Annelise Heurtier

Avec Push (que j’avais adoré), Annelise Heurtier ouvrait la parole sur les agressions sexuelles dans le milieu de la gymnastique. De la même façon, elle s’attaque ici au harcèlement au collège, avec #Toutlemondedétestelouise.

Le roman est dur à lire, dans le sens où on lit les pensées de Louise et on voit s’abattre sur elle cette tornade de haine sans fondement contre laquelle elle est impuissante. C’est un récit fort, qui saura parler autant aux adolescents qu’aux plus âgés.

Classé en "pas aimé" car il n'existe pas de catégorie "abandon" sur le site.

C'est un livre qui m'aurait intéressée car inspiré de faits réels. Je pense d'ailleurs que je vais simplement me renseigner de mon côté.

Malheureusement, c'est un fail. J'ai abandonné ce roman car je n'arrivais pas à rentrer dans l'histoire, à accrocher aux personnages ni rien... je ne dirais pas que c'est plat mais plutôt que ça ne m'a pas captivée.

Ne connaissant pas la plume de l'auteure, je ne savais pas trop à quoi m'attendre mais je reste convaincue que ce sujet a du potentiel à revendre et peut vite devenir historiquement instructif.

Je suis sûre que ce roman peut trouver son public mais personnellement, je le verrais plus en livre scolaire pour permettre d'aborder les faits réels de l'époque et éveiller la culture de nos jeunes têtes blondes.

Merci à ce livre de m'avoir permis de découvrir un fait historique inconnu pour ma part, et qui m'a donné envie de m'enrichir. Malheureusement, ça s'arrête là pour moi.

Petit roman qui montre bien les dégâts du harcèlement et du cyberharcèlement, comment cela commence et comment cela peut finir. A faire lire aux ados en tant que prévention.

#ToutlemondedétesteLouise ... Un hashtag qui pourrait paraitre anodin ou être une simple blague. Mais en quoi est-ce drôle ? “Bouboule”, “Noisette”, “Shrek”, #Butter ... On a tous connu ou eu des surnoms contre notre volonté. Si la personne n'en n'est pas à l'origine, en fait, non, ce n'est jamais drôle ! Et parfois, ça va plus loin, beaucoup plus loin. Surtout avec les réseaux sociaux... Ça a un nom aujourd'hui : Le harcèlement !

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Louise a 12 ans. Elle est heureuse, elle vient enfin d'obtenir ce qu'elle désire le plus au monde : un téléphone portable !

Sauf que suite à un malentendu, elle se retrouve accusée d'avoir trahie sa meilleure amie, de lui avoir volé le mec qu'elle convoitait. C'était déjà lourd a porter mais la situation va déraper, s'envenimer. L'adolescente se retrouve seule, la peur au ventre. À chaque vibration de son téléphone c'est une nouvelle descente au enfers...

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Annelise Heurtier s'est attaqué avec brio au sujet du harcèlement scolaire. C'est très réussi, j'en ai encore des tremblements. Elle en parle avec une authenticité qui glace. Comment la victime se retrouve à se sentir coupable de la situation... Comment certains se laissent embrigader sans même réfléchir...

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C'est extrêmement émouvant ! Ça se dévore d'une traite !

Pour moi, c'est un indispensable de cette rentrée littéraire. On devrait le faire lire à chaque rentrée scolaire !

Un livre qui retrace bien le fléau du moment qu'est le harcèlement mais surtout la place nocive que prennent les réseaux sociaux afin de se défouler et d'isoler les personnes les plus fragiles.

Un texte, je l'espère, qui interpellera certains jeunes.

Une grande mère qui raconte son histoire à sa petite fille. La situation des femmes dans les années 60. Et surtout ce qu'elles avaient le droit de faire ou non (et plutôt non, parce qu'on va pas se mentir, c'était pas trop la joie à l'époque). Bref, un thème intéressant en théorie, mais je suis un peu passée à côté. Un récit réaliste pourtant, mais sûrement trop, parce que j'ai trouvé l'histoire de Catherine inintéressante. Il ne se passe pas grand chose et elle ne fait pas grand chose de notable. On est trop dans la banalité du quotidien. Le niveau se relève un peu vers la fin, avec la course et un peu plus d'engagement de la part de notre narratrice mais ça reste assez léger pour marquer les esprits.

lecture terminée sweet sixteen de @anneliseheurtier_autrice chez @casterman_jeunesse

🚌 Septembre 1957, à Little Rock en Arkansas, le prestigieux lycée central décide de participer à la loi d'intégration et d'accepter 9 noirs. Ces 9 jeunes, de quatorze à dix sept ans, devront faire preuve de courage pour étudier avec deux mille cinq cents blancs pour la plupart hostiles.

🚌 La lecture a été très intéressante, le roman est court mais intense. La plume est très fluide et je n'ai pas vu les pages passer. J'ai trouvé très intelligent le changement de point de vue qui nous permet de voir l'intégration au travers des yeux de deux personnes totalement différentes.

🚌 En conclusion un bonne lecture et un livre que j'ai ajouté à la liste des lectures cursives de mes quatrièmes dans la catégorie individu et société

J'ai passé un très bon moment avec la lecture de ce roman, dévoré en une soirée. L'héroïne a beau être une adolescente, les adultes peuvent s'y identifier facilement et l'histoire est intéressante. La plume de l'autrice est particulièrement agréable.

Un roman de plus sur le thème du harcèlement. Le sujet est bien traité, le livre se lit plutôt bien. Et on suit bien la descente aux enfers du personnage qui à partir d'un simple quiproquo et d'une mauvaise réaction de sa soit disant meilleure amie se fait prendre pour cible par tout son bahut, sur les réseaux sociaux.

Au vu du nombre de livres sur le sujet, celui-ci n'innove pas vraiment le genre mais reste intéressant pour sensibiliser les jeunes à ce sujet.

C'est bref, mais impactant. On appréciera d'avoir le choix entre deux fins différentes.

Cette histoire décrit des sujets de société tel que le harcèlement scolaire, la discrimination des minorités et les problèmes de communication. L'histoire se passe au Japon (avec quelques spécificités du pays) mais cela est transposable ailleurs dans le monde.

Malheureusement, il m'a été difficile de m'attacher aux personnages car je trouve qu'ils manquaient de profondeur et restaient mystérieux jusqu'à la fin du roman.

Une lecture simple qui permet éventuellement de se questionner sur son rapport à l'autre.