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Tous les livres de Ardavan Amir-Aslani

Et si au lieu de la démocratie, les printemps arabes ouvraient la voie à des régimes islamistes ? Le fait religieux est au coeur des grandes problématiques de notre siècle et oriente les décisions politiques. Il conditionne les choix et le devenir de millions d'hommes et de femmes. La chute du mur de Berlin avait suscité l'espoir d'un monde nouveau. Après les attentats du 11 Septembre, c'est maintenant au nom du religieux que les combats sont menés. Ainsi le Tea Party ou la droite religieuse donnent le ton de la campagne présidentielle aux Etats-Unis; l'Europe, au nom de ses racines chrétiennes, s'interroge sur son identité; dans un contexte de montée de l'extrême droite et des populismes, le débat sur le port de la burqa ou sur les prières de rue pose la question de l'immigration et de la place de l'islam en France et en Occident ; les clivages sunnites/chiites s'expriment dans les rapports entre l'Iran et ses voisins, dans le leadership du Proche-Orient ; l'Afrique est devenue terre de prosélytisme et d'influence politique, en témoigne l'action des évangélistes au Soudan ; l'Eglise orthodoxe russe apparaît comme une puissance au service du pouvoir; la société israélienne se déchire entre religieux et laïcs ; dans le monde indo-asiatique, les tensions régionales ou intérieures sont justifiées par la religion comme en Inde, au Tibet ou au Cachemire.

Un livre qui suggère les nouveaux défis et enjeux auxquels seront confrontés citoyens et dirigeants de tous les Etats. Des analyses percutantes, un point de vue précurseur.

L'expression " âge d'or de la diplomatie algérienne " revient souvent sous la plume des acteurs, des témoins ou des historiens pour qualifier la politique extérieure que mena l'Algérie entre son accession à l'indépendance, en juillet 1962, et la fin des années 1970. Trois hommes vont conduire cette diplomatie : Ahmed Ben Bella, président de la République (1962-1965) ; Houari Boumediène, président de la République (1965-1978) ; Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères (1963-1978).

Cet " âge d'or de " s'inscrit dans un contexte dominé par la Guerre froide, par la dégradation des relations franco-algériennes, par deux conflits au Moyen-Orient – la guerre des Six-Jours en 1967 et la guerre du Kippour en 1973. C'est également l'époque des dernières grandes figures des révolutionnaires tiers-mondistes, d'Ernesto Che Guevara (Cuba) à Nelson Mandela (Afrique du Sud), de Amilcar Cabral (Guinée-Bissau et Cap-Vert) à Samora Machel (Mozambique).

Quels sont les succès, les revers de cette riche période de la diplomatie algérienne? Quelle est la philosophie, ou l'idéologie, qui la sous-tendent? Le ministère français des Affaires étrangères et plusieurs personnalités algériennes ayant mis leurs archives à la disposition de l'auteur, il apporte un éclairage nouveau, des informations inédites à tous ceux qui s'intéressent à la place de l'Algérie dans le monde.

Il y a trois mille ans. Cyrus sauvait les juifs exilés à Babylone et ordonnait la reconstruction du temple de Jérusalem. Il inaugurait alors une relation particulière entre les juifs et les Perses qui allait se poursuivre au-delà et malgré les aléas de l'histoire.

C'est au nom de ce passé que Ben Gourion. Premier ministre israélien, proposa au Shah un partenariat stratégique avec l'Iran qui perdurera jusqu'aux premières heures de la République islamique.

Iraniens et juifs et non, juifs et Iraniens, c'est ainsi que se définissent encore les membres de cette communauté, la plus importante du monde musulman. Retraçant les grandes dates des relations entre Iraniens et Israéliens, l'auteur nous fait partager tout autant la vision des Iraniens juifs, vivant en Iran, que celle des Israéliens d'origine iranienne. Il nous fait découvrir l'opinion qu'ils ont sur l'Iran ou sur les relations entre Téhéran et Jérusalem.

Ce livre est une réflexion sur l'avenir de l'Iran, ses relations possibles avec Israël dans un Proche-Orient où des dictatures islamistes risquent de s'ériger, brisant l'espoir suscité par les printemps arabes, isolant l'Iran chiite autant que l'État juif.

Un ouvrage essentiel au regard des élections présidentielles iraniennes auxquelles Mahmoud Ahmadinejad ne pourra se représenter, une échéance politique majeure alors que la menace de frappes israéliennes contre les installations nucléaires iraniennes demeure.

Depuis le début du règne des Saoud, en 1932, l’Arabie Saoudite s’est taillée un fief dans le sang, bénéficiant du soutien des Occidentaux qu’elle abreuve d’or noir. Ne possède-t-elle pas un quart des réserves mondiales de pétrole ?

Cette dynastie tire son pouvoir d’un pacte vieux de deux siècles entre un prédicateur wahhabite et un émir. Alliance du sabre et du turban qui assura son hégémonie sur la péninsule et sur les lieux saints, permettant au courant le plus conservateur et sectaire de l’islam de diffuser sa pensée dans l’ensemble du monde arabomusulman – et au-delà.

Or, dans cette monarchie absolue, le Coran constitue la seule source du droit et nourrit un corps de doctrine rétrograde qui méprise la femme, l’étranger, la culture et, bien entendu, la modernité. Mais, depuis 2013, le pays pâtit d’une baisse des cours du pétrole qui menace de faire s’effondrer ce colossal édifice. Ses alliés historiques jugent de plus en plus sévèrement ses liens troubles avec le terrorisme islamiste.

Confronté à la désaffection croissante des États-Unis et au retour de l’Iran sur la scène diplomatique, le régime échappera-t-il à l’implosion ? Si ce colosse aux pieds d’argile finit par s’effondrer, la face du Moyen-Orient, de l’Islam et même du monde en sera à coup sûr transformée, pas forcément pour le pire.

Depuis deux mille cinq cents ans, la culture persane participe de l’aventure universelle des sciences, de la philosophie, de l’art et des religions. Car la Perse n’est pas limitée au peuple iranien ni aux frontières actuelles de l’Iran : la géographie et l’histoire l’ont placée à la croisée de plusieurs mondes.

En envahissant la Perse en l’an 633, les Arabes héritent d’une civilisation dont l’apport a par la suite été sous-estimé, quand il n’était pas nié. Or, il est impossible de comprendre l’Asie centrale, le monde indien et l’ensemble de l’univers islamique en laissant l’Iran et sa culture de côté.

Aujourd’hui, la culture musulmane de la Perse, si admirée au Moyen Âge, vit un âge sombre. En Occident du moins, on s’en méfie. Oubliés, prophètes et poètes – de Zarathoustra à Mani, de la poésie soufie de Rûmî aux élégies amoureuses de Hafez de Chiraz – qui chantaient la beauté de la femme et de l’amour, et montraient le chemin vers une compréhension de Dieu et des hommes !

Quatre décennies après la révolution islamique, l’Iran semble de nouveau à un carrefour. Ardavan Amir-Aslani s’érige dans cet essai contre la réécriture fallacieuse du passé de cette civilisation. Pour rendre à la culture perse la place qui lui revient dans l’Histoire.

La levée des sanctions internationales contre l'Iran marque un tournant stratégique majeur pour le Proche et le Moyen-Orient. Après quarante ans de quasi-immobilisme économique, l'Iran renaît de ses cendres d'Eldorado honni, retrouvant une place de choix à l'échelle mondiale, et devenant un interlocuteur privilégié des Etats-Unis.

L'Occident découvre un pays aux multiples atouts présageant d'une force économique nouvelle : une population jeune et éduquée, une position géographique enviable où sont concentrées 50% des réserves mondiales d'hydrocarbures... Cette nouvelle donne profile la relance de la production industrielle et le retour des investisseurs internationaux.

Sur le plan géopolitique, pressenti pour devenir l'intermédiaire entre la Chine et l'Occident, l'Iran permettrait également de pacifier le dialogue avec l'Afghanistan et les zones voisines.

Mais tout ne se règle pas en une signature. Qu'en est-il des tensions soulevées dans la région, notamment en Arabie saoudite, qui ne voit pas d'un bon œil une légitimité internationale qui profite aux chiites ? Quels compromis possibles entre l'Iran et l'Occident pour s'unir dans la lutte contre sunnisme radical et endiguer "l'épidémie" Daech ? Quelle influence l'Iran a-t-il vraiment dans la résolution de la crise syrienne ? L'Occident aurait-il intérêt à refaire de ce pays le gendarme de la région, comme à l'époque du Shah, avant la révolution et l'installation de la République islamique ?

C'est l'histoire d'une nation et d'une identité forte que l'auteur décrypte, en faisant la lumière sur les bouleversements actuels. Ayant prédit le rapprochement entre l'Iran et les Etats-Unis plusieurs années auparavant, Ardavan Amir-Aslani livre une analyse dont chacun pourra observer la pertinence dans les mois à venir.

Le Pakistan, «pays des Purs» en ourdou, est né dans le sang et les larmes. Un traumatisme dont il n’a jamais guéri. Depuis la partition de l’Inde britannique en deux États indépendants en 1947, ces voisins vivent dans une défiance réciproque, malgré les tentatives d’apaisement. Et pourtant, les deux religions opposées qu’ils abritent, l’islam et l’hindouisme, surent jadis cohabiter au sein de l’Empire moghol, imprégné de la pensée perse et des cultures d’Asie centrale.

De nos jours, malgré les tensions religieuses extrêmes qui ont jalonné son histoire, le Pakistan, nation jeune à l’identité complexe, connaît une réelle ouverture et sera sans doute amené à jouer un rôle dans le destin que se choisira l’islam au cours du XXIe siècle. Sa situation géographique et culturelle en fait une passerelle entre les mondes iranien et indien. Pour autant, il reste encore prisonnier d’un héritage colonial et de traditions séculaires qui peuvent être un frein puissant sur la voie de la modernité.

Le Pakistan sera-t-il marqué à jamais par la domination des militaires ?

Est-il voué à la désintégration, comme certains le prédisent ?

Ardavan Amir-Aslani retrace la genèse de ce pays puissant et fragile, qui doit faire face a des défis tels que le contrôle de sa démographie, la scolarisation des filles ou des enjeux environnementaux vitaux.

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