Aravind Adiga
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Note moyenne : 7.9/10Nombre d'évaluations : 10
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Le premier roman d'Aravind Adiga, Le Tigre blanc, avait été une véritable révélation pour moi. Il nous montrait l'itinéraire et les efforts d'un jeune indien désireux de s'élever dans la société et de réussir sa vie malgré les embûches dues à sa naissance. J'ai été un petit peu plus déçue par ce livre, par ce recueil de nouvelles qui ne m'a pas enthousiasmé autant, malgré sa belle écriture.
Dans Les Ombres de Kittur, le sujet principal de l'auteur est le système des castes . Il dénonce leur absurdité, l'impossibilité dans sortir malgré les efforts de certains. Les rapports entre les diverses religions sont également abordées. Il montre que celles-ci peuvent cohabiter mais qu'elles ne se connaissent pas non plus très bien.
Le style est très agréable. Seulement, ces nouvelles allant de 20 à 50 pages ne nous permettent pas de s'attacher aux différents personnages. Et c'est vraiment dommage. Mais l'intérêt d'avoir fait 14 nouvelles avec 14 personnages différents nous permet de découvrir 14 facettes de la vie indienne et de ses problèmes.
En conclusion : Ce livre est très bien écrit et nous permet vraiment de découvrir des aspects de l'Inde parfois méconnus.
Afficher en entierBalram Halwai ,malgré son intelligence ,est forcé d'arrêter ses études ,pour travailler dans un "tea-shop" à Bishai,en Inde ,un village où règne la misère . Il va devenir ,ensuite,chauffeur à Delhi ,au service de Monsieur Ashok . Mais il ne veut pas rester esclave toute sa vie ,il veut devenir "entrepreneur ". Il décide d'inverser l'ordre des choses et de devenir riche .
C'est en tuant et en volant qu'il trouvera la réussite , sans se poser trop de questions . Tel un tigre blanc ,il gravira tous les échelons sociaux .C'est un anti-héros ,amoral ,égoïste . Il évolue dans le monde de l'Inde moderne ,avec sa pauvreté ,la corruption ,le pouvoir de l'argent ,la mondialisation . Une Inde réelle qui broie le peuple dont une grande partie est traité en "sous-hommes"
Balram écrit une lettre au président chinois en visite à Bangalore en Inde ,sous le prétexte de lui décrire sa réussite entreprenariale ...Il dépeint son existence .
Le récit du livre est à la première personne .
Il est découpé en sept nuits correspondant à des chapitres .
Acec sagacité, réalisme ,l'auteur nous fait une description sans concession de son pays .
Une diatribe cynique et violente .
Afficher en entierLe voyage se parcourt au bout des pages.
Énoncez-nous, cette Inde, au passage.
Tenez-nous bien à l’écart.
Intouchable, vous le devenez.
Grossissants, les traits se lissent.
Réalité du narrateur se confond.
Et la lecture se fait rapide.
BLANC
Véronique Dubois
Afficher en entierCe livre est particulier : j'ai trouvé le style d'écriture un peu déroutant, et l'histoire décousue, mais j'ai eu envie de le lire jusqu'au bout tout de même... Bref, je suis mitigée par rapport à ce livre...
Afficher en entierOn parle de Aravind Adiga ici :
2018-12-14T00:15:42+01:00
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Biographie
. Adiga grandit à Mangalore et y effectue ses études. Il obtient son SSLC en 1990. Il émigre en 1991 avec sa famille à Sydney en Australie2 et étudie dans une école d'agriculture à Carlington, Nouvelle-Galles du Sud. Il étudie ensuite la littérature anglaise à l'université Columbia2, et au Magdalen College à Oxford.
M. Adiga commence sa carrière professionnelle comme journaliste financier. Ses papiers paraissent dans le Financial Times, The Independent, Money, le Sunday Times et le Wall Street Journal.
Il est ensuite embauché par TIME, où il est correspondant pendant trois ans. M. Adiga devient ensuite journaliste indépendant et écrit son roman The White Tiger. Il réside et travaille à Mumbai3.
Le premier roman d'Aravind Adiga, The White Tiger, a obtenu le Booker Prize 2008.
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