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Toutes les séries de Arundhati Roy

30 livres
73 lecteurs

Flann O'Brien (1911-1966) est né et a vécu toute sa vie en Irlande, où il a été élévé en gaelique aussi bien qu’en anglais. Haut fonctionnaire, il a été, parallèlement à son métier, écrivain et chroniqueur (ses articles dans l’Irish Times, sous le pseudonyme de Myles na gCopaleen, sont des modèles de satire et d’humour, d’ailleurs régulièrement réimprimés). Son premier roman, At Swim-Two-Birds (1939) est aussi son chef-d’œuvre.

Le narrateur, un jeune étudiant paresseux qui vit avec son oncle et, plutôt que de suivre ses cours, préfère fréquenter les pubs de Dublin avec ses amis, est aussi écrivain. De cet argument très simple va s’ensuivre le plus extravagant, le plus fantaisiste, le plus drôle des romans, et même roman dans un roman, car nous sont aussi racontées les aventures des personnages créés par notre « héros » dans une parodie des romans pulp doublée d’une satire de la celtitude. On verra ainsi une scène où policiers de Dublin, cow-boys et indiens se battent les uns contre les autres, tandis que d’autres cow-boys courent la campagne en compagnie de fées et de démons de la mythologie irlandaise. Ayant lu ce roman, James Joyce a dit de Flann O’Brien: « Cet homme a le génie comique. »

Comme les romans de Joyce d’ailleurs, At Swim-Two-Birds est aussi un livre très novateur, qui a eu une influence considérable sur l’imaginaire irlandais. Méconnu en France, il est en Irlande aussi célèbre et peut-être aussi aimé qu’Ulysse. Écrit dans cet anglo-irish qui a été le triomphe des Irlandais utilisant l’anglais que les Anglais leur avait imposé pour se créer une nouvelle littérature, il fait ici l’objet d’une traduction nouvelle, et d’une présentation par Patrick Hersant.

Patrick Hersant a traduit un grand nombre de livres de l’anglais, dont, aux Belles Lettres, le Mille et un navires de Francis Scott Fitzgerald.

« C’est un véritable écrivain, doté d’un authentique esprit comique. Un livre vraiment drôle »

James Joyce

«At Swim-to-birds reste, pour moi, un des meilleurs livres du siècle… dans la lignée d’Ulysse et de Tristram Shandy »

Graham Greene

« Flann O’Brien est incontestablement un auteur majeur. Comme Joyce, O’Brien se lance à l’assaut de votre cerveau armé de mots, de style, de magie, de folie et fait preuve d’une invention sans limite »

Anthony Burgess

8 livres
6 lecteurs

"Pour mieux comprendre ce qui lui reste d'emprise sur les esprits, il faut rendre à l'idée sublime d'Union européenne son aura d'origine. Et rappeler à ceux de ses vingt-sept membres qui l'auraient oublié d'où vient la bannière bleue aux seulement douze étoiles d'or : du Nouveau Testament, Apocalypse de saint Jean, 12. L'emblème qui flotte au-dessus de nos têtes qui ne croient plus au Ciel remonte à l'an 95 de notre ère et célèbre l'imminent avènement du Royaume. Vision mystique engrisaillée, projet politique encalminé : les deux ne sont pas sans rapport". Régis Debray.

12 livres
2 lecteurs

« Et voilà l’Occident face à sa vulnérabilité. Tétanisé, il fait le hérisson. Fragile, il n’a pas le choix. La vitesse, dont il avait naguère fait sa façon de vivre, de croître et de communiquer, soudain le fit trembler. À l’heure près, il devint attentif aux voyages du virus en question, des grippés, des fiévreux, des tousseux et même des porteurs sains, bref, tous les êtres humains. L’inhibition de l’action fait oeuvre d’ultime parade.

Mais cela ne suffit pas car la réalité s’impose. Se terrer ne suffit pas. Derrière : le hérisson, mais devant : l’hôpital. »

Tous les livres de Arundhati Roy

Dans le premier des deux essais polémiques qui composent cet ouvrage, Arundhati Roy fait le point sur la politique indienne des grands barrages, avec leurs effets néfastes tant sur les populations que sur l'environnement.

Dans le second, elle analyse les causes et les conséquences de l'accession de l'Inde au rang de puissance nucléaire. Des pages qui révèlent son tempérament passionné et sa fougue de pamphlétaire. Comme dans Le Dieu des Petits Riens, Arundhati Roy se fait le défenseur des humbles et des démunis. Elle trouve des accents convaincants pour fustiger la cupidité, la bêtise ou l'inconscience, attaque le cynisme du gouvernement indien aussi bien que l'hypocrisie des Occidentaux, dénonce partout la corruption.

Un plaidoyer auquel on ne peut rester indifférent.

Ce recueil regroupe l'intégralité des essais et articles politiques, pour la plupart inédits en langue française, que l'écrivain d'origine indienne Arundhati Roy a écrits depuis 1998. Dans un style clair et passionné, l'auteur du Dieu des Petits Riens - Booker Prize 1997 - prend position sur les grandes questions qui, selon elle, façonneront le visage du XXIe siècle naissant : le risque d'un conflit nucléaire entre l'Inde et le Pakistan ; la dégradation de l'environnement ; les dangers d'une mondialisation incontrôlée ; la politique du gouvernement américain face au terrorisme international... Essentiel pour comprendre le monde dans lequel nous vivons et les enjeux qui détermineront notre avenir collectif, L'écrivain-militant est un recueil remarquable, souvent provocateur, toujours engagé, par l'un des auteurs les plus importants de notre temps.

Rahel et Estha Kochamma, deux jumeaux de huit ans, vivent en Inde, entourés de leur grand-mère, Mammachi, qui fabrique des confitures trop sucrées, de l'oncle Chacko, un coureur de jupons invétéré, esprit romantique converti au marxisme pour les besoins de son portefeuille, de la grand-tante Baby Kochamma, qui nourrit un amour mystique pour un prêtre irlandais, et de leur mère Ammu, désertée par son mari, qui aime secrètement Velutha, un Intouchable. Un drame va ébranler leur existence et les séparer. Comment réagir quand, à huit ans, on vous somme de savoir " qui aimer, comment et jusqu'où " ? Comment survivre quand, après un événement affreux dont on a été témoin, on vous demande de trahir la vérité pour l'amour d'une mère ? Un récit envoûtant, plein d'humour et d'émotion, servi par une écriture neuve et poétique, qui recrée le monde de l'enfance - celui de l'imaginaire et de la liberté.

«La domination du capitalisme fut telle qu’elle cessa d’être perçue comme une idéologie. Elle est devenue le modèle par défaut, le comportement naturel. Elle s’est infiltrée dans la normalité, a colonisé l’ordinaire, au point que la contester est apparu comme aussi absurde ou ésotérique qu’une remise en cause de la réalité elle-même. Dès lors, le pas fut aisément et promptement franchi pour affirmer : "Il n’y a pas d’alternative."»

Dans cette série d’essais, Arundhati Roy, l’auteure du sublime roman Le Dieu des Petits Riens, s’intéresse à la face cachée de la démocratie indienne – un pays de 1,2 milliard d’habitants où les cent personnes les plus riches possèdent l’équivalent d’un quart du produit intérieur brut.

Ce texte virulent présente un portrait féroce et lucide d’un pays hanté par ses fantômes : ceux des centaines de milliers de fermiers qui n’ont pour seule échappatoire à leurs dettes que le suicide ; ceux des centaines de millions de personnes qui vivent avec moins de deux dollars par jour.

Face à eux, une infime minorité de la population contrôle la majorité des richesses et parvient à dicter la politique gouvernementale. Cette classe corrompue par l’omniprésence des ONG et des fondations est au cœur du système remis en cause par l’auteure. Cependant, Roy va au-delà du pamphlet contre le capitalisme et propose une véritable réflexion sur son histoire et ses rouages. Avant de conclure par plusieurs propositions pour en sortir, le temps d’un discours aux militants d’Occupy Wall Street.

Le Ministère du Bonheur Suprême nous emporte dans un voyage au long cours, des quartiers surpeuplés du Vieux Delhi vers la nouvelle métropole en plein essor et, au-delà, vers la Vallée du Cachemire et les forêts de l'Inde centrale, où guerre et paix sont interchangeables et où, de temps à autre, le retour à "l'ordre" est déclaré. Anjum, qui fut d'abord Aftab, déroule un tapis élimé dans un cimetière de la ville dont elle a fait son foyer. Un bébé apparaît soudain un peu après minuit sur un trottoir, couché dans un berceau de détritus. L'énigmatique S. Tilottama est une absence autant qu'une présence dans la vie des trois hommes qui l'aiment. Cette histoire d'amour poignante et irréductible se raconte dans un murmure, dans un cri, dans les larmes et, parfois, dans un rire. Ses héros sont des êtres brisés par le monde dans lequel ils vivent, puis sauvés, réparés par l'amour et l'espoir. Aussi inflexibles que fragiles, ils ne se rendent jamais. Ce livre magnifique et ravageur repousse les limites du roman dans sa définition et dans sa portée. Vingt ans après Le Dieu des Petits Riens, Arundhati Roy effectue un retour époustouflant à la fiction.

Azadi signifie « liberté » en ourdou. Il s'agit, à l'origine, d'un cri de ralliement cachemiri contre le gouvernement indien qui a été repris par le peuple lui-même pour protester contre ses dirigeants.

Dans ce recueil d'essais brûlants d'actualité, Arundhati Roy nous met au défi de réfléchir sur le sens de la liberté dans un monde où l'autoritarisme va croissant. À travers ces textes, et ces temps troublés, elle explore l'importance du langage, le rôle de la fiction et de l'imagination, ainsi que les répercussions de la crise sanitaire sur la société indienne.

Pour Arundhati Roy, la pandémie que nous traversons fait figure de portail entre un monde et un autre. En dépit de la maladie et de la dévastation qu'elle produit dans son sillage, elle représente peut-être aussi une chance pour l'humanité d'inventer un monde différent.

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