Arnaldur Indriðason
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Note moyenne : 7.38/10Nombre d'évaluations : 1 191
0 Citations 637 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Thriller très bien ficellé comme l'auteur sait si bien le faire.
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Ici, les souvenirs et la mémoire sont plus puissants que les réponses fournies par les données et les relevés scientifiques. L'homme dépasse la technologie, bien que cela prenne plus de temps, soit chronophage, mais d'une efficacité redoutable.
Les énigmes se résolvent petit à petit, au fil des rencontres, des flash-back et des témoignages.
Le temps s'étire, l'espace-temps est maître, et la réalité en 3D, les temporalités s'entremêlent.
Les nuits sont plus longues que les jours en cette fin d'automne. Les saisons rythment le récit, et la météorologie reflète l'état d'esprit de Konrad.
Konrad, ce détective vieillissant qui, tout comme son prédécesseur Erlendur, redonne la parole à ceux qui se sont tus depuis longtemps, servant de médiateur entre le monde des vivants et celui des morts.
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J'ai toujours pris plaisir à lire les livres d'Arnaldur Indridason, et je dois avouer que ma passion n'est pas du tout diminuée par la lecture des "fantômes de Reykjavik", bien au contraire. On dit que l'Islande est l'un des pays les plus sûrs au monde, mais la perversité humaine ne connaissant malheureusement pas de frontières, on constate que personne n'est à l'abri d'actes horribles commis ou subis par des personnes socialement bien placées et respectées. Indridason nous plonge dans le monde de la drogue et d'autres atrocités malheureusement répandues à travers le monde.
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Le roman d'Arnaldur Indridason présente plusieurs enquêtes indépendantes, entremêle le passé et le présent, et fusionne surnaturel et escroquerie. Tous ces éléments affaiblissent la tension dramatique de l'histoire et le mystère entourant le meurtre de l'inconnue, en égarant le lecteur sur diverses pistes. Tout au long des investigations, on déplore le manque d'éléments nouveaux pour relancer les recherches et capter l'attention du lecteur. Ce n'est qu'aux dernières pages que ce polar parvient à éviter l'écueil.
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À la lecture de ce livre, j'avais un peu de difficulté à suivre le fil. L'auteur joue beaucoup à saute mouton d'une affaire à l'autre et d'une époque à l'autre. La touche de spiritisme n'ajoute d'ailleurs rien à la qualité et à l'intérêt du récit à mon avis
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Ce n'est pas mon livre préféré écrit par Arnaldur Indridason, mais il se laisse lire !
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Konrad n'en démord pas : il enquête et enquête encore alors qu'il devrait vivre une paisible vie de retraité.
Marta est toujours là : elle ne supporte pas que Konrad fouine autant dans le passé, au risque de compromettre son enquête.
Et Eyglo est toujours là, dans son monde très particulier.
Pour les fidèles de cette série, il y aura des retrouvailles avec tous ces personnages.
Et il y aura aussi un jeu d'échos entre ce roman et les précédents. Les allusions aux anciennes enquêtes et aux tourments familiaux de Konrad jalonnent le récit et brouillent parfois les pistes.
Très vite, on comprend que ce polar est un roman d'espionnage qui fait état d'une partie de l'Histoire de l'Islande,
Roman très bien construit. Enquête complexe, bien menée. Dialogues bien construits.
On apprécie aussi de continuer à découvrir le quotidien des islandais.
C'est un roman que je vous recommande.
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Nous sommes en 1941 en Islande, à Reykjavik plus précisément, sous l'Occupation alliée. Un homme est retrouvé mort d'une balle dans la tête, une croix gammée tracée sur son front avec son propre sang. L'arme du crime étant américaine, Flovent, inspecteur à la Criminelle, va devoir faire équipe avec Thorson de la police militaire. L'enquête s'avère houleuse, puisque peut-être mêlée au Troisième Reich...
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Une veuve trouve un vieux révolver dans les affaires de son mari décédé. Une vérification démontre qu’il a été utilisé dans le cadre d’un meurtre non résolu depuis de nombreuses années. Konrad, policier à la retraite, s’y intéresse, car son père a eu un révolver similaire.
Ce roman est le 5e tome d’une série basée en Islande et qui met en scène Konrad, inspecteur maintenant à la retraite, mais qui ne peut s’empêcher de mettre son nez dans les enquêtes de ses anciens collègues.
Ce roman peut se lire indépendamment des autres, mais si vous les avez lus, cela permet de mettre un point final à l’enquête sur le meurtre du père de Konrad, arnaqueur bien connu.
Comme toujours avec cet auteur, l’univers y est très sombre. On plonge, ici, dans le monde de la pédophilie et des violences faites aux homosexuels dans les années 50-60. Les descriptions sont parfois assez lourdes et poignantes.
Konrad est toujours égal à lui-même : bourru, glaçant avec toutes ses casseroles qui le suivent : le meurtre non résolu de son père, les abus sexuels de celui-ci sur la sœur de Konrad, le passé d’arnaqueur de son père, les magouilles dans lesquelles il a trempé au début de sa carrière avec son coéquipier de l’époque, Léo. Tout cela fait qu’il est loin du héros bien sous tout rapport de certains romans policiers. Mais à cause de toutes ses casseroles ou peut-être grâce à elles, je le trouve assez attachant.
Son enquête, sur ce révolver, va l’amener à revivre certaines choses de son passé et se remettre sur la piste d’un meurtre non résolu en 1955 et par ricochet aussi sur celui de son père. Pouvoir mettre un point final sur ces deux affaires est le petit plus de ce roman, surtout pour moi qui avais lu tous les autres tomes et savais à quel point cela était important pour Konrad.
Je ne suis absolument pas déçue par la fin et je dois reconnaitre que je ne m’attendais pas à cela.
Les descriptions sont parfois difficiles donc à ne pas mettre entre toutes les mains, mais à lire sans modération.
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Bien qu’il soit à la retraite, Konrad n’hésité pas à s’impliquer dans des enquêtes en cours, mais également dans les plus anciennes. Il est donc logique pour lui de chercher à comprendre qui est l’homme retrouvé mort sur la rive du lac Hafravatn, mais également d’élucider le mystère de la disparition de Pètur, survenue il y a quelques années. En effet, qu’est-il donc arrivé à ce pere de famille ?
Je ne voudrais pas en dire davantage, tant l’intrigue est complexe. Je pense que ce roman doit se découvrir peu à peu, et que le lecteur doit se laisser porter par un récit aux multiples ressorts narratifs.
J’avoue avoir été déroutée au départ, tant les mystères sont nombreux. Plusieurs affaires vont s’entremêler et il vous faudra rester bien concentré afin de pas en perdre le fil. Mais rassurez-vous, une fois tous les éléments de l’histoire présentés, le puzzle prend peu à peu forme, et c’est un roman qui est très difficile à lâcher.
J’ai apprécié la manière dont l’auteur ancre son intrigue dans un passé historique fort, et il réussit cela avec brio. Ainsi, entre histoires d’espionnage pendant la Guerre Froide, mystères et disparitions inquiétantes, le récit défile.
Je me suis interrogée à plusieurs reprises lors de cette lecture, cherchant ainsi à résoudre les divers mystères proposés par l’auteur. Il faut dire qu’il y a plusieurs arcs narratifs et donc plusieurs enquêtes, qu’elle soient anciennes ou d’actualité, ce qui rend l’intrigue complexe à souhait.
L’auteur va également continuer à nous délivrer des réponses par rapport à l’histoire personnelle de Konrad. Ce personnage est très bien esquissé et au fil des tomes, nous en apprenons à chaque fois davantage sur lui.
La plume de l’auteur est très plaisante à lire. J’y ai retrouvé tout ce qui me plaît dans les polars nordiques, à savoir un rythme tout en douceur mais malgré tout beaucoup de fluidité. Les chapitres courts rythment l’histoire. J’ai eu beaucoup de mal à lâcher ma lecture.
L’auteur signe une nouvelle fois une intrigue des plus réussies, complexe à souhait et ancrée dans un passé historique très intéressant. À découvrir.
Afficher en entierOn parle de Arnaldur Indriðason ici :
2017-09-20T09:24:40+02:00
2017-06-20T16:46:00+02:00
2017-05-19T17:03:50+02:00
2013-08-01T08:54:50+02:00
2012-10-25T14:01:25+02:00
2010-06-08T13:14:35+02:00
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Dédicaces de Arnaldur Indriðason
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Aucun évènement prévu
Editeurs
Métailié : 32 livres
Points : 22 livres
France Loisirs : 3 livres
Audiolib : 2 livres
À vue d'œil : 2 livres
Point 2 : 1 livre
Seuil : 1 livre
édition Métalié : 1 livre
Biographie
Arnaldur Indridason est né à Reykjavík le 28 janvier 1961. Diplômé en histoire, il est d’abord journaliste et critique de films pour le Morgunbladid, avant de se consacrer à l’écriture.
Ses nombreux romans, traduits dans quarante langues, ont fait de lui un des écrivains de polar les plus connus en Islande et dans le monde, avec douze millions de lecteurs. Il a reçu le prix Clef de verre à deux reprises, en 2002 pour La Cité des jarres, et en 2003 pour La Femme en vert (également couronné par le Gold Dagger Award et le Prix des lectrices de Elle), le Prix du Polar européen Le Point en 2008 pour L'Homme du lac, le prix d’honneur du festival les Boréales en 2011, et le prix espagnol rba du roman noir en 2013 pour Passage des Ombres (troisième tome de la Trilogie des Ombres, à paraître en 2018).
Douze de ses romans mettent en scène le personnage d’Erlendur Sveinsson, inspecteur de la police de Reykjavík. Plusieurs autres sont consacrés à des énigmes historiques ou des affaires d’espionnage.
Dans la fascinante Trilogie des Ombres, il met en scène un nouveau couple d’enquêteurs, à l’époque de la « Situation », l’occupation américano-britannique de l’Islande à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
source : éditions Métailié
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