Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 951
Membres
1 009 063

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Anne Wiazemsky

Printemps 1965. Anne, la narratrice, a dix-huit ans quand elle rencontre le cinéaste Robert Bresson. Cette entrevue a été organisée par son amie Florence, laquelle tenait le premier rôle dans Le procès de Jeanne d’Arc. Persuadée que Anne est l’actrice idéale pour interpréter Marie dans Au hasard Balthazar, le prochain film du maître, Florence la pousse à auditionner malgré sa complète inexpérience. Au fil des séances d’essai, la présence d’Anne, son attitude, sa voix convainquent Robert Bresson de la nécessité de ce choix. Mais Anne est encore mineure, et il s’agit de faire accepter le projet à son grand-père, François Mauriac. Heureusement pour elle, ce dernier mesure toute l’importance de cette opportunité.

Pendant plus d’un mois, Anne va faire l’expérience d’un plateau de cinéma. Robert Bresson, lui, instaure un jeu ambigu, entre séduction et domination. Bien que repoussant ses avances, Anne subit son emprise psychologique et le magnétisme de son génie artistique. L’actrice sent qu’une métamorphose s’opère en elle, suscitée par des désirs puissants mais confus, qui exacerbent sa sensibilité.

Un week-end, elle décide de coucher avec un jeune type de l’équipe, afin de calmer son hypersensibilité. Une étape fondamentale vient d’être franchie. Son caractère s’affirme, elle ose tenir tête à Bresson, renversant le rapport de séduction en sa faveur, tout en découvrant, jour après jour, la magie du métier d’acteur. À la fin de l’été, le film terminé, Anne sait qu’un avenir est désormais possible.

L'une guette l'improbable appel de son amant, une autre se saoule, une autre confond le putsch d'Alger avec l'anniversaire de ses dix ans, une autre encore retrouve, après vingt ans d'absence, son père devenu clochard et millionnaire. Elles attendent. Elles souffrent. Elles sont heureuses avec douceur. Six histoires. Des émotions d'enfants, de jeunes filles, de jeunes femmes. Amoureuses, espiègles, comblées ou déçues, elles se préparent aux chagrins comme aux espoirs les plus désordonnés. Anne Wiazemsky aime ses jeunes héroïnes comme si chacune contenait une part de ses propres rêves. Et elle nous offre ceux-ci tels quels, sensuellement, précisément, discrètement.

Quatrième de couverture

Caracas, 20 avril 1962. Pour la troisième fois, Roséliane, treize ans, fille de haut fonctionnaire, embarque sur le magnifique transatlantique Balboa : une traversée de douze jours va la mener en France pour les vacances scolaires. Femmes seules, officiers séducteurs, dîners, fêtes : l'oeil aigu, l'âme troublée, le coeur en alerte, entre la magie de l'enfance, son humour féroce, et les émois de l'adolescence, en compagnie de Dimitri ou de sa nouvelle amie Dominique, inquiétante et fascinante, Roséliane observe le ballet des conquêtes, des jalousies, des abandons, des jeux adultes. Que se passe-t-il, la nuit, dans les cabines, dans les coursives, autour de la piscine ? Et à quoi joue donc sa mère, la belle Pauline ? Les réponses ne lui seront données qu'au terme du voyage qui restera dans sa mémoire, avec ses enchantements et ses désillusions, comme le passage déchirant d'une de ces frontières imaginaires en deçà desquelles on ne revient jamais.

Marimé, c'est une demeure familiale en Bretagne, tout au bord de la mer. Malgré son passé, malgré tant de jours heureux - ou de secrets drames familiaux -, la...› Lire la suite famille Chevalier s'en désintéresse. Seule Catherine ressent comme une intolérable blessure les menaces d'abandon de la vieille propriété de sa jeunesse. Catherine, photographe, se retrouve à Marimé avec son amie Annie, plus jeune, comédienne, "goinfre les choses". A l'improviste, Florence viendra les rejoindre; Florence la lumineuse, la rassurante, la bien-mariée, l'heureuse mère. A peine est-elle là, d'ailleurs, que les menaces s'éloignent, que Marimé semble revivre. Et l'arrière-été, est si beau... C'est par des chemins rapides, inattendus et sournois que la mort, l'amour et la vie viendront choisir en quelques jours, parmi ces trois femmes, leurs proies. Laquelle sera sauvée, laquelle se perdra? Trois destins de femmes d'aujourd'hui, si proches, si dissemblables. Après la grâce adolescente, le charme et l'humour très personnels qui faisaient l'attrait de Mon beau navire, Anne Wiazenisky fait preuve ici d'une nouvelle maîtrise de l'art du roman. Anne Wiazeinsky s'est fait connaître comme comédienne dès sa dix-septième année, tournant avec Bresson, Pasolini, Jean-Luc Godard, Illarco Ferreri, Philippe Garrel des rôles aussi importants que ceux de La Chinoise ou de la jeune fille de Théorème, avant d'aborder le théâtre (Fassbinder, Aovarina) et la télévision. Elle a publié des nouvelles, Des filles bien élevées (Grand Prix de la nouvelle de la Société des gens de lettres, 1988), et au roman, Mon beau navire (1989).

Amoureuse abandonnée, comédienne presque débutante, Alexandra accepte un des principaux rôles de l'injouable "Penthésilée" de Kleist, sauvage tragédie de l'amour impossible qu'un metteur en scène génial et caractériel, Jean Lucerne, veut présenter au festival d'Avignon.

Comme une lèpre invisible, la perversité des rôles et des situations de la pièce contamine les personnages de chair, étrange matière humaine que façonne Lucerne dans une sorte de délire destructeur autant que créateur, qui culminera avec la première représentation...

Quatrième de couverture

Pourquoi le père d'Anne a-t-il demandé, dans son testament qu'on donne à une certaine dame résidant à Genève le disque bien connu d'Edith Piaf Hymne à l'amour ? Pourquoi la même chanson a-t-elle une si grande importance pour sa mère, comme si elle avait été l'hymne national d'une passion défunte ? Plus tard, bien plus tard, Anne partira pour Genève, à la recherche de la mystérieuse dame qu'avait aimée son père. Ce beau livre, écrit avec tendresse, recèle bien d'autres histoires. Par exemple celle de Madeleine, qui avait illuminé les jeunes années de l'auteur. Il était si doux, pour les enfants, de se blottir contre ses jolis seins. Malgré la déchéance finale de Madeleine, elle aussi inspire un hymne à l'amour. De temps en temps, l'illustre grand-père, François Mauriac, apparaît au moment le plus insolite. Va-t-il se fâcher ? Le temps qui a passé permet d'en rire. On oublie pour un instant tous ces coeurs blessés, qu'Anne Wiazemsky sait faire renaître avec l'ambiguïté du souvenir.

A Paris, Marie Belgorodsky, une femme de quarante ans d'origine russe, n'a jamais vraiment éprouvé l'envie de retrouver " ses racines " et elle n'a jamais cherché à ressentir quelque sentiment de nostalgie ou autre à l'idée de sa famille princière dispersée aux quatre coins du monde après la Révolution russe. Un jour, Vassili Vassiliev, un historien ami d'une de ses grand-tantes, Nathalie Belgorodsky, lui propose une rencontre au cours de laquelle il lui transmet une copie du journal de bord, appelé Livre des destins, de Wladimir Belgorodsky dit Adichka tenu dans son domaine de Baïgora en Russie centrale entre mai 1916 et août 1917, il lui apprend aussi l'assassinat de cet homme le 15 août 1917. Ce journal fait le lointain récit de la vie quotidienne d'une famille noble composée de quatre frères et sours, de leurs conjoints et conjointes, de leurs nombreux enfants et encore plus de domestiques dans un vaste domaine géré de manière libérale et progressiste en Russie centrale. Le Livres des destins rend compte des troubles et de l'agitation qui gagne le pays en même temps que de pensées et de sentiments beaucoup plus personnels. Réticente au départ et ignorant absolument toutes ces choses, Marie va peu à peu se laisser happer par l'histoire de cette " poignée de gens " et elle se met à rechercher les traces de ces événements tragiques qui conduisent à la destruction de Baïgora, à la dispersion et à la mort de ses habitants.

Ce roman a reçu le prix du Roman de l'Académie Française en 1998.

Présentation de l'éditeur

" Des hommes, des femmes et des enfants, demeuraient serrés les uns contre les autres sur les ponts. Beaucoup pleuraient en silence. Beaucoup s'étreignaient. D'autres restaient à l'écart, prostrés dans une douleur muette. Tous éprouvaient le même chagrin, la même détresse devant l'inconnu qui s'ouvrait devant eux et qui ressemblait à cette nuit si noire et si hostile. Chacun, à ce moment, se retrouvait seul dans sa souffrance. Et chacun s'accrochait à une certaine idée de la vie, se promettait qu'il reviendrait, que l'exil ne durerait pas. Quelques-uns, seulement, savaient. Ceux-là regardaient disparaître les côtes de Russie le cœur déchiré, croyant encore les voir, quand il n'y avait plus rien que les vagues et eau, à l'infini. Ils savaient que sur les milliers d'émigrants qui avaient dû fuir la Crimée, ce 11 avril 1919, presque aucun ne reviendrait. "

Quatrième de couverture

« Des hommes, des femmes et des enfants, demeuraient serrés les uns contre les autres sur les ponts. Beaucoup pleuraient en silence. Beaucoup s'étreignaient. D'autres restaient à l'écart, prostrés dans une douleur muette. Tous éprouvaient le même chagrin, la même détresse devant l'inconnu qui s'ouvrait devant eux et qui ressemblait à cette nuit si noire et si hostile. Chacun, à ce moment, se retrouvait seul dans sa souffrance. Et chacun s'accrochait à une certaine idée de la vie, se promettait qu'il reviendrait, que l'exil ne durerait pas. Quelques-uns, seulement, savaient. Ceux-là regardaient disparaître les côtes de Russie le cœur déchiré, croyant encore les voir, quand il n'y avait plus rien que les vagues et l'eau, à l'infini. Ils savaient que sur les milliers d'émigrants qui avaient dû fuir la Crimée, ce 11 avril 1919, presque aucun ne reviendrait. »

Amazon.fr

C'est un livre attachant qu'Anne Wiazemsky vient de publier. L'un de ces romans dans lesquels une atmosphère émerge dès les premières pages. D'emblée, on sait que le livre nous conduira au cœur d'une énigme : ici, il s'agit de celle de l'enfance.

Comme le titre Sept garçons ne l'indique pas, l'héroïne est une petite fille (Roséliane) qui, au cours de vacances où sept garçons l'entourent, va découvrir ce qu'il faut appeler sa féminité. Les garçons quant à eux joueront à être de vrais petits hommes : chacun voudra éprouver la demoiselle. Mais dans ces jeux enfantins auxquels les adultes décident de ne jamais se mêler, une curieuse ambiance règne. Il plane un "quelque chose" de grave. Comme si ce moment de l'enfance était le temps où toute la vie future prenait forme. Comme s'il fallait que les risques les plus terribles et les plus déterminants y soient pris. Au fond, à quel moment et pour quelles raisons l'enfance finit-elle ? C'est la question que pose Anne Wiazemsky. Elle y répond d'une manière particulièrement tragique. Au lecteur d'aller en faire la découverte. --Isabelle Magnien --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

Présentation de l'éditeur

"Leurs mères s'en étaient allées, bras dessus, bras des sous, sous le prétexte de visiter la maison et de retrouve les autres adultes, sur la terrasse. "Amusez-vous, faite connaissance !" avait claironné Claudie tandis que Pauline avait murmuré furtivement à Dimitri: " Tout va bien se passer." Quand elles se furent éloignées, les sept garçons entourèrent aussitôt les nouveaux venus. Conscient d'être soumis à un examen, ceux-ci n'avaient qu'une seule envie: se sauver. Mais se sauver où? "Nous somme cernés par les Japs", pensait Dimitri en se prenant pou Buck Danny, un de ses héros de bande dessinée préférés Quant à Roséliane, seule fille au milieu de huit garçons elle se sentait fille pour la première fois de sa vie. Ce n'était ni agréable, ni désagréable, c'était nouveau.

Présentation de l'éditeur

" Betty sursauta. Cette fois, elle était sûre d'avoir entendu crisser le gravier. Quelqu'un se déplaçait le long du mur de la villa, se rapprochait de sa chambre. Du salon, la radio toujours allumée diffusait les accords de harpe qui annonçaient le début de l'émission Le Masque et la Plume. Betty, alors, se leva et se dirigea vers la fenêtre avec le sentiment précis qu'une chose horrible l'y attendait. Elle ne se trompait pas. Posée sur le rebord, la tête décapitée d'un écureuil la regardait. " La vie de Betty, douze ans, se transforme le jour où elle rencontre Yvon, un malade échappé de l'hôpital psychiatrique. Elle décide de le protéger et le cache dans sa cabane. Elle ose, mue par un appel mystérieux vers " une autre vie ", défier l'autorité paternelle, braver la police et transgresser les règles.

Mais qui marche à cette heure, entre chien et loup, sur le gravier de la maison, au bord du lac, en Suisse ? Joyeuse et vraie, l'histoire d'une visite inattendue, des enfants en pyjama, des grands-parents en tenue de gala, un pays rêvé, un hérisson apprivoisé, une jeune femme enjouée, la rencontre des deux mondes où chacun a sa façon d'aimer.

L'atmosphère prenante et tendre de la romancière Anne Wiazemsky dans les lumières du soir, la poésie du peintre Stanislas Bouvier.

Cet album photographique profondément intimiste conte l'histoire familiale de la comédienne, petite-fille de Frnçois Mauriac.

En septembre 1944, Claire, ambulancière à la Croix-Rouge française, se trouve à Béziers avec sa section, alors que dans quelques mois elle suivra les armées alliées dans un Berlin en ruine. Elle a vingt-sept ans, c’est une très jolie jeune femme avec de grands yeux sombres et de hautes pommettes slaves. Si on lui en fait compliment, elle feint de l’ignorer. Elle souhaite n’exister que par son travail depuis son entrée à la Croix-Rouge, un an et demi auparavant. Son courage moral et physique, son ardeur font l’admiration de ses chefs. Ses compagnes, parfois issues de milieux sociaux différents du sien, ont oublié qu’elle est la fille d’un écrivain célèbre, François Mauriac, et la considèrent comme l’une d’entre elles, rien de plus. Au volant de son ambulance, quand elle transporte des blessés vers des hôpitaux surchargés, elle se sent vivre pour la première fois de sa jeune vie. Mais à travers la guerre, sans même le savoir, c’est l’amour que Claire cherche. Elle va le trouver à Berlin.

Juin 1966 : Anne, la narratrice vient d’envoyer une lettre laudative à Jean-Luc Godard. Elle ne connaît pas le cinéaste de la Nouvelle vague, c’est à peine si elle l’a croisé sur le tournage de Au hasard Balthazar un an auparavant. Anne a 19 ans, elle a échoué au baccalauréat et s’apprête à passer la session de rattrapage de septembre. Un soir, Anne reçoit un coup de téléphone de Jean-Luc Godard, qui lui annonce qu’il désire très vite la rencontrer. C’est le point de départ de leur histoire d’amour. Bien que de vingt ans son aîné, le cinéaste souhaite l’épouser. De son côté, la jeune femme est profondément troublée, car cet homme lui révèle pour la première fois les délices de l’amour physique, mais elle ne supporte pas sa jalousie maladive, d’autant plus que sa mère et son grand-père sont très hostiles à leur relation. Pendant plusieurs mois, ceux-ci vont s’opposer à ce que Anne fréquente Godard, invoquant des arguments spécieux qui révèlent la nature conservatrice de leur opinion sur l’éducation des jeunes filles. Mais la narratrice ne veut pas céder, en dépit de la profonde affection qu’elle leurs porte, et se rebelle contre ce carcan misogyne. Après avoir réussi les épreuves de rattrapage du bac, elle s’inscrit en Philosophie à Nanterre. De nouveaux horizons s’ouvrent à elle : nouveaux camarades, nouveaux quartiers de Paris, nouvelles idées politiques… Un hurluberlu aux cheveux rouges, un certain Daniel Cohn-Bendit, la poursuit dans les couloirs de la fac en criant joyeusement « Solidarité des rouquins ! Solidarité des rouquins ! ». Début 1967, Jean-Luc Godard commence à tourner le film La Chinoise, dont il a écrit le premier rôle pour Anne. Adieu philosophie, cette « année studieuse » aura été celle de l’école de la vie. Roman d’apprentissage, Une année studieuse est aussi le reflet passionnant d’une époque, la fin des années 1960, où la France est en train de connaître de grands bouleversements politiques, idéologiques moraux et artistiques. Toutes ces dimensions habitent le récit : d’abord la narratrice elle-même, qui en s’opposant à sa famille révèle un fossé générationnel ; ensuite l’histoire d’amour entre Godard et Anne, symptomatique d’un changement de moeurs ; le cinéma de Godard, iconoclaste et radical ; la description de la faculté de Nanterre et des frasques de « Dany le Rouge », prémices des événements de Mai 68… Un livre remarquable d’intelligence et de vivacité.

En vacances avec des amis sur une île du midi de la France, Laure attend un coup de téléphone de son amant. De la terrasse de l'hôtel à la plage, elle guette son appel, pense à lui en comptant les jours, oscille entre espoir et désespoir...

«La traque des étudiants se poursuivait boulevard Saint-Germain et rue Saint-Jacques. Des groupes de jeunes, garçons et filles mélangés, se battaient à mains nues contre les matraques des policiers, d’autres lançaient différents objets ramassés sur les trottoirs. Parfois, des fumées m’empêchaient de distinguer qui attaquait qui. Nous apprendrions plus tard qu’il s’agissait de gaz lacrymogènes.

Le téléphone sonna.

C’était Jean-Luc, très inquiet, qui craignait que je n’aie pas eu le temps de regagner notre appartement. "Écoute Europe numéro 1, ça barde au Quartier latin!" Nous étions le 3 mai 1968.»

Anne Wiazemsky.

Au début des années 1960, l'auteure intègre une institution religieuse au Venezuela. Elle noue une complicité avec son professeur de français, le père Deau, avec lequel elle parle de littérature. Jusqu'à son décès dans les années 2000, celui-ci exerce une influence sur ses goûts littéraires et sur ses engagements. A travers son histoire, une réflexion sur la spiritualité dans la société.

LA TERRE DES VIALHE Claude Michelet

Cette fresque vivante, chaleureuse et mouvementée où l'on retrouve les Vialhe, famille de paysans corréziens dont l'histoire a déjà enchanté des millions de lecteurs, est aussi un vibrant plaidoyer pour la défense de nos campagnes contre les coups répétés de la technocratie aveugle et de la mondialisation...

JUGEMENT SANS APPEL Richard North Patterson

Caroline Masters, brillante avocate, s'apprête à accéder à la fonction de juge à la Cour d’appel fédérale des États-Unis, quand un meurtre se produit au sein même de sa famille. L’accusée ? Brett, sa nièce, que tout semble accabler. En acceptant de la défendre, Caroline va-t-elle compromettre toute sa carrière ?

UNE POIGNÉE DE GENS Anne Wiazemsky

Parce qu ’elle est entrée par hasard en possession du journal de son grand-oncle, un prince russe, une jeune Française entreprend de reconstituer les derniers moments de la Russie d'avant la révolution de 1917. Un récit plein de charme et de nostalgie qui a valu à son auteur le grand prix du Roman de l'Académie française.

UN SENTIMENT D’ABSENCE Klaine Kagan

« Qui est ma mère biologique ? Pourquoi m’a-t-elle 'abandonnée ? » Voilà des années que Claudia se pose ces terribles questions. Sur le point d’être mère à son tour, il lui faut à tout prix trouver les réponses. Une quête dont elle risque de ne pas sortir indemne. Et un sujet brûlant : l’adoption. (Source : Reader's Digest)

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode