée d'un fort caractère et semble intelligente. Si je devais décrire ce que j'ai ressentie pour elle pendant toute la durée de ma lecture c'est de la pitié.
Le Prince qui est bien loin d'être charmant, est un tortionnaire qui soit disant prend du plaisir sexuel (nous sommes quand même censé être dans un livre érotique) en battant et humiliant ses esclaves, ses partenaires de jeux (il les nomme ainsi lui-même). Le problème c'est que l'auteure ne nous fait absolument pas passer ce plaisir dans ces mots...
A l'image de la Belle et du Prince, les personnages de ce livre sont séparés en deux parties : les esclaves et les gens du château qui sont les tortionnaires, les maîtres de ces premiers. Qu'ils soient homme ou femme, les esclaves sont mal traités, humiliés tandis que les maîtres sont choyés... y compris par les habitants des villages appartenant au royaume.
Côté narration, il s'agit d'un narrateur extérieur ce qui m'a donné l'impression d'être une voyeuse ce qui est vraiment désagréable. Je n'ai ressenti aucun des sentiments des personnages lors de ma lecture, le seul ressenti c'était le mien : colère, pitié mais en aucun cas plaisir.
Pour conclure, vous l'avez certainement compris, j'ai détesté ma lecture et ne l'ai terminé que parce que j'aime terminer ce que je commence. Pour reprendre la comparaison que fait l'éditeur lui-même : dans Fifty shades l'héroïne est totalement consentante alors qu'ici c'est totalement l'inverse.
http://mabiblio1988.blogspot.fr/2013/01/les-infortunes-de-la-belle-au-bois.html
Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant, Tome 1 : Initiation
Mais pas dans le bon sens hélas. A force de lire des romans tels Fifty Shades, Crossfire, Beautiful Bastard, Dublin Street où encore Stark, on finit par se dire que tous les romans classés érotiques sont dans le même genre. Eh bien ce n’est pas le cas. En lisant ce livre, tout les autres me paraisse soft. Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant devrait avoir le titre de « roman pornographique » plutôt que « roman érotique ». Je n’ai pas l’âme sensible, pas du tout, pourtant ce livre m’a profondément choquée. Faut être tordu pour écrire un truc pareil.
La Belle a été éveillée par le Prince, non pas par un baiser, mais par les délices du sexe. Désormais, elle est son esclave et il va l’emmener dans son château afin de parfaire son éducation sexuelle, lui faire subir humiliations et punitions jusqu’à ce qu’elle soit complètement soumise…
Les personnages de ce livre n’ont pas vraiment de personnalités. La plupart ne sont que des jouets sexuels, des pantins dénués de volontés. En clair, lire ce livre a été une véritable torture. Il est fait pour les amateurs de sexe vraiment extrême, et ne doit jamais être classé dans la même catégorie que Cinquante Nuances de Grey. Croyez, Cinquante Nuances est vraiment prude en comparaison. Je ne comprends pas comment on pourrait apprécier ce livre, mais ce n’est que mon avis personnel. Les personnages subissent humiliations encore et encore, des viols et des tortures, ce livre est plus que pervers, il est malsain et tordu.
Faut avoir des tripes pour lire ce livre. C’est la première fois que j’ai vraiment failli abandonner ma lecture. C’était trop extrême pour moi, le BDSM va beaucoup trop loin, c’est un véritable endoctrinement pour les esclaves, ils ne sont que des objets, traités de façon misérable. Je ne supporte pas de lire ce genre de choses. Ce livre a été une grosse déception pour moi. Il peut plaire aux amateurs de sexe extrême. Mais pour moi ce livre, c’est du porno tordu. C’est du sexe non stop pendant 320 pages. Il n’y à pas d’arrêt, c’est constant, pas d’histoire profonde, il n’y à que du sexe, du sexe, du sexe. Il m’a quasiment écoeurée des romans érotiques. Sincèrement, ce livre m’a même donnée envie de vomir par moment. La seule chose que je lui accorde, c’est la très belle écriture, une plume fluide et magnifique, Anne Rice écrit très bien, c’est envoûtant. Mais son histoire était bien trop tordue, trop extrême et malsaine pour moi. Je n'ai qu'une envie, ranger ce livre dans ma bibliothèque et ne plus jamais en entendre parler.
Une chose est sûre, plutôt mourir que de lire le tome 2 !
Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant, Tome 1 : Initiation
Je le recommande vivement ...
La première histoire est ma préférée ;-)
Le Maître de Rampling Gate et autres nouvelles
Chroniques des vampires, Tome 1 : Entretien avec un vampire
Chroniques des vampires, Tome 1 : Entretien avec un vampire
Ainsi, à la recherche des anciens, il rencontrera Armand, puis Marius...
L'approche des vampires de Anne Rice est assez singulière, s'écarte de la tradition vampirique des pieux dans le coeur, des crucifix et de l'ail. Ces vampires là ont l'air plus "vrais", plus réels dans leur psychologie qui est très bien développée. On vit vraiment dans ce monde et on en apprend la complexité de cette vie, et à la fois l'anarchie qui règne dans ce qu'on pourrait croire être une société de vampires. Mais il n'en est rien, Lestat s'en aperçoit vite. Tout chez les damnés n'est qu'anarchie, incompréhension, perditude, solitude. Rien ne les unis que leur mode de vie.
Cette biographie de Lestat précède bien évidemment Entretien avec un vampire dans la chronologie, mais il a été écrit après ; il est le 2nd dans la chronique des vampires. La fin du livre fait directement lien avec la Reine des Damnés qu'il introduit.
Chroniques des vampires, Tome 2 : Lestat le vampire
Chroniques des vampires, Tome 3 : La Reine des damnés
Mais pire que tout, je crois que c'est l'histoire elle-même. L'auteur veut prôner la discipline et l'humilité, mais moi je n'y vois que l'humiliation... C'est censé être un roman érotique, et dans érotique je comprends qu'on doit prendre un certain plaisir à la lecture, un réel plaisir. Or ici, je n'ai ressenti que dégoût tout au long du roman. Il faut dire aussi que plus d'une fois il est question de viol. Difficile de trouver ça excitant...
Sachez aussi que si vous cherchez quelque chose s'approchant du conte, ce n'est pas vers ce livre qu'il faut se tourner. En effet, l'histoire de la Belle au bois dormant ne sert qu'à introduire les personnages et rien de plus. Passé le premier chapitre, ça n'a plus rien à voir avec le conte d'origine. Même le réveil de la Belle n'a en fait rien à voir.
Autre point qui m'a assez déçue, surtout venant d'une autrice comme Anne Rice, ce sont les répétitions. Les esclaves sont attachés et/ou fessés à coup de battoirs. Et ensuite ? Bah ils sont attachés et/ou fessés à coup de battoirs. Du début à la fin, on n'a pas de grandes nouveautés et on a l'impression que le sujet s'épuise très vite. À se demander comment il est possible d'en faire 3 tomes de quasi 300 pages chacun. C'est d'autant plus dommage que du coup on ne se pose pas vraiment de questions et on n'a pas forcément envie de connaître absolument la suite.
En revanche, un bon point que l'on peut attribuer à Anne Rice, c'est son éloignement des standards montrant la femme comme soumise et l'homme comme dominant, point barre. Ici, on a de tout : des hommes soumis, des hommes dominants, des femmes soumises et des femmes dominantes. On a aussi de l'hétéro et de l'homo. Un sacré mélange quoi.
Pour être honnête, si des amies n'étaient pas aussi enthousiasmées par cette trilogie, je crois bien que je n'aurais jamais le courage d'ouvrir le second tome. Car ce premier tome ne donne franchement pas envie de continuer, et je comprends les mauvaises critiques qu'il a pu recevoir. À voir si la suite est mieux. Mais étant donné le résumé du second tome, j'ai un peu peur...
D'ailleurs, dernières petite précision. J'ai pu voir sur la couverture de la nouvelle édition "Si vous avez aimé Cinquantes Nuances, vous adorerez la sulfureuse trilogie d'Anne Rice". Non, non et non ! Aucun rapport entre les deux bouquins, si ce n'est la possible overdose de scènes de sexe ! Fifty shades c'est gentillet et tout mignon. Les infortunes c'est hard et pas du tout romantique ! Ni sulfureux d'ailleurs.
Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant, Tome 1 : Initiation
Les Infortunes de la Belle au Bois Dormant, Tome 1 : Initiation
De son côté, Guido, castré à l'âge de six ans, perd sa voix une fois adulte et devient alors compositeur. Son rêve de devenir chanteur s'effondre et bientôt, son désir le plus cher sera de trouver LA voix qui interprêtera sa musique et les mênera tous deux au sommet de la gloire.
Avec ce livre, Anne Rice nous entraîne dans l'Italie du XVIIIème siècle, à la splendeur grandissante, cette Venise en décadence et à l'apogée de l'opéra et des artistes de renom, qu'ils soient chanteurs ou musiciens. De cette société aux moeurs dissolues, de ces jeunes garçons châtrés enfant afin d'immortaliser la pureté et l'innocence de leur voix, de ces castrats à la voix d'or à la fois adulés et en marge de la société, ces êtres ni femme ni tout à fait hommes...
La réputation de l'auteur sur son style d'écriture n'est définitivement plus à faire. Sa plume, quelque soit le genre d'ouvrage, à toujours autant d'effet. Le texte, au vocabulaire riche et aux descriptions captivantes dans un style que l'on pourrait voir comme Romantique, reste indubitablement bien écrit. Une merveille de la littérature à lire si vous aimez l'écriture de l'auteur. Tout le livre exhale une certaine sensualité si courante dans les textes d'Anne Rice, où l'on retrouve également des scènes d'amour masculines entre castrats et hommes "entier". Cependant, ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains, les descriptions des scènes érotiques étant suffisament détaillées et certaines d'entre elles pouvant choquer un public trop jeune.
Toutefois, si les amours entre hommes sont présentes, les amours hétérosexuels le sont également. Selon Guido, les castrats n'étant pas complètement hommes, jouissent d'une certaine liberté dans leurs relations amoureuses.
Si le livre est déjà fameux de part son écriture, il l'est d'autant plus par le travail de recherche et de documentation qu'a effectué l'auteur pour donner à son roman une dimension d'autant plus réaliste. Et ce, que ce soit au niveau historique, pour la vraisemblance des faits relatés qu'au niveau musical. Des noms de castrats reconnus y sont mentionnés, comme Farinelli ou Caffarelli. On retrouve énormément de termes techniques appartenant au champ lexical de la musique tout au long du livre, l'histoire étant essentiellement axée sur le chant et l'opéra. Cette profusion de termes spécifiques amplifie la richesse du langage.
On ressent également un travail de recherche sur le plan médical, notamment pour les particularités physiques des castrats.
Le texte aborde également des thèmes diversifiés, comme l'homosexualité, la dualité entre les hommes et les femmes ou encore l'image et l'acceptation de soi. Et l'auteur reviendra souvent sur ce sujet, en particulier avec le personnage de Tonio, châtré contre sa volonté. L'idée de ne plus être un homme à part entière, de n'être qu'un eunuque, autrement dit un monstre à ses yeux, l'obnubile au point qu'il fera tout pour se défaire de cette image, de cette étiquette qui lui colle à la peau.
Les personnages, suffisament nombreux mais pas trop, sont complexes et très bien travaillés. Leurs émotions, surtout celles de Tonio et Guido qui sont les personnages majoritairement principaux, sont vraiment très bien décrites, si bien que l'on ressent parfaitement la détresse et la solitude qui habite Tonio tout au long du livre. Très vite, on se rend compte que Tonio comme Guido sont tous deux des personnages mentalement torturés, comme on en retrouve si souvent dans les oeuvres d'Anne Rice. Leurs ressentis sont tels qu'il est aisé pour le lecteur de s'identifer et s'attacher aux personnages au caractère bien définis. Il est intéressant de voir, au fur et à mesure que l'histoire avance, la façon dont Tonio évolue et gagne en maturité.
Pour conclure, je dirais que, La voix des anges, c'est le genre de livre qui reste dans la tête et qu'il est impossible de se défaire tant que le livre n'est pas terminé, et même encore après. Une histoire captivante et sensuelle qui ne laissera personne indifférent. A découvrir !
La Voix des anges
Saga des sorcières, Tome 1 : Le Lien maléfique